Amoindris cette année par quelques disparitions, mais renforcés par la présence du sénateur Bachir Chebli, les mêmes fidèles à la mémoire du président Mohamed Boudiaf se sont recueillis au Palais de la culture, hier, sur le lieu même où, il y a 24 années, avait été assassiné Tayeb El Watani. Vingt-quatre années après, on impose toujours la clandestinité à ce grand homme qui, par son passage de quelques mois à la tête du pays, a marqué éternellement les esprits. Les Algériens et surtout les Annabis sont encore dans l’attente de la vérité sur ce crime «présidentiel» où ce drame, télévisé...
Lire la suite »