Le projet d’éclairage public sur les hauteurs de Sidi Aïssa est, pour ceux qui veulent voir de leurs yeux, un cas manifeste de projet bâclé et à refaire et de deniers publics dilapidés. Les socles des réverbères, sont tellement loin de toute norme que l’un de ces réverbères a été abattu par le vent et d’autres penchent tellement qu’ils ne manqueront pas de tomber un de ces jours. Certaines couronnes mal vissées ont été complètement retournées et des parties de ces poteaux commencent à rouiller au vent salé et corrosif de la mer qu’ils dominent. On se demande comment ce projet a été réceptionné et sur la base de quel suivi. Car vous pouvez aller le constater, il est obligatoire d’intervenir pour corriger les malfaçons et cela signifie d’autres dépenses. Mais c’est de l’argent public, du beylik comme l’on dit et à ce titre certains ne regardent pas à la dépense.
L'EST - 23/02/2013 - Ammar Nadir
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