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Plages d’Annaba Un véritable lupanar à ciel ouvert !

Publié le 16/06/2022
Plages d’Annaba Un véritable lupanar à ciel ouvert ! Salah-Eddine / RC Les sites situés au bord de la mer, à savoir Belvédère et Ras El Hamra, se trouvant à une dizaine de kilomètres au Nord du chef-lieu d’Annaba, semblent être détournés de leur vocation balnéaire pour devenir des espaces fréquentés par la lie, de la société au grand dam des citoyens… au vu et au su de tous: élus, autorités civiles et militaires. C’est ce qu’ont dénoncé de nombreuses familles, qui ont dû fuir ces endroits, qui ne sont plus protégés des agissements de dépravés. Car pour elles, ces sites - qui étaient des lieux de villégiatures depuis des années, ne sont plus que des espaces de prédilection pour une faune de délinquants. Et pour avoir une idée de la gravité de cette situation, il suffit de faire une virée notamment de nuit et constater de visu, que ces espaces sont envahis par une gent qui fait fi du respect dû aux familles et aux vacanciers et se livre à des comportements que la morale et le civisme réprouvent. Le cadre agréable de ces coins paradisiaques, situés au piémont des monts de l’Edough, sur un versant donnant sur la Grande bleue, a perdu son lustre d’antan du fait du laisser-aller de responsables censés veiller à la salubrité de ces lieux devenus des sites de beuveries clandestines, de trafic de stupéfiants et de prostitution, aussi bien masculine que féminine. Malgré les efforts consentis des mois durant par des association, telle que Green-Bike, spécialisée dans les randonnées à vélo électrique et la lutte contre l’insalubrité ainsi que l'Association nationale pour la protection de l'environnement et la lutte contre la pollution (ANPEP), l’entretien, la sauvegarde et la mise en valeurs du littoral de la wilaya font défaut. D’ailleurs, tout un chacun peut le constater au vu des amas de déchets solides disséminés un peu partout. Selon des riverains, cela ne s’est jamais produit. Des quantités de déchets, principalement des cannettes et bouteilles de boissons alcoolisées, jonchent le littoral constitué principalement des deux sites chers aux Annabis s’étendant de la Caroube à Ras El Hamra. Le comble, même les alentours des structures des services de sécurité implantées sur les lieux, ne sont pas épargnés. Chaque plage, ou presque, dispose, en effet, de son propre poste de gendarmerie, sans compter les barrages supposés être filtrants. « L’on ne peut que détourner le regard, lorsque au détour d’un chemin ou à proximité d’un bosquet on se retrouve face à une situation inattendue, voire gênante. A qui se plaindre ? », déclarent des citoyens, pourtant loin d’être des fanatiques de la burqa. L’ex-Coquette ne manque pourtant pas de lieux de loisirs et de luxure où des femmes, peu-vêtues, dansent sur des musiques endiablées, à tue-tête, et où la bière coule à flots - en toute discrétion, respect et légalité. Faut-il pour respirer un peu l’air iodé de la notre bonne vieille Méditerranée aller ailleurs ? Mais où ?
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Salah-Eddine / RC


