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"The Line": le projet fou d'une ville en ligne droite pour la mégalopole futuriste d'Arabie saoudite

Publié le 18/08/2022
Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge. Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM La mégapole futuriste Neom en Arabie saoudite s'étendra sur 170 kilomètres et abritera deux gratte-ciels massifs recouverts de miroirs, selon les derniers plans dévoilés fin juillet par le prince héritier Mohammed ben Salmane, qui n'ont pas effacé les doutes sur la faisabilité économique et environnementale du projet. Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier. Avec ses taxis volants et robots domestiques, Neom a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité. Au départ, Neom a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés. Mais lors de la présentation de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète". L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains. "Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington. Répondre à l'étalement urbain Les autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à Neom. Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs. A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane. "C'est l'intérêt principal de la construction de Neom: augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales?". D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié fin juillet. Neom devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur. Autre défi pour Neom: respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle". Introduction en bourse de Neom prévue en 2024 Neom est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de Neom dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet". Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed. Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de Neom prévue en 2024. Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19. Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki. "La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
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Les Commentaires

Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge.

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM
La mégapole futuriste Neom en Arabie saoudite s'étendra sur 170 kilomètres et abritera deux gratte-ciels massifs recouverts de miroirs, selon les derniers plans dévoilés fin juillet par le prince héritier Mohammed ben Salmane, qui n'ont pas effacé les doutes sur la faisabilité économique et environnementale du projet. Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier.


Avec ses taxis volants et robots domestiques, Neom a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité. Au départ, Neom a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés.

Mais lors de la présentation de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète". L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains. "Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington.



Répondre à l'étalement urbain
Les autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à Neom. Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs. A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane.

"C'est l'intérêt principal de la construction de Neom: augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales?".
D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié fin juillet. Neom devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur.

Autre défi pour Neom: respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle".

Introduction en bourse de Neom prévue en 2024
Neom est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de Neom dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet". Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed.

Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de Neom prévue en 2024. Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19. Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki. "La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
la meilleure Sadaqah

D'après 'Abdallah Ibn 'Abbas, le Prophète (ﷺ) a dit : « La meilleure aumône est de donner de l'eau à boire ». Ce hadith nous apprend que la meilleure forme de Sadaqah que nous pouvons donner est l'eau.
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Abdullah ibn Abbas
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Abdullah ibn Abbas
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Biographie
Naissance
Vers 619
La Mecque
Décès
Vers 687
Taëf
Nom dans la langue maternelle
عبد الله بن عبَّاس
Activités
Moufassir, historien, faqîh
Père
Al-Abbas ibn Abd al-Muttalib
Mère
Lubaba bint al-Harith
Fratrie
Fadl ibn Abbas (en)
Abd al-Rahman bin al-Abbas (d)
Katheer bin Al-Abbas (d)
Omaima bint Al-Abbas (d)
Ma'abad ibn Abbas (d)
Tamam ibn Abbas (d)
Qutham ibn Abbas (en)
Umm Habib bint Al Abbas (d)
Enfant
Alí ibn Abd-Al·lah ibn al-Abbàs (en)
Autres informations
Religion
Islam
Maître
Mahomet
Œuvres principales
Tanwir al-Miqbas
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Abd Allâh ibn Abbas (arabe : عبد الله ابن عباس), né vers 619 et mort vers 687-688, est le fils d'Al-‘Abbas ibn ‘Abd al-Muttalib et est un cousin paternel de Mahomet, Il est respecté par les musulmans pour ses connaissances. Il est un des premiers experts du Coran1, ainsi que de la Sunna.

'Abd Allah ibn Abbas est connu pour sa connaissance des traditions et son interprétation du Coran. Dès le début de sa vie, il rassemble des informations auprès d'autres compagnons de Mahomet et écrit des commentaires1. Il est parfois vu comme le père de l'exégèse coranique2.

Il est aujourd'hui difficile de retrouver, sous les strates de rédaction de sa biographie, son être historique. Néanmoins, la mise en place de sa figure comme mythe a fait l'objet de plusieurs études.

