Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/L’administration à Annaba : Bureaucratie, quand tu nous tiens !
Zone Membre
Publicités

L’administration à Annaba : Bureaucratie, quand tu nous tiens !

Publié le 23/10/2021
L’administration à Annaba : Bureaucratie, quand tu nous tiens !
« Actualité précédente
À 83 ans, il bat encore le fer à Tahanuts N Tejmaât Ouramdane Ahitous, le dernier forgeron d’Ihitoussen
Actualité suivante »
701 harraga interceptés par l’ANP, 39 autres disparus en Espagne : Le décompte macabre continue

Les Commentaires



L’administration à Annaba : Bureaucratie, quand tu nous tiens !
Par : M. Rahmani

La bureaucratie est assimilée à un véritable boulet qui freine toutes les ardeurs, bloque l’investissement à Annaba et est devenue une sorte d’ogre qui dissuade les plus téméraires des porteurs de projets. En effet, pour un simple document tout à fait insignifiant et sans impact réel sur l’admission d’un dossier et son agrément par les autorités concernées, un projet se trouve bloqué pendant des semaines, voire des mois avant que la fameuse pièce ne soit délivrée par une autre administration tout aussi pointilleuse dans la délivrance des pièces administratives.

Des dizaines de projets sont ainsi passés à la trappe, d’autres ont été carrément annulés et d’autres encore ont été réalisés dans d’autres wilayas proches d’Annaba, car les responsables de ces circonscriptions administratives ont su être souples permettant ainsi l’installation des investisseurs pour leur demander plus tard de régulariser leur situation. L’essentiel pour ces responsables est la concrétisation des projets et ainsi créer de la richesse, mais aussi et surtout de l’emploi.

Annaba qui croule sous un chômage endémique dû à la fermeture de dizaines d’entreprises pour cause de faillite ou suite aux effets de la pandémie de la covid-19 se trouve ainsi privée de projets générateurs d’emplois pour une jeunesse désœuvrée et pour laquelle seule « la harga » est l’échappatoire qui pourrait les sortir de la pauvreté et de la misère.

Pour avoir plus d’informations sur les lenteurs bureaucratiques, sur les traitements des dossiers ayant trait à l’investissement, nous nous sommes rapprochés de la wilaya, précisément auprès de la Direction de la réglementation et des affaires générales. Il fallait donc s’adresser à cette direction pour savoir ce que prévoit la réglementation en vigueur en matière de traitement des dossiers et ainsi voir où ça bloque.

Mais un vrai barrage a été dressé devant nous par un agent peu accueillant qui nous a renvoyés de manière pour le moins irrespectueuse vers la cellule de communication qui devra nous chaperonner et nous accompagner dans notre travail. Incroyable !

Au niveau de la cellule, on nous dit qu’il faudra lui soumettre les questions à poser qui seront transmises au responsable en question qui les examinera pour ensuite décider d’un rendez-vous pour y répondre.

En somme tout un programme et à savoir si ledit responsable acceptera de nous recevoir et répondre à nos questions. Et là, c’est un exemple flagrant et criard de bureaucratie qui est une véritable sangsue qu’il s’avère impossible de s’en débarrasser. L’on croyait qu’au contraire, on allait nous recevoir pour nous expliquer le comment du pourquoi de cette situation mais là, nous nous sommes heurtés à ce monstre qu’est la bureaucratie que le Président lui-même dit combattre jusqu’à l’éradiquer. Mais l’hydre est toujours là, se dresse comme un mur infranchissable et, apparemment a encore de beaux jours devant elle, au vu de ses fervents défenseurs et ces fonctionnaires zélés, trop zélés.

Un traitement aussi irrespectueux à l’égard d’un journaliste, dont la mission est d’informer l’opinion, est inacceptable. Qu’en est-il alors pour le pauvre citoyen balloté d’un bureau à l’autre et qu’on fait galoper pendant des jours pour un simple document. Parmi les priorités du gouvernement Benabderrahmane, c’est l’éradication de ce phénomène qui perdure et qui empoisonne la vie du citoyen.


L’administration à Annaba : Bureaucratie, quand tu nous tiens !
Par : M. Rahmani

La bureaucratie est assimilée à un véritable boulet qui freine toutes les ardeurs, bloque l’investissement à Annaba et est devenue une sorte d’ogre qui dissuade les plus téméraires des porteurs de projets. En effet, pour un simple document tout à fait insignifiant et sans impact réel sur l’admission d’un dossier et son agrément par les autorités concernées, un projet se trouve bloqué pendant des semaines, voire des mois avant que la fameuse pièce ne soit délivrée par une autre administration tout aussi pointilleuse dans la délivrance des pièces administratives.

