Plus que problématiques pour l’Etat, les constructions illicites font déborder la colère des citoyens qui s’interrogent sur le retour de ces bidonvilles après leur éradication complète du paysage annabi. En effet, la décennie noire avec son cortège de « réfugiés » des zones isolées, est l’une des causes principales des constructions illicites d’abord, ensuite l’effet d’entraînement conforté par l’espoir d’un logement social. Sidi Harb ou il n’y avait que nombre de près de 400 de ces logements précaires, avec un programme de recasement de 500 logements les visant, financé par la Banque mondiale, abrite aujourd’hui plus de 4000 foyers. Le...
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