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Disparitions d’enfants : Le drame plane toujours

Publié le 22/09/2020
El Moudjahid 22-09-2020 Disparitions d’enfants : Le drame plane toujours Revivrions-nous la terrible période de kidnappings d’enfants en série qui a défrayé la chronique et mis toute la société en émoi il y a quelques années ? Le spectre du kidnapping touchant les enfants plane à nouveau sur notre pays.
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Revivrions-nous la terrible période de kidnappings d’enfants en série qui a défrayé la chronique et mis toute la société en émoi il y a quelques années ? Le spectre du kidnapping touchant les enfants plane à nouveau sur notre pays.

Après une brève pause, les disparitions repartent. Le dispositif d’alerte et de vigilance mis en place par les autorités il y a moins d’une année est-il déjà défaillant ? Après la disparition de trois enfants signalée à Tlemcen, deux filles ont disparu il y a deux jours à la localité de Khraicia, dans la wilaya d'Alger. «Le dispositif d’alerte ne répond pas aux critères demandés. Dans ce genre de situation, lorsque la mère s’aperçoit de la disparition, le dispositif doit être mis en place 15 minutes après. Il est inconcevable qu’on réagisse plusieurs heures après. Je pense aussi qu’il faut intervenir beaucoup plus tôt avec les personnes soupçonnées de pédophilie en mettant une base de données nationale. Lorsque les pédophiles sont arrêtés, il faut leur mettre un bracelet électronique de surveillance ou leur injecter une puce. Toutes les études ont montré que les pédophiles sont des récidivistes», avait estimé il y a quelques années M. Khiati, président de la Forem, qui affirme aujourdhui encore qu’«on n’attend pas plusieurs jours pour lancer un appel à témoin». Face à ces kidnappings, les citoyens pères et mères de famille sont intransigeants et parlent même d’appliquer la peine capitale.
«La peine de mort doit être rétablie ; assez de ces droits de l’homme qui dénaturent la vie et l’existence et mettent l’homme au-dessus de tout ! L’homme qui n’a pas peur de Dieu n’a peur que de la mort», dira Kamel, pédiatre. «Je suis choqué par ces drames qui s’ajoutent à d’autres et qui interpellent notre conscience. Je crois plus que jamais que les autorités doivent rétablir la peine de mort, particulièrement pour les kidnappings et morts d’enfants. Pendant combien de temps devra-t-on encore laisser la peur gagner les parents et se demander à qui le tour si rien de dissuasif n’est fait pour convaincre de potentiels criminels à renoncer à leurs crimes ?», soutient pour sa part Lamia, enseignante. Au-delà des statistiques, c’est l’indignation face à un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur. Les professionnels de l'enfance, les médecins, les travailleurs sociaux, les professionnels de l'animation, les magistrats doivent être plus sensibilisés et formés pour ne plus passer à côté de ces drames. Nous, citoyens, avons aussi un devoir de vigilance qui nous oblige à ne plus fermer les yeux quand un enfant est en danger.

Les lois ont besoin d’être perfectionnées

Du harcèlement au viol, les peines encourues sont lourdes, selon les lois en vigueur en Algérie. Les coupables sont passibles dans certains cas de la peine de mort. Cependant, certains spécialistes estiment que la législation est «inadaptée». «D'abord, la législation ne mentionne pas le viol à l'égard des garçons, il est répertorié dans la case de l'atteinte à la pudeur.
C'est abject quand on connaît le nombre élevé d'agressions sexuelles envers les garçons», déplore Maître Bouchakou, avocat, avant d'ajouter que «l'inceste non plus n'est pas mentionné dans le code pénal.» La loi relative à la protection de l'enfant englobe les différents principes des droits de l'enfant et comporte plusieurs mécanismes devant protéger l'enfant des dangers, à l'instar de la création de l'Organe national de protection et de promotion de l'enfance (ONPPE) chargé de la coordination entre les différents secteurs, établissements et organes concernés par la protection de l'enfance afin de mettre en place un programme sur la promotion des droits de l'enfant, assurer leur suivi et les évaluer en vue d'intervenir sur le terrain pour remédier à certaines situations.
Toutefois, et face à un phénomène plus qu’inquiétant, les décideurs ne doivent plus se contenter de mettre en place des textes de loi adoptés, mais plutôt leur application sur le terrain et surtout suivre leur impact sur la vie des enfants algériens.

Doit-on rétablir l’application de la peine de mort ?

