Chlef : Des prévisions optimistes pour l’agrumiculture

La wilaya de Chlef, fief des agrumes, avec une superficie de 6000 ha, devrait fournir une production de 1 500 000 quintaux d’oranges pour la campagne 2020/2021.

C’est ce qu’estime le fellah et membre du bureau de l’UNPA de Chlef, Mohamed Benaissa, qui indique que certaines variétés comme la mandarine Montréal et l’orange Thomson à peau fine ont déjà été récoltées et commercialisées sur le marché. Il a affirme que ces prévisions optimistes sont dues au fait que la culture des agrumes dans la région n’a pas beaucoup souffert de la sécheresse persistante à la faveur du déroulement de la campagne d’irrigation dans des conditions normales.

Néanmoins, précise-t-il, l’apport des eaux de pluie est plus que nécessaire pour les nouvelles plantations dont un grand nombre réalisé il y a trois ans par des investisseurs privés, vont commencer cette année à donner leurs premiers fruits. Il faut rappeler que des fermes pilotes agricoles abandonnées sont exploitées dans le cadre de la mise en valeur des terres par concession, ce qui a contribué, selon notre interlocuteur, à l’essor et au développement de la filière agrumicole.

La wilaya de Chlef, fief des agrumes, avec une superficie de 6000 ha, devrait fournir une production de 1 500 000 quintaux d’oranges pour la campagne 2020/2021.

C’est ce qu’estime le fellah et membre du bureau de l’UNPA de Chlef, Mohamed Benaissa, qui indique que certaines variétés comme la mandarine Montréal et l’orange Thomson à peau fine ont déjà été récoltées et commercialisées sur le marché. Il a affirme que ces prévisions optimistes sont dues au fait que la culture des agrumes dans la région n’a pas beaucoup souffert de la sécheresse persistante à la faveur du déroulement de la campagne d’irrigation dans des conditions normales.

Néanmoins, précise-t-il, l’apport des eaux de pluie est plus que nécessaire pour les nouvelles plantations dont un grand nombre réalisé il y a trois ans par des investisseurs privés, vont commencer cette année à donner leurs premiers fruits. Il faut rappeler que des fermes pilotes agricoles abandonnées sont exploitées dans le cadre de la mise en valeur des terres par concession, ce qui a contribué, selon notre interlocuteur, à l’essor et au développement de la filière agrumicole.