Des lecteurs désappointés par le fait qu’ils doivent encore débourser la somme de 30 autres Dinars Tunisiens afin d’assurer leurs véhicules, tout juste pour un séjour ne dépassant pas une semaine, se demandent d’où provient cette pénurie d’imprimés règlementaires qu’ils pouvaient acquérir chez nous pour la modique somme de 900 Dinars algériens. Cette somme leur permettait en outre d’être couverts durant tout un mois de l’autre côté de la frontière. Ce désagrément vient s’ajouter à celui subi par l’imposition de la taxe d’entrée qui est, elle aussi, assez élevée puisqu’elle est de 30 DT, chose qui n’est pas acceptée allègrement par ceux ou celles qui veulent passer quelques jours chez nos voisins. Cette pénurie d’imprimés relatifs à l’établissement d’une assurance voyage est comme une arête dans la gorge et ne s’explique pas, sauf « si on trafique aussi aves les autorités tunisiennes des postes frontières », affirment justement nos interlocuteurs. Alors il « est demandé de nous rendre cette dignité qu’on veut bafouer, en permettant aux Tunisiens de nous plumer ». Tout sauf que les autorités tunisiennes sont dans leur plein droit d’exiger que le véhicule soit assuré avant d’emprunter les routes de ce pays.
lestrepublicain - 15 novembre 2014 - Ahmed Chabi
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