Les sites situés au bord de la mer, à savoir Belvédère et Ras El Hamra, se trouvant à une dizaine de kilomètres au Nord du chef-lieu d’Annaba, semblent être détournés de leur vocation balnéaire pour devenir des espaces fréquentés par la lie, de la société au grand dam des citoyens… au vu et au su de tous: élus, autorités civiles et militaires. C’est ce qu’ont dénoncé de nombreuses familles, qui ont dû fuir ces endroits, qui ne sont plus protégés des agissements de dépravés. Car pour elles, ces sites - qui étaient des lieux de villégiatures depuis des années, ne sont plus que des espaces de prédilection pour une faune de délinquants. Et pour avoir une idée de la gravité de cette situation, il suffit de faire une virée notamment de nuit et constater de visu, que ces espaces sont envahis par une gent qui fait fi du respect dû aux familles et aux vacanciers et se livre à des comportements que la morale et le civisme réprouvent. Le cadre agréable de ces coins paradisiaques, situés au piémont des monts de l’Edough, sur un versant donnant sur la Grande bleue, a perdu son lustre d’antan du fait du laisser-aller de responsables censés veiller à la salubrité de ces lieux devenus des sites de beuveries clandestines, de trafic de stupéfiants et de prostitution, aussi bien masculine que féminine. Malgré les efforts consentis des mois durant par des association, telle que Green-Bike, spécialisée dans les randonnées à vélo électrique et la lutte contre l’insalubrité ainsi que l'Association nationale pour la protection de l'environnement et la lutte contre la pollution (ANPEP), l’entretien, la sauvegarde et la mise en valeurs du littoral de la wilaya font défaut. D’ailleurs, tout un chacun peut le constater au vu des amas de déchets solides disséminés un peu partout. Selon des riverains, cela ne s’est jamais produit. Des quantités de déchets, principalement des cannettes et bouteilles de boissons alcoolisées, jonchent le littoral constitué principalement des deux sites chers aux Annabis s’étendant de la Caroube à Ras El Hamra. Le comble, même les alentours des structures des services de sécurité implantées sur les lieux, ne sont pas épargnés. Chaque plage, ou presque, dispose, en effet, de son propre poste de gendarmerie, sans compter les barrages supposés être filtrants. « L’on ne peut que détourner le regard, lorsque au détour d’un chemin ou à proximité d’un bosquet on se retrouve face à une situation inattendue, voire gênante. A qui se plaindre ? », déclarent des citoyens, pourtant loin d’être des fanatiques de la burqa. L’ex-Coquette ne manque pourtant pas de lieux de loisirs et de luxure où des femmes, peu-vêtues, dansent sur des musiques endiablées, à tue-tête, et où la bière coule à flots - en toute discrétion, respect et légalité. Faut-il pour respirer un peu l’air iodé de la notre bonne vieille Méditerranée aller ailleurs ? Mais où ?
"Quel est l'origine du mot lupanar ?
Lupanar, mot lat"

Signifiant «maison de prostitution, lieu de débauche» (de lupa «louve» et au fig. «courtisane, prostituée»).
Nous restons les "King" du lupanar! des véritables "I N C O R R I G I B L E"
incorrigible
adjectif

(bas latin incorrigibilis)

1. Qu'on ne peut corriger, qui s'obstine dans ses erreurs : Une incorrigible distraction.
Synonymes :

déterminé - endurci

2. Qui pousse à l'extrême une attitude : Un incorrigible farceur.
Synonymes :

impénitent - indécrottable (familier) - invétéré
Traduire "incorrigible" en
Turc
1. düzeltilemez
En un mot

Des bordéliques de l'EXTREME
Être bordélique est un comportement plutôt répandu de nos jours. Certaines personnes ont l’habitude de vivre dans un bazar et un chaos permanents. Lorsque vous pénétrez dans leur maison, vous avez l’impression d’être dans un capharnaüm et vous vous sentez immédiatement oppressé. En terme d’accumulation d’objets, il y a différentes catégories de comportements.

A l’extrême, nous avons les personnes qui souffrent du syndrome de Diogène ou syllogomanie, qui est un véritable trouble du comportement et une vraie maladie, très handicapante. Ces personnes ne peuvent s’empêcher de collectionner tout et n’importe quoi et sont incapables de jeter quoi que ce soit.


Elles finissent par avoir tellement de fouillis qu’elles ne parviennent même plus à circuler dans leur propre maison. Certaines croulent littéralement sous des montagnes d’objets et malheureusement, dans les cas les plus dramatiques, certaines personnes meurent littéralement étouffées par leurs possessions. Ce type de « bordel » n’est surtout pas à prendre à la légère et doit impérativement être pris en charge par un spécialiste.

Dans cet article, nous allons traiter d’un bordel plus léger, plus répandu dans la population. Vous avez certainement autour de vous quelqu’un – ou vous êtes vous-même concerné – qui est un peu bordélique sur les bords. Personnellement, j’ai une amie qui est ce qu’on appelle une personne bordélique et qui s’assume en tant que telle. Je crois que son bazar la rassure, comme une présence affectueuse sur laquelle elle peut toujours compter.

