"APP"
By
ABDOU SEMMAR
-
26 MARCH 2020
Vidéo. La colère des médecins de l’EPH de Boufarik : « Donnez-nous des moyens contre le coronavirus et cessez de faire de la politique pour gérer cette crise sanitaire »
Explosion de colère à l’EPH de Boufarik. Le personnel soignant s’est mobilisé ce jeudi matin pour organiser un sit-in au sein même de l’hôpital public afin de protester contre les conditions dramatiques dans lesquelles les médecins et infirmiers luttent contre la pandémie du coronavirus COVID-19. « Donnez-nous des moyens. Garantissons-nous des moyens de transport. Nous subissons de fortes pressions et nous ne pouvons pas continuer à exercer notre travail dans ces conditions très difficiles », ont expliqué les médecins protestataires.
Selon ces derniers, un de leur collègue est mort hier mercredi des suites des symptômes du COVID-19. Il s’agit de Djamel Talhi, ambulancier à l’EPH de Boufarik, mort dans l’indifférence générale du ministère de la Santé alors qu’il aurait été contaminé au coronavirus.
Les médecins de l’EPH Boufarik ont dénoncé aussi vigoureusement la mauvaise gestion des responsables de la direction générale de l’hôpital qui aggrave les conséquences de cette pandémie. « La population est en danger. Le risque est énorme. Cessez de gérer cette crise sanitaire avec des décisions politiques et des blocages administratifs. Nous voulons travailler dans des conditions agréables pour pouvoir sauver les Algériens de cette pandémie », s’écrie une médecin du service infectiologie de l’EPH de Boufarik. Les autorités algériennes vont-elles écouter son cri de détresse ?
Rappelons enfin que l’EPH de Boufarik est l’un des premiers établissements publics qui avait été confronté aux premiers cas du coronavirus de la wilaya de Blida, le foyer principal de l’épidémie en Algérie. Depuis la fin février, cet hôpital et son personnel soignant doivent gérer ou prendre en charge un nombre élevé de patients suspects ou de cas confirmés. Et depuis le début de cette crise sanitaire, le personnel soignant de cet hôpital n’a pas cessé d’appeler à l’aide en raison du manque criant de moyens de protection et d’équipements médicaux sans oublier les lenteurs inexpliquées du laboratoire de l’Institut Pasteur d’Alger qui ne leur communique pas convenablement ou dans les bons délais les résultats des tests de dépistage effectués sur de nombreux cas suspects".
Les Commentaires
Explosion de colère à l’EPH de Boufarik. Le personnel soignant s’est mobilisé ce jeudi matin pour organiser un sit-in au sein même de l’hôpital public afin de protester contre les conditions dramatiques dans lesquelles les médecins et infirmiers luttent contre la pandémie du coronavirus COVID-19. « Donnez-nous des moyens. Garantissons-nous des moyens de transport. Nous subissons de fortes pressions et nous ne pouvons pas continuer à exercer notre travail dans ces conditions très difficiles », ont expliqué les médecins protestataires.
Selon ces derniers, un de leur collègue est mort hier mercredi des suites des symptômes du COVID-19. Il s’agit de Djamel Talhi, ambulancier à l’EPH de Boufarik, mort dans l’indifférence générale du ministère de la Santé alors qu’il aurait été contaminé au coronavirus.
Les médecins de l’EPH Boufarik ont dénoncé aussi vigoureusement la mauvaise gestion des responsables de la direction générale de l’hôpital qui aggrave les conséquences de cette pandémie. « La population est en danger. Le risque est énorme. Cessez de gérer cette crise sanitaire avec des décisions politiques et des blocages administratifs. Nous voulons travailler dans des conditions agréables pour pouvoir sauver les Algériens de cette pandémie », s’écrie une médecin du service infectiologie de l’EPH de Boufarik. Les autorités algériennes vont-elles écouter son cri de détresse ?
Rappelons enfin que l’EPH de Boufarik est l’un des premiers établissements publics qui avait été confronté aux premiers cas du coronavirus de la wilaya de Blida, le foyer principal de l’épidémie en Algérie. Depuis la fin février, cet hôpital et son personnel soignant doivent gérer ou prendre en charge un nombre élevé de patients suspects ou de cas confirmés. Et depuis le début de cette crise sanitaire, le personnel soignant de cet hôpital n’a pas cessé d’appeler à l’aide en raison du manque criant de moyens de protection et d’équipements médicaux sans oublier les lenteurs inexpliquées du laboratoire de l’Institut Pasteur d’Alger qui ne leur communique pas convenablement ou dans les bons délais les résultats des tests de dépistage effectués sur de nombreux cas suspects.
Voir absolument la vidéo durée 17.52mn
Selon ces derniers, un de leur collègue est mort hier mercredi des suites des symptômes du COVID-19. Il s’agit de Djamel Talhi, ambulancier à l’EPH de Boufarik, mort dans l’indifférence générale du ministère de la Santé alors qu’il aurait été contaminé au coronavirus.
Le personnel soignants non distant de 1m comme de prévu.
Le port du masque mal mis, d'autres ne le porte même pas.
D'autre ne cherche même a se protéger.
la vidéo parle d'elle même, on doit revoir l'ensemble de la discipline!.
Un personnel soignant COURAGEUX ils ont besoin de moyens URGENT!, ILS FAIRE VITE.
Ils ont besoin de transport le Gouvernement doit agir VITE POUR LEURS DONNER TOUS LES MOYENS A LEURS DISPOSITIONS!.
Il faut aller sur le site "Algérie Part Plus".
1) Il faut garder son calme.
2) Ne pas énerver.
3) Commencer la journée par une réunion, établir un planning suivant le cas le plus urgent.
4) Aficher votre planning dans votre salle de réunion.
5) Commencer par se protéger soi même.
6) Laver vos mains avec du savon.
7) mettre un paire de gants en latex jetable.
8) Porte une combinaison avec sa capuche.
9) Mettre une paire de lunette.
10) En cas de manipulations divers ou de malade, changer et jeter la paire de gants directement dans une poubelle.
11) Il faut faire des réunions entre vous et de vous donner un ordre de priorité.
12) Analyser pour soigner les malades cas par cas.
13) Important garder une distance entre vous d'un bon mètre.
14) Il faut veiller à votre propre comportement de vos collègues entre vous.
15) avoir à l'entrée de chaque chambre de malade: une bouteille hydroalcooliques pour se désinfecter les mains.
Exemple: de dire à son collègue de bien mettre tes gants, ton masque, de fermer ta combinaison ect...
L
Il faut des donneurs d'ordres:
Il faut une Règle de la voie hiérarchique. C'est l'ordre ci-dessus que les agents de l'administration doivent respecter en toutes circonstances, qu'il s'agisse de l'accomplissement de leurs missions ou de décisions relatives à leur situation professionnelle.
Chacun doit respecter l'ordre donner par son responsable.
Ce ci dans le grand calme et vous verrez que ça va fonctionner asavoir les plus grandes responsabilitées doivent venir:
DU DIRECTEUR DE L'HÔPITAL.
MINISTRE DE LA SANTE.
PREMIER MINISTRE.
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
A CHAQUE MAIL ET FAX TOUT LE MONDE DANS LA BOUCLE, çà devrait fonctionner!...inch'Allah amine.