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Le capitalisme, incubateur des crises mondiales Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 26-01-2023, 11:00 Dans ce mond

Publié le 26/01/2023
Le capitalisme, incubateur des crises mondiales Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 26-01-2023, 11:00 Dans ce monde en folie qui semble courir à sa perte, on a l'impression que les repères se sont brouillés et que l'ordre ancien n'est plus valable. Mais, en réalité, ce qui nous apparaît comme une «folie» et cette perception de l'altération de l'ordre connu jusqu'à présent ne sont pas le fruit du hasard. C'est le capitalisme qui est responsable de ces crises successives visant à perpétuer son règne. Et ces prolongations sans fin ont des conséquences désastreuses : ce sont les peuples qui paient les prix de la lente agonie de ce système inique, bâti sur la domination de la majorité par une minorité oligarchique. Quand la maladie du capitalisme a atteint son point culminant, il a sauté sur le Covid-19 pour justifier la baisse généralisée du niveau de vie. La pandémie avait bon dos et au sortir du confinement, les peuples ont réalisé qu'en plus des privations et des contraintes imposées par les gouvernements, la pauvreté les attendait. Une grande crise sociale s'installait partout. Mais cela ne suffisait pas au capitalisme pour s'oxygéner convenablement et s'assurer quelques décennies supplémentaires d'existence. L'idée de cerner la Russie de toutes parts et de jouer la carte explosive de l'Ukraine n'était rien d'autre qu'un piège pour attirer Poutine dans un conflit sans fin qui devait ruiner la fédération dirigée par Moscou. La Russie a bien réagi, c'est-à-dire qu'elle a exactement fait ce qui était attendu d'elle : agir comme une grande puissance, comme auraient agi les États-Unis en cas de déploiement de missiles ennemis au Canada ou au Mexique. Cela, les faucons occidentaux le savaient. Mais d'une pierre, ils devaient atteindre deux cibles : engager une vraie guerre contre la Russie en se cachant derrière l'Ukraine et donner un répit à un capitalisme agonisant. La conséquence directe fut une autre crise sociale et le basculement de parties importantes des peuples dans le dénuement. Aujourd'hui, le plan belliqueux contre la Russie atteint sa deuxième étape qui est de livrer du matériel lourd à l'Ukraine alors que les engagements solennels des Occidentaux étaient de limiter l'aide aux troupes de Zelensky à du matériel défensif. L'Otan est en train de faire la guerre contre la Russie. Les milliards de dollars votés pour accroître cette aide sont de véritables budgets de guerre qui arrangent fortement une industrie militaire bridée par Trump. On le voit : les patrons de l'armement s'enrichissent en envoyant des quantités énormes d'armes en Ukraine et ce sont les politiques qui actionnent ces plans d'aide. Autrement dit, les pouvoirs politiques des États-Unis et de l'Europe, en finançant la fabrication d'armes chez des entreprises privées, gonflent les fortunes d'une partie de l'oligarchie alors que les peuples sont acculés aux derniers retranchements d'une vie digne. Ces sommes colossales qui partent vers les aides militaires à l'Ukraine auraient pu être utilisées dans des programmes sociaux, des aides à l'emploi, un renforcement des infrastructures publiques, une amélioration de la vie quotidienne, de la santé, etc. Comme on le voit, derrière cette manifestation de solidarité envers un «peuple agressé militairement» se cachent des intérêts et des enjeux inavouables. Alors que ces mêmes pays n'ont aucune pensée pour d'autres peuples sous le joug de l'occupation militaire, comme en Syrie, Palestine ou Sahara occidentale, leur amour sélectif de la liberté montre clairement qu'il s'agit de tout à fait autre chose. Le capitalisme n'a pas d'états d'âme. Comme un hydre, il renaît de ses cendres en ayant cette formidable capacité à enfanter des crises de toutes sortes pour continuer sa domination. Les peuples, bernés par un système de communication totalement contrôlé par les agents de l'oligarchie, subissent cette manipulation sans réagir ou en réagissant par des moyens dépassés et inappropriés. L'Algérie, cernée par une meute dont les aboiements prédisent à l'unisson l'effondrement, résiste à tous les coups, toutes les agressions verbales et autres. Grâce au soulèvement populaire pacifique de 2019 et au patriotisme de son armée, notre pays a pu remonter la pente malgré le lourd handicap de la pandémie. Non seulement, nous avons déjoué ces pronostics haineux, mais nous voilà à l'orée d'une nouvelle ère prometteuse. Dans ce monde impitoyable, nous devons privilégier notre propre approche qui tient compte, avant tout, de nos intérêts nationaux et de la ligne privilégiant le partage équitable de la richesse nationale, la justice sociale et l'équilibre régional. A chaque fois que nous nous sommes éloignés de ces valeurs, nous avons mis en danger notre société et notre pays. Nous sommes condamnés à rester des révolutionnaires, même sous la démocratie la plus libérale. Pour la bonne et simple raison que notre destin a été, est et sera la résistance. M. F. Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 26-01-2023, 11:00
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LES CHOSES DE LA VIE

Le capitalisme, incubateur des crises mondiales
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MAÂMAR FARAH
PUBLIÉ 26-01-2023, 11:00
Dans ce monde en folie qui semble courir à sa perte, on a l'impression que les repères se sont brouillés et que l'ordre ancien n'est plus valable. Mais, en réalité, ce qui nous apparaît comme une «folie» et cette perception de l'altération de l'ordre connu jusqu'à présent ne sont pas le fruit du hasard. C'est le capitalisme qui est responsable de ces crises successives visant à perpétuer son règne. Et ces prolongations sans fin ont des conséquences désastreuses : ce sont les peuples qui paient les prix de la lente agonie de ce système inique, bâti sur la domination de la majorité par une minorité oligarchique.
Quand la maladie du capitalisme a atteint son point culminant, il a sauté sur le Covid-19 pour justifier la baisse généralisée du niveau de vie. La pandémie avait bon dos et au sortir du confinement, les peuples ont réalisé qu'en plus des privations et des contraintes imposées par les gouvernements, la pauvreté les attendait. Une grande crise sociale s'installait partout.
Mais cela ne suffisait pas au capitalisme pour s'oxygéner convenablement et s'assurer quelques décennies supplémentaires d'existence. L'idée de cerner la Russie de toutes parts et de jouer la carte explosive de l'Ukraine n'était rien d'autre qu'un piège pour attirer Poutine dans un conflit sans fin qui devait ruiner la fédération dirigée par Moscou. La Russie a bien réagi, c'est-à-dire qu'elle a exactement fait ce qui était attendu d'elle : agir comme une grande puissance, comme auraient agi les États-Unis en cas de déploiement de missiles ennemis au Canada ou au Mexique.
Cela, les faucons occidentaux le savaient. Mais d'une pierre, ils devaient atteindre deux cibles : engager une vraie guerre contre la Russie en se cachant derrière l'Ukraine et donner un répit à un capitalisme agonisant. La conséquence directe fut une autre crise sociale et le basculement de parties importantes des peuples dans le dénuement.
Aujourd'hui, le plan belliqueux contre la Russie atteint sa deuxième étape qui est de livrer du matériel lourd à l'Ukraine alors que les engagements solennels des Occidentaux étaient de limiter l'aide aux troupes de Zelensky à du matériel défensif. L'Otan est en train de faire la guerre contre la Russie. Les milliards de dollars votés pour accroître cette aide sont de véritables budgets de guerre qui arrangent fortement une industrie militaire bridée par Trump.
On le voit : les patrons de l'armement s'enrichissent en envoyant des quantités énormes d'armes en Ukraine et ce sont les politiques qui actionnent ces plans d'aide. Autrement dit, les pouvoirs politiques des États-Unis et de l'Europe, en finançant la fabrication d'armes chez des entreprises privées, gonflent les fortunes d'une partie de l'oligarchie alors que les peuples sont acculés aux derniers retranchements d'une vie digne. Ces sommes colossales qui partent vers les aides militaires à l'Ukraine auraient pu être utilisées dans des programmes sociaux, des aides à l'emploi, un renforcement des infrastructures publiques, une amélioration de la vie quotidienne, de la santé, etc.