Un peu comme un vieil ami que l’on connait par coeur et dont on sait qu’il sera toujours loyal et fidèle. Cette amie était aussi une collègue à une époque et son bureau était toujours caché sous un amoncellement de dossiers. Le rangement et l’organisation l’effrayaient au plus au point. Je me souviens qu’un jour, elle s’était lancé un défi et avait rangé son bureau pour la première fois depuis longtemps. Elle était à la fois hyper fière d’elle et en même temps complètement angoissée par cet espace vierge, dépourvu d’objets. Elle avait ensuite très rapidement retrouvé tous ses dossiers adorés 😉

Pourquoi est-on bordélique ?
La plupart des gens bordéliques ne choisissent pas consciemment de l’être. Ils le sont un peu par défaut, comme si c’était leur nature – en tout cas c’est ce qu’ils pensent généralement. En réalité, la nature n’a pas grand chose à voir là-dedans. Vous allez voir qu’il y a d’autres explications.

1. On a peur d’être seul
Dans ce cas, le bordel est un peu comme un doudou qui rassure et protège de toutes les angoisses qu’on peut avoir – et qui sont souvent des angoisses infantiles. On n’arrive pas à jeter parce qu’on s’accroche aux objets qu’on possède. Comme si les objets étaient des personnes proches, des amis sincères, qui nous tiennent compagnie. Finalement le fouillis comble le vide, satisfait le manque, réchauffe le coeur, console la solitude. Sans les objets, on se sent seul et on en souffre !

2. On ne veut pas se détacher du passé
Ne pas se séparer des objets, c’est aussi une façon de ne pas couper le cordon avec le passé. Les objets nous rappellent des souvenirs, plus ou moins bons. Le passé est rassurant car il est connu, prévisible, confortable et familier. Il ne peut pas nous décevoir et ne nous oblige pas à grandir et à devenir adulte. Vivre dans le passé est une façon de fuir un avenir angoissant, imprévisible et risqué.

3. On se sent perdu dans notre vie
On dit souvent que notre foyer est le reflet de ce qu’il se passe dans notre tête. Vivre dans un bordel chronique peut-être synonyme de chaos interne et refléter le sentiment d’être perdu, sans trop savoir où l’on est ni où l’on veut aller. Il suffit parfois de faire un peu de rangement pour y voir plus clair, éclaircir ses idées et retrouver son chemin !

4. On a appris à être bordélique
Le culte de l’accumulation d’objets peut aussi être un héritage familial. Dans certaines familles, « jeter c’est gaspiller ». Si vous avez entendu vos parents répéter cette phrase pendant toute votre jeunesse, vous l’avez peut être intériorisée et appliquée une fois adulte sans vous rendre compte de l’origine de cette croyance. Au sein des familles, les croyances se transmettent aussi facilement que les poux à l’école. A l’inverse, si vos parents étaient maniaques, vous avez peut être le désir de vous affirmer en vous rebellant et en faisant tout le contraire de ce qu’ils voulaient.

Comment sortir du chaos et ne plus être bordélique ?
1. Trouver sa motivation profonde
Commencez par vous demander si vous avez réellement envie de ranger. Il est nécessaire que le désir vienne de vous et pas de votre entourage. Quand on fait les choses pour faire plaisir aux autres, la motivation ne reste jamais bien longtemps. C’est comme arrêter de fumer ou faire un régime, si vous le faites pour les autres, vous craquerez très vite car votre motivation sera faible. Alors que si vous trouvez une raison qui vous tient vraiment à coeur, à laquelle vous donnez un sens profond, le rangement se fera bien plus aisément et tiendra sur la durée car vous serez très motivé par votre objectif.

Interrogez-vous sur la ou les raisons pour lesquelles vous voulez ranger. Ce peut être pour accueillir vos amis ou votre famille dans un espace agréable, vous sentir plus libre de vos mouvements ou encore profiter davantage de l’espace que vous offre votre maison. Ranger pourrait même devenir un plaisir 🙂

2. Identifier les causes du désordre
Parfois, la motivation ne suffit pas et il est nécessaire d’identifier les causes plus profondes du désordre pour pouvoir en sortir. Il faut alors faire du tri dans son passé, identifier les émotions associées à certains évènements, explorer les traumatismes s’il y’en a afin de digérer le passé et repartir sur de bonnes bases pour vivre le présent et l’avenir le plus sereinement possible. Ce travail d’introspection peut être fait seul ou avec l’aide d’un thérapeute si nécessaire.
moi en tout cas ! je ne voudrais pas habiter dans leurs cranes de merde!!!!!!!!!!!!!!!
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