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Hôpital de Taher Violences et panique aux urgences

Publié le 13/07/2022
Hôpital de Taher Violences et panique aux urgences 13 Juil 2022 Régions 319 fois Violences et panique aux urgences Cinq jeunes se sont présentés hier, mardi 12 juillet, aux environs d’une heure du matin au service des urgences de l’hôpital Saïd Medjdoub de Taher dans la de wilaya de Jijel avec des plaies béantes à l’abdomen. Ceci est intervenu après une rixe à l’arme blanche entre deux bandes rivales. Des blessures ont été immédiatement soignées par le personnel médical d’astreinte. Après avoir été recousu, un jeune homme, qui a exigé la venue des policiers, a été orienté vers le cabinet du médecin légiste pour se faire délivrer un certificat médical. Visiblement sous l’effet de psychotropes où en état d’ébriété avancé, le blessé entrera de force dans le cabinet du médecin et s’en prendra violemment à un patient évacué pour une auscultation en le frappant. Le forcené a tenté ensuite d’agresser le médecin de garde et l’infirmier. Il s'est ensuivi une course poursuite à travers l’Etablissement Public Hospitalier (EPH) où l’agresseur pourchassera le personnel médical à travers les coursives de l’hôpital. Il a été finalement maîtrisé grâce à l’intervention des policiers et des agents de sécurité, qui l’emmèneront au commissariat en cellule de dégrisement. Pour leur part, le médecin et l’infirmier ont adressé leurs rapports à leur hiérarchie pour signaler cette énième agression du genre. Le personnel médical de l’hôpital de Taher a dénoncé les conditions d’insécurité auxquelles est confronté quotidiennement, surtout la nuit. Les conditions de travail des équipes de santé et la protection de leur vie est à revoir. Notonq que, la plupart des agressions sont commises contre les médecins et paramédicaux, d'autant plus que la plupart d’entre eux sont de l'élément féminin. Et comme l'a dit un médecin : « j'ai besoin d'une présence permanente de sécurité pour me protéger lors de l'examen des patients et la prévention immédiate de toute tentative. Après l’agression on me demande de porter plainte mais c’est trop tard» elle affirme que : «mon travail est de soigner les patients, pas de trainer dans les couloirs de justice », conlut Mme le medecin. Bouchama
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Les Commentaires

"Cette violence qui existe casiment"

dans tous les hôpitaux du pays!.
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