De violentes émeutes ont éclaté, hier samedi après le f’tour, à la rue Ibn Khaldoune (ex Gambetta), au centre-ville de Annaba.
A l’origine de ces émeutes, l’intervention des forces de police venues déloger les vendeurs informels, qui squattent les trottoirs. Les jeunes vendeurs, qui viennent essentiellement des quartiers périphériques de la ville, ont résisté violement aux forces de l’ordre. Les policiers ont tenté de les disperser en usant de balles en caoutchouc et de bombes lacrymogène.
Les manifestants, en colère, ont saccagé un fourgon de la police et plusieurs magasins dont un point de vente d’Ooredoo. On déplore plusieurs blessés dont deux policiers.
La situation s’est calmée à l’heure où nous mettons en ligne. Les vendeurs informels comptent organiser, aujourd’hui dimanche, une marche vers la wilaya.
Ce que l'on constate c'est que les affrontements et les casseurs ont débordés sur le Cours de la Révolution.
Saccage de l'Hôtel Orient à peine inauguré.
Saccage du magasin L'Homme d'Aujourd'hui (ex-Mirella)
Les Commentaires
Souhaitons,également qu'en ce mois de Ramadan que Dieu puisse l'éspèce de minables et pouilleux que vous êtes en vous enfoncant encore davantage dans les ténèbres de l'ignorance et vous réserve le sort le plus douloureux de l'indigence.
Salut ricrac et à tous, je comprend ta colère, voilà mon point de vu, la plus grande erreur vient du wali, quelle mouche la piquée! de vouloir imposer sa loi et d'un seul coup de vouloir supprimer l'informel en plein mois du ramadan, pour moi, c'est comme une provocation!, il est certain qu'il fallait s'y attendre de tel réaction de la part des jeunes issus de quartiers difficiles qui ne cherchent qu'a gagner leurs PAINS QUOTIDIEN!...nul au Monde ne pourra supprimer l'informel, un des moyens possible au lieu de chercher à l'éradiqué serait de mieux le développer, malheureusement le wali n'a rien compris tous comme ses prédécesseurs, l'erreur d'un bougre d'abrutis suivis par d'autres abrutis.
Chez nos voisins marocains l'économie informelle fait aussi l'actualité. Et pour cause, selon le dernier rapport du Haut Commissaire au Plan(HCP), la part de l'informelle est estimée à 14% et touche tous les secteurs d'activités, notamment celui du commerce. Considéré comme un filet de sécurité pour les familles aux revenus faibles, l'informel représente près de 40% des emplois non agricoles et est en constitué à plus de 90% de très petites entreprises et d'auto-entrepreneurs. POUR NE PAS BRUSQUER SES PME, qui permettent aux ménages les plus démunis de se constituer des revenus plus ou moins fixe. Leur autorité LES INCITENT A INTEGRER LEUR SECTEUR INFORMEL, leur pays a poursuivi dans sa lancée en facilitant les procédures DE CREATION D'ENTREPRISES.
En parallèle, des mesures complémentaires sont en cours, indique un compte-rendu des Nation Unis notamment le projet de "sédentarisation des commerçants ambulants" via la mise en place de sites aménagés et de centres commerciaux.
Exemple a suivre POUR LES AUTORITES DE NOTRE VILLE...as tu compris bougre d'âne de wali!...si non retourne à l'école!...ou plutôt chez toi...dans ton douar.
Je pense qu'il faut poursuivre avec des "INTERVIEW" comme le fait Abdou Semmar sur "Algérie Focus" manque d'entretien avec quelqu'un pour l'interroger sur ses actes, ses idées, une méthode d'enquête sociologique qui a pour but d'établir un rapport de communication verbale entre l'interviewé et l'intervieweur.
Comme cela arrive dans de nombreuses ville du pays, les plus pauvres, la misère, le chômage poussent de nombreux citoyens à se débrouiller comme ils le peuvent pour subvenir à leur besoin et à ceux de leur famille en général très nombreuse. Cette bataille quotidienne pour la survie excite parfois l'imagination et le génie du créateur qui partant de rien, arrivent à se faire une petite place dans une société prédatrice qui laisse très peu de chance aux plus faible.
Si cette débrouillardise, qui est souvent génératrice d'emplois, a une importance capitale dans l'économie d'une ville. On peut toujours mentionné l'occupation clandestine d'un trottoir ou d'une rue. Toutes les rues du centre de ville sont envahies par des étals, des tréteaux...c'est la seule porte de sortie pour des diz
Quant à l'informel au Maroc, comme il est inéluctable puisque nécéssaire pour un pays pauvre en comparaison avec le notre, est contrôlé et gérer du mieux possible par les autorités. Ce n'est pas le cas chez nous. Chez nous, c'est l'anarchie totale à cause de se refus d'obtempérer.