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Contribution à la lutte contre le coronavirus : Les membres du gouvernement font don d'un mois de leurs salai

Publié le 05/04/2020
"El Moujahid"PUBLIE LE : 05-04-2020 " Contribution à la lutte contre le coronavirus : Les membres du gouvernement font don d'un mois de leurs salaires"Les membres du gouvernement ont décidé de faire don d'un mois de leurs salaires mensuels pour contribuer à l'effort national de prévention et de lutte contre la propagation du coronavirus en Algérie, indique samedi un communiqué des services du Premier ministre. Les membres du gouvernement ont décidé de faire don d'un mois de leurs salaires mensuels pour contribuer à l'effort national de prévention et de lutte contre la propagation du coronavirus en Algérie, indique samedi un communiqué des services du Premier ministre. «Dans le but de contribuer à l’effort national visant à réduire les conséquences, sur les citoyens, de la crise sanitaire induite par l’épidémie de COVID-19, les membres du gouvernement ont décidé de faire don d'un mois de leurs salaires mensuels qui sera versé sur les comptes de solidarité Covid-19 ouverts à cet effet», note le communiqué. «Par ce geste, le gouvernement entend traduire l'esprit de fraternité, de solidarité et d'entraide sociale qui anime le peuple algérien, avec la certitude que l'on pourra ainsi surmonter cette crise sanitaire avec un minimum de préjudices», a-t-on ajouté".
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Les Commentaires

"EXEMPLE PARFAIT"

Du Gouvernement il faut que l'on soit tous solidaire, fraternité oblige!.
uN MOMENT agréable de lecture de nos philosophes du quotidien d'Oran

«KHAWA-KHAWA», une très longue pause ?
par Belkacem Ahcene-Djaballah


Covid-19. Obligation de confinement. Ruptures. Sanctions : des cas de figure, ceci pour faire court et pour ne pas être obligé d'aller jusqu'en Chine, en Corée du Sud, à Singapour et en Russie, pays où ça ne «rigole» pas avec le respect des lois et règlements en cas de crise grave. Deux cas de figure proches (?!) de nous :

1/ La Norvège : la police norvégienne inflige une amende de 20.000 couronnes, soit 1.650 euros (soit 320.000 dinars au change parallèle) à une personne diagnostiquée porteuse du Covid-19 qui a rompu son isolement pour se rendre à une fête durant un week-end. Une «fièvre» du samedi soir qui coûte cher ! «L'individu s'est vu notifier une amende. Si l'amende n'est pas payée, l'individu encourt quarante jours de prison», a affirmé un responsable de la police de la région concernée. «Nous espérons que les gens comprennent la gravité de la situation dans laquelle notre pays se trouve et se conforment aux lois, règles et consignes en vigueur».

1/ La France : un homme, qui disait «s'ennuyer» durant son confinement, a fait un tour en avion au-dessus de l'Ille-et-Vilaine durant un week-end. Un vol qui lui a valu une amende de 135 euros (à peine 26.000 dinars au change parallèle). «Une patrouille a été engagée sur l'aérodrome et a attendu l'atterrissage» pour procéder à l'interpellation, a indiqué la gendarmerie du département.

A l'évidence, une grosse différence dans la sanction, le premier exemple pouvant aller jusqu'à l'emprisonnement durant quarante jours.

Dans nos pays en général et en Algérie en particulier, hélas, nous penchons bien plus vers le comportement latino-franco-méditerranéen auquel il faut ajouter, sans moquerie aucune, la ruro-nomadité et un caractère «intenable».

Ainsi, on a eu, dit-on, plusieurs cas de «désobéissance sanitaire». Pas seulement de personnes tentant de fuir des lieux de confinement (mais, hélas pour eux et leur famille, ne réussissant pas à se maintenir en vie assez longtemps pour raconter leur exploit) mais aussi de personnes, jeunes ou moins jeunes qui, ne supportant ni la solitude ni la vie des autres, n'arrivent ou ne veulent respecter les règles minimales de la distanciation sociale. De l'insouciance à fleur de peau : tant dans les chaînes lors des approvisionnements, en s'agglutinant devant les commerces que lors des moments de ce qui est permis comme simple convivialité publique et parfois même en bravant le «couvre-feu». Pourquoi un tel dilettantisme ? Ils savent pertinemment qu'en matière de sanctions, cela ne va pas ou n'ira pas très loin. Il faut espérer un changement des comportements avec les dernières instructions du Premier ministre, le 29/3 (Les personnes qui refuseront de se conformer aux prescriptions de soins, de dépistage ou de confinement sanitaire dans le cadre de la lutte contre le coronavirus risquent une peine de deux (02) à six (06) mois d'emprisonnement et une amende de 20.000 DA à 100.000 DA, la personne ayant fait l'objet de réquisition mais qui s'y refuse, est condamnée à la même peine, conformément à l'article 187 bis de l'ordonnance 66-156 du 08 juin 1966 portant code pénal) et, surtout, la «colère» du chef de l'Etat exprimée clairement lors de son dernier entretien avec des journalistes.

Khawa-khawa ! Un slogan qui n'a pas, qui n'a plus à exister en ces moments-là. Mais, on dit aussi que la mesure «constituera le dernier recours lorsque les efforts de persuasion (sic !) - par exemple pour la réquisition - s'avèrent sans effet sur la personne concernée». Les certificats et les rapports médicaux de complaisance ou falsifiés vont-ils fleurir ! On ne l'espère pas.

Le danger est si mortel, l'ennemi est si invisible que la prise de conscience doit être optimale et le dilettantisme combattu. Par ailleurs, seules les actions de solidarité «homologuées» et encadrées non par des «charlatans» et des as de l'esbroufe dont certains «religieux» - habituellement absents des scènes, sauf celles des télés - mais par des associations et des organisations visibles afin d'éviter toute «exploitation» ou danger.

Un spécialiste de l'Eurasie Bruno Baçães a parlé, à propos du coronavirus, de «l'insoutenable légèreté de l'Europe» qui a tardé à prendre les mesures préventives nécessaires pour faire barrage à la pandémie. Il est vrai que presque tous (les dirigeants comme les citoyens) avaient le doigt dirigé vers la Chine, accusée, comme presque toujours, de tous les maux. Quelques pays se sont rattrapés juste à temps mais d'autres sont en train de payer très, très cher leur «légèreté» : certaines régions d'Italie, l'Espagne, la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis avec, parfois des dirigeants «dilettantes» ou prétentieux ou «illuminés» ou n'aimant ni la Chine ni tous les «autres». Même chez nous, au tout début, on a eu ce comportement à l'endroit des «autres». A cette allure-là, si la mi-temps, moyenne ou longue, n'est pas respectée, que Dieu nous garde !

















L Q O

ILs sont indispensables à notre lecture quotidien.

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RENAISSANCE HUMAINE
par Abdou BENABBOU


Le Ramadhan est à nos portes. Il nous rejoint dans quelques jours dans notre embrigadement sans que nous sachions quelle nouvelle dimension il donnera à notre confinement. En fait, l'inqualifiable pandémie avait déjà suspendu sur les têtes, à mesure qu'elle progressait, un grand air ramadhanesque élargissant déjà le sens de la pénitence et de la retenue. Omra et pèlerinage cloîtrés, il est déjà dit que les longues psalmodies nocturnes seront envoyées aux calendes grecques et les fidèles jeûneurs se demandent comment, un mois durant, ils vont tuer leurs nuits.

Le plus embêté sera le gouvernement. Il lui sera difficile d'imposer à la population un état de siège qui ne dira pas son nom pour éviter qu'une large contamination ne prenne place et il est à craindre avec la bigoterie généralisée du moment que les demeures ne se transforment en mosquées. A la vérité et quand la panoplie des interdits où s'entremêlent dès la naissance les empêchements gravés par la culture, les us, les rites et les obligations imposées de tourner en rond, le confinement prend parfois un sens dérisoire. Si la misère et les difficultés de l'existence se joignent au lot, il perd n'importe laquelle des significations. Satané virus qui est allé jusqu'à barricader les temples de prières devenus pour de nombreux humbles des exutoires pour se rincer des mauvais et reprochables expédients ! Pourtant ce que l'on a convenu d'appeler le 19-7 heures doit tenir bon pour une tentative presque désespérée de sauver le maximum de ce qu'il y a à sauver. Aléatoire commandement au goût amer pour l'adolescent fils de chômeur qui n'a qu'un gourbi parental comme niche et qui doit, le soir venu, se concilier avec la rue et sa lune pour se réfugier dans la fumée des premières cigarettes. Nous comprenons et nous compatissons devant la fantastique entorse présente qui plus qu'elle ne ricane face à l'embarras sans demi-mesure des plus humbles se fait dénommer Méphistophélès. Diable invisible qui ne peut être combattu que par l'invisibilité de l'homme. Une mort d'un nouveau genre imposée mais qui peut semer l'espoir et l'envie d'une nouvelle renaissance humaine.
Contradiction et contrainte
par Abdelkrim Zerzouri


Le gouvernement n'est plus très regardant en matière d'importation ?

Oui, pour certains produits jugés ou devenus stratégiques. On pourrait, ainsi, croire à une contradiction entre le discours officiel des gouvernements, qui se sont succédé ces dernières années au Palais de la rue Docteur Saadane, jusqu'au dernier en date, qui n'en finissent pas d'opérer tour de vis sur tour de vis pour réduire la facture d'importation, et cette dernière décision de facilitation des opérations d'importation. Mais il n'en est rien. Il ne s'agit pas d'une contradiction mais d'une contrainte majeure et imprévisible. La pandémie du coronavirus a chamboulé tous les programmes économiques et toutes les politiques. Par ces temps qui courent, en effet, la seule politique qui tienne la route est celle liée à la lutte contre le nouveau coronavirus (Covid-19). Des mesures exceptionnelles ont été, ainsi, mises en place par la direction générale des Douanes algériennes, visant à faciliter et accélérer les opérations d'importation de marchandises très demandées dans cette circonstance mondiale, dont certains produits alimentaires dits de première nécessité et de large consommation, ainsi que les produits de santé et les équipements médicaux. Il s'agit à travers cette exception de répondre aux besoins des citoyens. Là, également, on pourrait déceler une contradiction dans le discours officiel, qui ne manque pas de souligner que les stocks alimentaires, notamment, peuvent répondre aux besoins des citoyens jusqu'en 2021, selon le ministre du Commerce, mais il n'y en a aucune quand on gère une période exceptionnelle, où tous les paramètres changent, parfois d'une seule journée à une autre.

C'est une course contre la montre sur tous les plans, dans laquelle se trouve engagés le gouvernement, tous les gouvernements d'ailleurs. Du coup, on met de côté les politiques qui visent à réduire la facture d'importation. Mieux, on ouvre les vannes pour l'importation de certains produits. Des produits qui se trouvent, hélas, sous pression sur le marché mondial, puisque tous les pays souffrent et combattent le même mal. La décision des autorités algériennes, visant à faciliter et accélérer les opérations d'importation des marchandises et de leur enlèvement dès leur arrivée, sous réserve de s'engager à finaliser les formalités douanières ultérieurement, répond à une urgence soigneusement étudiée. A-t-on dans ce cadre pris au sérieux la récente mise en garde de trois organismes, la FAO, l'OMS et l'OMC, qui préviennent d'une crise alimentaire mondiale à l'ombre de la propagation de la pandémie du Covid-19 ? C'est possible, car l'alerte de ces trois organismes est à prendre très au sérieux et doit inciter les gouvernants à réagir rapidement, avant qu'il ne soit trop tard pour le faire. Parce que, dans leur rapport, ces trois organismes font état d'un déséquilibre créé par la pression de la demande mondiale, face à une rétention des stocks par les pays exportateurs, qui préfèrent se prémunir et assurer la sécurité alimentaire de leurs populations, plutôt que de vendre aux autres pays, qui conduirait inévitablement à un déficit des marchandises sur le marché mondial et provoquer une crise alimentaire sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Il y a lieu, donc, de lâcher la bride à l'importation, voire prendre les devants et acheter tout ce qui est encore disponible sur le marché mondial, pour renforcer les stocks alimentaires, déjà mis à mal par la frénésie des achats ces derniers jours, et en prévision d'une autre ruée sur les marchés à la veille du mois de Ramadhan, aussi importante que la première.
ILS SONT fort

un régal pour les lires tous les matin
"Le Jeune Indépendant"

COVID-19 : MA PETITE EXPÉRIENCE CONTRE UN MÉCHANT VIRUS
31 mars 2020 | 20:09
Covid-19
Akram Kharief

J’ai hésité à écrire ce texte car dès le départ j’avais choisi de ne pas en parler. Dans cette ambiance tendue et bizarre je ne voulais pas spécialement de compassion ou de soutien encore moins de déranger mes amis ou rameuter des curieux. Néanmoins j’ai décidé d’écrire mon expérience car la chose qui m’a le plus affectée c’est d’être dans le brouillard, ne pas avoir de références, malgré les centaines d’articles lus, sur ce que je pouvais avoir et sur comment cela allait évoluer.


J’ai eu deux témoignages d’amis qui ont vécu la chose et qui m’ont permis de me fixer un cap et d’ajuster mes forces pour ce qui a été un petit combat contre un ennemi très vicieux et retors.
Mon témoignage n’est pas scientifique, je ne suis pas médecin, il ne constitue pas un protocole thérapeutique ou préventif, c’est juste une description des deux semaines que j’ai vécu avec le Covid.
Il est dur de dire que ce virus ressemble à la grippe, dans mon cas ça a duré 14 jours. Les trois premiers ont été perturbants à cause des très fortes céphalées que j’ai eu. Migraineux, je suis addict à l’Ibuprofène et j’ai réellement été tenté d’en prendre, mais j’ai résisté, ça m’a probablement sauvé la vie. A partir du quatrième jour, arrêt des céphalées de manière subite, le virus a compris que je n’allais pas prendre d’anti-inflamatoires et qu’il allait s’occuper de moi autrement.
Pendant mes grosses fièvres j’imaginais physiquement le virus comme une petite créature insaisissable munie d’un canif que je pourrais écraser simplement si je l’attrapais ou l’envoyer valdinguer de l’autre côté de la mer si je pouvais lui ajuster un bon coup de pied dans la gueule.
Vous pouvez l’imaginer comme un Gremlin, je l’imagine comme dans l’image en bas.
Quatrième jour donc, le virus décide de s’installer dans mes voies respiratoires, je sens l’inflammation de mes bronches et j’ai l’impression que mes poumons tournent dans le vide. Je n’ai pas de difficultés à respirer et je tousse un peu.



Très rapidement, je passe de toux sèche à toux grasse, j’alterne antitussif et expectorant, c’est là que je comprends que le virus cherche ça. Que je me bourre de sirops qui bloquent les processus de défense de mon corps et j’arrête toute médication à partir du cinquième jour. Je garde uniquement quatre grammes de doliprane et de la vitamine C.


Entre-temps la fièvre s’installe et avec elle les courbatures, les hallucinations, la fatigue.Le sixième jour je lis qu’un ami a eu le Covid et qu’il se porte mieux, je lui laisse deux jours et je l’appel, il sera d’une grande aide pour moi. Oui j’étais sur les réseaux sociaux, ça m’occupais un peu et ça me permettait de voir le débat idiot sur le Chloroquine, idiot car des profanes en arrivaient aux insultes car incapables de valider scientifiquement leurs arguments.


C’est à ce moment où j’ai commencé à penser à l’hospitalisation. Même si je ne guérissais pas, je respirais assez bien et je ne me sentais pas sombrer, je me suis dit que le mieux était de me renseigner sur les services des urgences les plus proches en cas de dégradation rapide et rester à la maison.


Ce jour là, le sixième, je me suis senti bien, la pression que j’avais dans ma poitrine avait diminuée et je respirais comme à la montagne, je ne comprenais pas que ce petit salopard de virus avait désactivé mon odorat puis mon gout.


Je m’en suis rendu compte en ne sentant plus le désinfectant. A partir de ce moment le Covid s’est déchaîné et a commencé à tester mes organes à la recherche de maladies ou de brèches. J’ai eu des courbatures, des douleurs au foie et aux reins, la diarrhée, je n’arrivais plus à manger à cause de la nausée, car quand on a perdu le goût et l’odorat, on n’a plus que les textures comme sensations et je vous assure que c’est dégeulasse.
Vers le 9e jour j’ai découvert la vitamine C en poudre, très efficace pour ne pas couler physiquement.
Je suis resté dans cet état jusqu’au 13e jour, ce jour-là je me suis senti ….. grippé, ce qui m’a surpris. J’étais malade mais pas mal, j’avais plus de fièvre, je ne sentais plus la pression, le petit salopard allait me dire au revoir.
Il me l’a dit en me collant son dernier 38° de fièvre cette nuit-là et une interminable quinte de toux.
Le lendemain j’allais mieux.
Mes meilleurs amis pendant cette épreuve, en plus de ceux qui se sont très bien occupé de moi et ceux qui m’ont conseillé, ce sont : Le Doliprane 1000 à raison de quatre comprimés par jour, l’eau à volonté, les tisanes au miel à volonté, la vitamine C en poudre à raison de 4 grammes par jour, la Ventoline quand la respiration est difficiles.
Les ennemis sont : la peur, la douleur, les médicaments (ne touchez surtout pas aux médicaments en dehors de ceux que j’ai donné et aux dosages que j’ai donné, même pour déboucher votre nez ou pour la toux), la nourriture, ne mangez pas beaucoup.
Mes conseils, si vous êtes grand fumeurs ou si vous avez une maladie chronique, si vous êtes faible, demandez à être hospitalisé, mais faites attention à ne pas infecter les autres, surtout le personnel soignant, allez-y au moins en bavette.



Mais mon plus grand conseil, ne sortez-pas, si vous êtes obligé de le faire mettez une bavette et des lunettes au moins pour ne pas postillonner et pour casser l’habitude de vous toucher le visage, lavez-vous les mains en rentrant, soyez organisés mais pas malades et ne pensez-pas trop à la maladie.


Ah j’ai oublié, mangez équilibré, vous pouvez vivre sans pain et sans sucre ce n’est pas la mort. Les fumeurs, les buveurs, les accrocs au sucre ou au gazouz, c’est une très bonne occasion de diminuer ou d’arrêter. Je remercie les médecins de mon entourage qui m’ont soutenu et conseillé et je souhaite un bon rétablissement aux malades, vous allez y arriver.






Réconfortant AU moins je ne suis pas tout seul au combat

BRAVO FREROT pour ce moment de lecture
encourageant commentaire d'un internaute

Mekki Aissa
merci merci ....l'education peut aussi sauver ...peut être c'est ce qui manque le plus ....merci pour sa transmission à autrui.. .merci pour le texte aussi ...bon rétablissement
dommage il n'y a que sur notre site qu'il n'y a personne..........ILS SAVENT seulement LIRE .............que veut tu faire c'est comme ça.
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