En Algérie, la disparition des enfants est un phénomène persistant, contre lequel une vigilance à tout moment est nécessaire pour éviter de rallonger la liste des victimes. Nombreux sont les cas de disparition d’enfants, retrouvés dans la majorité morts, qui défrayent la chronique, plongeant la famille et la société dans un état de frayeur et de terreur constants. Les articles 293 et 263 combinés du code pénal algérien autorisent le juge à prononcer la peine de mort dans ces cas précis d’infractions successives abjectes et graves. Le crime contre un enfant est non seulement intentionnel et prémédité, mais aussi brutal et cruel, allant jusqu'à entraîner la mort d’enfants très jeunes. Le législateur algérien a donc prévu la peine de mort si l’enlèvement de l’enfant était suivi de violence ou d’agression sexuelle ou d’assassinat, ou si le but était la demande de rançon. Cependant, bien que la peine de mort existe dans le code pénal, dans la pratique, elle est abolie depuis 1993, parce que l’Algérie a signé à plusieurs reprises un moratoire onusien sur le gel de la peine de mort. Le dernier de ces moratoires remonte au 18 décembre 2014 (résolution de l’Assemblée générale des Nations unies 69-186), du coup, elle n’exécute plus cette sentence. L’Algérie peut, si elle le souhaite, revenir vers l’exécution de la peine de mort pour ce type d’infractions graves, rien ne s’y oppose. D’ailleurs, plusieurs pays ont renoncé au gel au vu de la montée de la criminalité chez eux. «Les enfants subissent des abus sexuels par des gens qu’on ne peut pas considérer comme normaux. La peine de mort doit être rétablie dans les cas d’assassinat d’enfant, mais il faudrait surtout réaliser des études sur les raisons de l’effondrement de l’échelle des valeurs en Algérie», estime M. Khiati, président de la Forem.
Farida Larbi
"tant qu'il y aura la vente d'alcool"

tout est possible!
Quartier Sainte-Thérèse
Un commerce illicite de boissons alcoolisées dénoncé
20 Sep 2020 Annaba
697 fois
Etrange découverte que celle faite par des locataires du quartier « Sainte-Thérèse » d’Annaba. Il s’agit de la commercialisation de boissons alcoolisées de différentes marques. Notre source indique, à ce sujet, que des locataires et des fidèles de ladite mosquée du quartier, viennent d’informer les inspecteurs du 7eme arrondissement de la cité Saint-Cloud, dont dépend leur quartier, de l’existence au niveau des locaux d’une bâtisse d’un commerce illicite en l’occurrence la vente de boissons alcoolisées de marque. Opérant généralement by night au niveau d’une villa, le fournisseur en question reçoit, le soir venu, des invités, des deux sexes, à bord de véhicules haut de gamme. Le commerce, contre toute attente, estime-t-on, a pollué l’environnement par le va et vient de gens étrangers à la cité, ce qui a provoqué la colère des habitants. Faut-il rappeler qu’il y a quelques années, un trafic de grosses cylindrées, par le biais des pièces détachées d’importation, avait impacté la quiétude des habitants, avant que la douane algérienne n’y mette un terme en pénalisant financièrement et lourdement le mis en cause, également un habitant du quartier « Sainte-Thérèse ». Enfin, les habitants de ce quartier, jadis paisible, ont lancé un « SOS » au nouveau chef de sûreté de la wilaya de Annaba pour instruire les responsables en charge de la sécurité sur les lieux, à l’effet de mettre fin à cette situation de délinquance.

Salah-Eddine

tout est possible sous l'effet de la fusée

Constantine
Echec à la propagation du « SAROUKH » , 4 dealers arrêtés
20 Sep 2020 Constantine
50 fois
La brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la sureté de wilaya de Constantine a mis en échec un contrat de vente d’une quantité de 533 comprimés du médicament psychotrope appelé dans le milieu des dealers et de la drogue « le Saroukh » à cause de son effet puissant sur celui qui le consomme. L’affaire relative à la passation de ce contrat entre les dealers a été éventée le14 septembre dernier au niveau du quartier d’El-Mansourah et les éléments de la BRI se sont lancés aussitôt sur la piste des trafiquants en mettant en place un plan efficace. Si efficace que cela leur a permis d’encercler complétement le quartier et de mettre la main sur deux éléments qui se préparaient à exécuter le contrat de vente de psychotropes sur lesquels ils ont découvert une quantité de 533 comprimés de ce médicament et une somme d’argent de 78200 dinars. Ils furent tout de suite conduits au siège de la brigade pour les besoins de l’enquête. Celle-ci a permis aussitôt de parvenir à l’arrestation de leurs deux complices au niveau du même quartier. Et il s’est avéré que ces deux dealers constituent la source principale de propagation du fameux médicament « Brigabaline 300 mg appelé dans le milieu le « Saroukh » ( la fusée). Et c’est ainsi qu’à la fin des procédures judiciaires établies contre eux, les quatre dealers ont été déférés par devant le procureur de la république compétent et écroués

«Les enfants subissent des abus sexuels par des gens qu’on ne peut pas considérer comme normaux"
alcool et saroukh

qui te transforme en prédateur sexuel
les vendeurs D'alcool ET des comprimés brigabaline connaissent les prédateurs sexuels!.
pour trouver les prédateur sexuels.........il suffit d'un agent qui se met dans le rôle de Serpico!
"les ravisseurs sont"

les rabatteurs des fillettes et proxénètes! il ne pas cherchez trop loin ....en les trouvent maisons closes, bordels......
"les ravisseurs sont"

les rabatteurs des fillettes et proxénètes! il ne pas cherchez trop loin ....en les trouvent maisons closes, bordels......
et les quartiers de misère!!!!!!!!!!!!!!
dans ces quartiers faire une rafle et embarquer toutes cette mafia....ensuite les passer à la torture un par un pour obtenir tous les renseignements avec les salauds il faut agir en salauds!!!!!!!!!!!
EFFETS INDÉSIRABLES
Les effets indésirables les plus communs avec la prégabaline sont l’étourdissement, les vertiges, la somnolence, l’augmentation de l’appétit, la prise de poids, les troubles de l’érection et les troubles de la vision
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