Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/De Cannabis-Land à Royal-Coke ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 02-...
Zone Membre
Publicités

De Cannabis-Land à Royal-Coke ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00 - Ils font quoi dans cette r

Publié le 02/01/2024
De Cannabis-Land à Royal-Coke ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00 - Ils font quoi dans cette rue, pas loin de l’ambassade de Suisse ? - Ah ! Cette rue-là ! Oh ! Trois fois rien ! Ils la rebaptisent du nom du défunt général Khaled Nezzar ! - ??? Allah ghaleb ! La chose est trop grosse pour qu’ils puissent la cacher, même en graissant la patte à tous les parlementaires d’une Europe myope à temps partiel. Le temps marocain. Le royaume de Cannabis-Land doit être rebaptisé. Eh oui ! Les fiches d’identification doivent être mises à jour et vite. L’activité «Cannabis» là-bas est en passe — si j’ose dire — d’être supplantée par celle de la cocaïne. L’arrestation d’un avatar local d’Escobar met à nu les ramifications du trafic de poudre blanche dans les cercles proches du Palais. Ministres, flics, gendarmes, barbouzes, hommes d’affaires influents, une vraie brochette-merguez dont ne tombent finalement que des p’tits morceaux, des «ftif’tet», du menu fretin dont l’arrestation «médiatisée» joue parfaitement le seul rôle qui lui est dévolu : faire écran pour protéger les vrais bénéficiaires de ce trafic international qui s’étend des Amériques à l’Europe, en passant bien évidemment par l’Afrique. Et c’est là que me reviennent en mémoire les messages d’alerte des autorités sécuritaires de mon pays, la Dézédie. Fin 2019, début 2020, les nôtres avertissaient déjà sur une approche quelque peu surannée, datant un chouïa, du commerce de drogues pratiqué au pays de Moulahoum. En gros, nos services disaient ceci : gaffe à juste rester scotchés sur des substances dites classiques, comme le cannabis ou même les psychotropes. De véritables nuages blancs s’élèvent maintenant des labos et docks marocains où cette merde — hachakoum — est réceptionnée, retraitée, coupée, reconditionnée et renvoyée vers de multiples destinations, à l’international. Ben là, à moins d’avoir son «propre nez» dedans, on y est. Le Maroc est devenu une place forte de la coke dans le monde. Des personnes travaillant sur ce dossier depuis quelques années déjà n’hésitent pas à affirmer que le Royaume a tout fait, mis de très gros moyens à se rendre incontournable dans ce «commerce». Au point de se poser en partenaire sérieux de gros, très gros «producteurs traditionnels» sud-américains. Rien que ça ! Mais j’ai mieux ! Parce qu’en la matière — si j’ose dire, là aussi — des parcelles de culture de feuilles de coca sont au jour d’aujourd’hui identifiées comme telles dans ce territoire voisin, cartographiées, géolocalisées et «surveillées de manière passive» par les services de plusieurs pays du monde moralisateur et officiellement en guerre contre les narcos. Que veut dire cette formule «surveillance passive» ? Oh ! Rien de bien compliqué. Tu prends ton gros coude charnu et lourd de surveillant et tu le poses sur ce dossier afin d’empêcher que ne s’en échappe la moindre particule de poussière blanche. Soussem, jusqu’à nouvel ordre. Sauf qu’en attendant ce nouvel ordre hypothétique, le Coke-Land, couplé à ses provinces du Cannabis-Land, tente tous les jours, et surtout toutes les nuits, de déverser ses poisons dans notre territoire, diversifiant de plus en plus son offre mortifère ! Voilà pour ceux qui pensent que nous faisons juste une… fixette sur le Maroc, zkara bark, parce que mus par quelque perversion maladive envers un voisin pourtant… blanc comme neige ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L. Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00
« Actualité précédente
Spéculation de devises à Annaba : Saisies record et arrestations des “barons” du change La Rédaction by La Ré
Actualité suivante »
Ça vient et ça enflera... Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00 N'ayant réalisé aucun de leurs ob

Les Commentaires

De Cannabis-Land à Royal-Coke !
Placeholder
HAKIM LAÂLAM
PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00
- Ils font quoi dans cette rue, pas loin de l’ambassade de Suisse ?
- Ah ! Cette rue-là ! Oh ! Trois fois rien ! Ils la rebaptisent du nom du défunt général Khaled Nezzar !
- ???

