A l’université Badji Mokhtar de Annaba, ils sont à peu près 400 étudiants africains à fréquenter les amphis et les salles de cours aux côtés de leurs homologues algériens parmi lesquels ils ne trouvent aucune difficulté à se fondre partageant jusqu’à leurs plus intimes activités. Ce sont des Sénégalais, des Maliens, des Congolais, des Mauritaniens, des Nigériens, des Burkinabés, etc. dont il s’agit et dans les deux sexes, en plus. Conscients de cette osmose panafricaine qui semble faire fi de toutes les différences qu’elles soient raciales ou théologiques, les responsables en charge de la culture et du sport de l’institution...
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