Comme on le voit, derrière cette manifestation de solidarité envers un «peuple agressé militairement» se cachent des intérêts et des enjeux inavouables. Alors que ces mêmes pays n'ont aucune pensée pour d'autres peuples sous le joug de l'occupation militaire, comme en Syrie, Palestine ou Sahara occidentale, leur amour sélectif de la liberté montre clairement qu'il s'agit de tout à fait autre chose.
Le capitalisme n'a pas d'états d'âme. Comme un hydre, il renaît de ses cendres en ayant cette formidable capacité à enfanter des crises de toutes sortes pour continuer sa domination. Les peuples, bernés par un système de communication totalement contrôlé par les agents de l'oligarchie, subissent cette manipulation sans réagir ou en réagissant par des moyens dépassés et inappropriés.
L'Algérie, cernée par une meute dont les aboiements prédisent à l'unisson l'effondrement, résiste à tous les coups, toutes les agressions verbales et autres. Grâce au soulèvement populaire pacifique de 2019 et au patriotisme de son armée, notre pays a pu remonter la pente malgré le lourd handicap de la pandémie. Non seulement, nous avons déjoué ces pronostics haineux, mais nous voilà à l'orée d'une nouvelle ère prometteuse.
Dans ce monde impitoyable, nous devons privilégier notre propre approche qui tient compte, avant tout, de nos intérêts nationaux et de la ligne privilégiant le partage équitable de la richesse nationale, la justice sociale et l'équilibre régional.
A chaque fois que nous nous sommes éloignés de ces valeurs, nous avons mis en danger notre société et notre pays. Nous sommes condamnés à rester des révolutionnaires, même sous la démocratie la plus libérale. Pour la bonne et simple raison que notre destin a été, est et sera la résistance.
M. F.

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MAÂMAR FARAH
PUBLIÉ 26-01-2023, 11:00
petits a petits on arrive à la bombe nuclaire la terre finira par changer d'orbite!!!!!!!!!Le Maroc sera le premier pays africain à offrir un soutien militaire à l’Ukraine grâce à la vente de chars d’assaut T-72. Selon les termes de la vente, les États-Unis et les Pays-Bas achèteront 90 chars de combat T-72B auprès du Maroc, avec l’option d’en acheter 30 de plus en 2023, selon le site nigérian d’actualités moneycentral...le Maroc rentre dans la danse!!!!!!!!!!!!!!ça devient comme des jeux vidéos !!!On devient des acros des consoles réelles et non virtuelle....le Monde va tout droit dans un mur ????????????????
Alors on danse (Radio Edit)
Stromae
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Qui dit étude dit travail,
Qui dit taf te dit les thunes,
Qui dit argent dit dépenses,
Et qui dit crédit dit créance,
Qui dit dette te dit huissier,
Et lui dit assis dans la merde.
Qui dit Amour dit les gosses,
Dit toujours et dit divorce.
Qui dit proches te dis deuils car les problèmes ne viennent pas seul.
Qui dit crise te dis monde dit famine dit tiers-monde.
Qui dit fatigue dit réveille encore sourd de la veille,
Alors on sort pour oublier tous les problèmes.
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Et la tu t'dis que c'est fini car pire que ça ce serait la mort.
Quand tu crois enfin que tu t'en sors quand y en a plus et ben y en a encore!
Est-ce la zik ou les problèmes, les problèmes ou bien la musique.
Ca t'prends les trips ca te prends la tête et puis tu pries pour que ça s'arrête.
Mais c'est ton corps c'est pas le ciel alors tu t'bouches plus les oreilles.
Et là tu cries encore plus fort et ca persiste...
Alors on chante
Lalalalalala, Lalalalalala,
Alors on chante
Lalalalalala, Lalalalalala
Alors on chante
Alors on chante
Et puis seulement quand c'est fini, alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Alors on danse
Et ben y en a encore
Et ben y en a encore
Et ben y en a encore
Et ben y en a encore
Et ben y en a encore
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