Allah ghaleb ! La chose est trop grosse pour qu’ils puissent la cacher, même en graissant la patte à tous les parlementaires d’une Europe myope à temps partiel. Le temps marocain. Le royaume de Cannabis-Land doit être rebaptisé. Eh oui ! Les fiches d’identification doivent être mises à jour et vite. L’activité «Cannabis» là-bas est en passe — si j’ose dire — d’être supplantée par celle de la cocaïne. L’arrestation d’un avatar local d’Escobar met à nu les ramifications du trafic de poudre blanche dans les cercles proches du Palais. Ministres, flics, gendarmes, barbouzes, hommes d’affaires influents, une vraie brochette-merguez dont ne tombent finalement que des p’tits morceaux, des «ftif’tet», du menu fretin dont l’arrestation «médiatisée» joue parfaitement le seul rôle qui lui est dévolu : faire écran pour protéger les vrais bénéficiaires de ce trafic international qui s’étend des Amériques à l’Europe, en passant bien évidemment par l’Afrique. Et c’est là que me reviennent en mémoire les messages d’alerte des autorités sécuritaires de mon pays, la Dézédie. Fin 2019, début 2020, les nôtres avertissaient déjà sur une approche quelque peu surannée, datant un chouïa, du commerce de drogues pratiqué au pays de Moulahoum. En gros, nos services disaient ceci : gaffe à juste rester scotchés sur des substances dites classiques, comme le cannabis ou même les psychotropes. De véritables nuages blancs s’élèvent maintenant des labos et docks marocains où cette merde — hachakoum — est réceptionnée, retraitée, coupée, reconditionnée et renvoyée vers de multiples destinations, à l’international. Ben là, à moins d’avoir son «propre nez» dedans, on y est. Le Maroc est devenu une place forte de la coke dans le monde. Des personnes travaillant sur ce dossier depuis quelques années déjà n’hésitent pas à affirmer que le Royaume a tout fait, mis de très gros moyens à se rendre incontournable dans ce «commerce». Au point de se poser en partenaire sérieux de gros, très gros «producteurs traditionnels» sud-américains. Rien que ça ! Mais j’ai mieux ! Parce qu’en la matière — si j’ose dire, là aussi — des parcelles de culture de feuilles de coca sont au jour d’aujourd’hui identifiées comme telles dans ce territoire voisin, cartographiées, géolocalisées et «surveillées de manière passive» par les services de plusieurs pays du monde moralisateur et officiellement en guerre contre les narcos. Que veut dire cette formule «surveillance passive» ? Oh ! Rien de bien compliqué. Tu prends ton gros coude charnu et lourd de surveillant et tu le poses sur ce dossier afin d’empêcher que ne s’en échappe la moindre particule de poussière blanche. Soussem, jusqu’à nouvel ordre. Sauf qu’en attendant ce nouvel ordre hypothétique, le Coke-Land, couplé à ses provinces du Cannabis-Land, tente tous les jours, et surtout toutes les nuits, de déverser ses poisons dans notre territoire, diversifiant de plus en plus son offre mortifère ! Voilà pour ceux qui pensent que nous faisons juste une… fixette sur le Maroc, zkara bark, parce que mus par quelque perversion maladive envers un voisin pourtant… blanc comme neige ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.

Placeholder
HAKIM LAÂLAM
PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00
La vie n'a plus de sens?.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires