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Les Commentaires
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
"Lendemain de l’Aïd
L’hygiène la grande absente"
À Annaba, cette année encore, la fête de l’Aïd Al-Adha a été marquée par l’insalubrité.
L’incivisme de certains, auquel il faut ajouter l’absence d’un plan efficace d’action de gestion de déchets, ont engendré une atteinte à l’environnement à la limite de l’insupportable.
Il semblerait qu’au niveau de la cité des rives de la Seybouse, l’incivisme, est loin d’être conjoncturel, plutôt une suite continue d’actes et de faits.
Sinon comment expliquer que quelques heures après le sacrifice, certaines cités croulent déjà sous les déchets ? Ainsi, nous avons constaté, qu’a l’exception d’une partie du centre-ville ou encore des cités huppées du littoral, la fête a été totalement gâchée par la prolifération des déchets des moutons du sacrifice.
En effet, des dizaines, voire des centaines, de peaux, têtes, pattes et autres restes de moutons du sacrifice, ainsi que du foin et de la paille, ont inondé des bacs à ordures.
Ceci, malgré l’appel des autorités et des citoyens pour éviter, lors du sacrifice du mouton, de jet des déchets surtout dans les réseaux d’assainissement, surtout lorsqu’en sait que les cornes du mouton ou ses pattes ou même sa toison occasionnent inévitablement l’obstruction des canalisations.
La vie est devenue, par manque de civisme, un enfer. «Ici, on jette les ordures et les déchets n’ importe où, n’importe comment et à n’importe quelle heure», tient à témoigner un habitant de la cité Rym, les plains Ouest et autres quartiers populeux d’El-Bouni, à l’image de Sidi-Salem, Boukhadra ou encore la commune de Sidi-Amar et Hadjar-Eddis.
Dénotant de l’absence de culture de la protection de l’environnement, de civisme et du vivre ensemble, ce phénomène d’insalubrité, qui porte atteinte au cadre de vie et à l’environnement, continu de faire la peau dure, aussi bien aux pouvoirs publics qu’aux habitant.
En attendant qu’elle fasse sa grande toilette en cette période des grandes chaleurs, Annaba, la Coquette, mérite un meilleur sort.
B. Salah-Eddine
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
"ETERNEL PROBLEME"
Source de toutes les maladies!.
Le manque total d'éducation...beaucoup d'abrutis vont encore dire que c'est la faute du maire qui n'a pas fait sont travail!, et que le wali s'en fout!.
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
Nous avons ce qu'on mérite, il ne manquait que ce là "une cerise sur le gâteau du covid19!.
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
la solution il nous faut des "ROBOTS" POUR nettoyer notre merde!.
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
après on s'étonne que nos hôpitaux sont plein a craquer;;;J'ai plus rien a dire sauf que nous sommes une race à part!!!!!!!!!!
Posté par M.O.F.Annabi le 25/07/2021
a t on vraiment mérité notre pays pour le rendre malheureux????????????????????????????
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Les Commentaires
L’hygiène la grande absente"
À Annaba, cette année encore, la fête de l’Aïd Al-Adha a été marquée par l’insalubrité.
L’incivisme de certains, auquel il faut ajouter l’absence d’un plan efficace d’action de gestion de déchets, ont engendré une atteinte à l’environnement à la limite de l’insupportable.
Il semblerait qu’au niveau de la cité des rives de la Seybouse, l’incivisme, est loin d’être conjoncturel, plutôt une suite continue d’actes et de faits.
Sinon comment expliquer que quelques heures après le sacrifice, certaines cités croulent déjà sous les déchets ? Ainsi, nous avons constaté, qu’a l’exception d’une partie du centre-ville ou encore des cités huppées du littoral, la fête a été totalement gâchée par la prolifération des déchets des moutons du sacrifice.
En effet, des dizaines, voire des centaines, de peaux, têtes, pattes et autres restes de moutons du sacrifice, ainsi que du foin et de la paille, ont inondé des bacs à ordures.
Ceci, malgré l’appel des autorités et des citoyens pour éviter, lors du sacrifice du mouton, de jet des déchets surtout dans les réseaux d’assainissement, surtout lorsqu’en sait que les cornes du mouton ou ses pattes ou même sa toison occasionnent inévitablement l’obstruction des canalisations.
La vie est devenue, par manque de civisme, un enfer. «Ici, on jette les ordures et les déchets n’ importe où, n’importe comment et à n’importe quelle heure», tient à témoigner un habitant de la cité Rym, les plains Ouest et autres quartiers populeux d’El-Bouni, à l’image de Sidi-Salem, Boukhadra ou encore la commune de Sidi-Amar et Hadjar-Eddis.
Dénotant de l’absence de culture de la protection de l’environnement, de civisme et du vivre ensemble, ce phénomène d’insalubrité, qui porte atteinte au cadre de vie et à l’environnement, continu de faire la peau dure, aussi bien aux pouvoirs publics qu’aux habitant.
En attendant qu’elle fasse sa grande toilette en cette période des grandes chaleurs, Annaba, la Coquette, mérite un meilleur sort.
B. Salah-Eddine
Source de toutes les maladies!.
Le manque total d'éducation...beaucoup d'abrutis vont encore dire que c'est la faute du maire qui n'a pas fait sont travail!, et que le wali s'en fout!.