Approche historique
Historiographie d'Ibn Abbas
Les recherches sur les traditions, en particulier, par l'école allemande ont mis en valeur des contradictions dans les propos qui lui sont attribués. Si les premières recherches cherchaient à dissocier l'authentique de l'apocryphe, les études récentes voient davantage en lui une autorité servant à garantir une transmission2. Ces attributions postérieures à Ibn Abbas, sont, pour Tilman Nagel, un moyen de légitimer les abbassides3,2.

Pour Comerro, à propos d'Ibn Abbas, "Depuis Aristote, histoire et fiction sont distinguées par une coupure épistémologique : d’une part, l’histoire comme science qui répond à des conditions d’objectivité et de vérité ; d’autre part, le récit traditionnel ou mythique. Cette coupure fondatrice, sans être remise en cause, se trouve pourtant repensée dans la recherche contemporaine, parce que le mythe devient objet d’histoire, et parce que l’écriture de l’histoire relève elle-même de la narration." En cela, l'auteur s'intéresse davantage à la construction de la figure d'Ibn Abbas plutôt qu'à celle-ci4.

Historicité des biographies
Le corpus des écrits traitant Ibn Abbas sont important. Cl. Gilliot a particulièrement étudié les ahbar 'abbasiens d'Ibn Sa'd, l'un des plus anciens2. Pour l'auteur, sa vie est transmise par de petites unités textuelles, « des récits qui ont « réussi » ». Toutes n'ont pas eu le même bonheur, certaines ont été probablement définitivement écartées, d'autres ont « tenté leur chance » et subsistent dans des « versions périphériques » qualifiées de « faibles » ». Gilliot rappelle que ces traditions forment un miroir de la communauté. Sont, par exemple, données à Ibn Abbas les savoirs (commentaires coraniques, poésie...) que la communauté, à un temps donné, a mis au premier plan2.

Pour l'auteur, « Certes, ces ahbar nous parlent aussi d'un individu ayant réellement existé, mais en projetant sur lui un certain nombre de pratiques et de représentations culturelles d'époques diverses; c'est pourquoi, il est licite de parler à propos d'IA de « portrait mythique » »2.

V. Commero fait pourtant remarquer que certains écrits comme le Akhbâr al-Dawla l-‘Abbâsiyya ou plus reccement, celui d'al-Maqrîzî (m. 845/1442), al-Nizâ‘ wa l-takhâṣum fîmâ bayna Banî Umayya wa Banî Hâshim, montre un Ibn Abbas échappant à sa figure d'exemplum. Si ces écrits ne fournissent pas obligatoirement une vérité historique, elles n'en sont pas moins intéressantes qu'elles s'éloignent de la vision stéréotypée4. Pour l'auteur, « l'homme de chair et d'os, l'individu Ibn ‘Abbâs, nous échappe définitivement, mais sa figure historique peut-être pas. »4.

Biographie traditionnelle
Ibn Abbas nait trois ans avant l'hégire, d'une mère déjà convertie à l'islam5. Il était le fils d'un riche marchand, Abbas ibn Abd al-Muttalib, et fut pour cette raison appelé Ibn Abbas (fils d'Abbas). Sa mère Umm al-Fadl Lubaba était fière d'être la seconde femme à s'être convertie à l'islam, le même jour que son amie Khadija bint Khuwaylid, première femme de Mahomet6[source insuffisante]. Abbas ibn Abd al-Muttalib et le père de Mahomet étaient demi-frères : ils avaient le même père, Chayba ibn Hashim, plus connu sous le nom d'Abd al-Muttalib (fils d'Hachim ibn Abd Manaf, progniteur du clan des Banu Hashim, une tribu Quraysh de la Mecque).[réf. nécessaire]

Dès sa jeunesse, il s'adonne à l'étude et à la compilation des informations sur Mahomet. Fort de ses connaissances, il se mit à enseigner5.

Au début des luttes pour le califat, il apporta son soutien à Ali et fut nommé gouverneur de Bassorah1. Il participa à plusieurs campagnes militaires5. Il se retira peu après à La Mecque. Pendant le règne de Muawiyah Ier, il habita dans le Hedjaz et se rendit souvent à Damas. Après la mort de Muawiyah, il s'est enfui à Ta'if, où il est décédé vers 687 de notre ère1.
Sa majesté réchissime le prince Mohamed Ben Salmane :

NE CONNAIT PAS ???????.
Il connait seulement;;;;;;;;;;;;;; la scie sauteuse
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