Des dizaines de projets sont ainsi passés à la trappe, d’autres ont été carrément annulés et d’autres encore ont été réalisés dans d’autres wilayas proches d’Annaba, car les responsables de ces circonscriptions administratives ont su être souples permettant ainsi l’installation des investisseurs pour leur demander plus tard de régulariser leur situation. L’essentiel pour ces responsables est la concrétisation des projets et ainsi créer de la richesse, mais aussi et surtout de l’emploi.

Annaba qui croule sous un chômage endémique dû à la fermeture de dizaines d’entreprises pour cause de faillite ou suite aux effets de la pandémie de la covid-19 se trouve ainsi privée de projets générateurs d’emplois pour une jeunesse désœuvrée et pour laquelle seule « la harga » est l’échappatoire qui pourrait les sortir de la pauvreté et de la misère.

Pour avoir plus d’informations sur les lenteurs bureaucratiques, sur les traitements des dossiers ayant trait à l’investissement, nous nous sommes rapprochés de la wilaya, précisément auprès de la Direction de la réglementation et des affaires générales. Il fallait donc s’adresser à cette direction pour savoir ce que prévoit la réglementation en vigueur en matière de traitement des dossiers et ainsi voir où ça bloque.

Mais un vrai barrage a été dressé devant nous par un agent peu accueillant qui nous a renvoyés de manière pour le moins irrespectueuse vers la cellule de communication qui devra nous chaperonner et nous accompagner dans notre travail. Incroyable !

Au niveau de la cellule, on nous dit qu’il faudra lui soumettre les questions à poser qui seront transmises au responsable en question qui les examinera pour ensuite décider d’un rendez-vous pour y répondre.

En somme tout un programme et à savoir si ledit responsable acceptera de nous recevoir et répondre à nos questions. Et là, c’est un exemple flagrant et criard de bureaucratie qui est une véritable sangsue qu’il s’avère impossible de s’en débarrasser. L’on croyait qu’au contraire, on allait nous recevoir pour nous expliquer le comment du pourquoi de cette situation mais là, nous nous sommes heurtés à ce monstre qu’est la bureaucratie que le Président lui-même dit combattre jusqu’à l’éradiquer. Mais l’hydre est toujours là, se dresse comme un mur infranchissable et, apparemment a encore de beaux jours devant elle, au vu de ses fervents défenseurs et ces fonctionnaires zélés, trop zélés.

Un traitement aussi irrespectueux à l’égard d’un journaliste, dont la mission est d’informer l’opinion, est inacceptable. Qu’en est-il alors pour le pauvre citoyen balloté d’un bureau à l’autre et qu’on fait galoper pendant des jours pour un simple document. Parmi les priorités du gouvernement Benabderrahmane, c’est l’éradication de ce phénomène qui perdure et qui empoisonne la vie du citoyen.
U.N.E T.R.I.S.T.E R.E.A.L.I.T.E

Annaba qui croule sous un chômage endémique dû à la fermeture de dizaines d’entreprises pour cause de faillite ou suite aux effets de la pandémie de la covid-19 se trouve ainsi privée de projets générateurs d’emplois pour une jeunesse désœuvrée et pour laquelle seule « la harga » est l’échappatoire qui pourrait les sortir de la pauvreté et de la misère.
Hélas! A cause des bourricots qui gère cette ville!.
En somme tout un programme et à savoir si ledit responsable acceptera de nous recevoir et répondre à nos questions. Et là, c’est un exemple flagrant et criard de bureaucratie qui est une véritable sangsue qu’il s’avère impossible de s’en débarrasser. L’on croyait qu’au contraire, on allait nous recevoir pour nous expliquer le comment du pourquoi de cette situation mais là, nous nous sommes heurtés à ce monstre qu’est la bureaucratie que le Président lui-même dit combattre jusqu’à l’éradiquer. Mais l’hydre est toujours là, se dresse comme un mur infranchissable et, apparemment a encore de beaux jours devant elle, au vu de ses fervents défenseurs et ces fonctionnaires zélés, trop zélés.
cette bureaucratie qui vous oblige a mettre les voiles pour d'autres aventures pour pouvoir lutter pour vivre et faire le bonheur de d'autres nations plus réalistes qui les rendent PROSPERE!.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires