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Hygiène 7000 tonnes de déchets enlevées

Publié le 06/03/2022
Hygiène 7000 tonnes de déchets enlevées La campagne de nettoyage a ciblé cinq communes composant le groupement urbain d'Oran. El Bahia redevient propreEl Bahia redevient propre «Vouloir, c'est pouvoir». Cette maxime a, contre toute attente, trouvé un terrain d'application dans cette cité où l'on se prépare, activement, à régner sur la région méditerranéenne, en abritant, lors de la prochaine saison estivale, les Jeux méditerranéens. Ayant été amochée, pendant plusieurs mois, par ces monticules de déchets de toutes sortes, la ville d'Oran commence à reprendre des couleurs, en se faisant, petit à petit, belle. En plus du design qu'on lui applique à coups de plusieurs millions de dinars, la propreté constitue l'une des priorités à prendre en compte. La directrice locale de l'environnement, Samira Dahou, a indiqué que «les municipalités, les entreprises en charge du nettoiement, les personnes bénévoles du mouvement associatif sont à pied d'oeuvre». Les résultats ne se sont pas fait attendre. Elle fait état «de plus de 6 870 tonnes d'ordures ménagères et inertes ramassées en quatre jours», ajoutant que «pour bien mener cette grande campagne de nettoyage du tissu urbain d'Oran, d'importants moyens ont été mobilisés». Cette vaste campagne a été lancée dans cinq communes. Il s'agit principalement des communes d'Oran, Bir El Djir, Es Sénia, Sidi Chahmi et El Kerma. Dans ce sillage, la même source a expliqué que «cette opération d'envergure a été sanctionnée par le ramassage de prés de 4000 tonnes de déchets inertes et la collecte de près de 3000 tonnes de détritus constitués des déchets ménagers». Cette campagne, qui a ciblé les points noirs du tissu urbain d'Oran, a, selon la même source, abouti à des résultats jugés satisfaisants. «Elle (l'opération du grand nettoyage, Ndlr), a atteint le seuil de 70%», a expliqué la même responsable, ajoutant que «les 30% restants seront assurés au fur et à mesure, avec les moyens de la wilaya d'Oran». Cette campagne a été décidée au plus haut niveau, très précisément par le ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire. Dans sa note d'instruction, le département de Kamel Beldjoud a invité les wilayas limitrophes à être de la partie, en mobilisant tous les moyens, humains et matériels nécessaires. Il s'agit des cinq wilayas de l'Ouest, en l'occurrence Oran, Aïn Témouchent, Sidi Bel Abbès, Mostaganem, Relizane et Mascara. Dans ce contexte, pas moins de 250 engins et 450 agents ont été déployés sur le terrain. Plusieurs points noirs ont été totalement éradiqués, notamment dans les environs immédiats de la zone humide de Dayet Morsli, l'ancienne décharge et le site du quartier précaire du douar El Flalis, dans la commune de Bir El Djir, situé à l'est d'Oran. Ce dernier, explique la directrice de l'environnement, a été «vidé de ses occupants et rasé, suite au relogement de ses habitants». La même opération a été lancée sur un site jouxtant la commune de Sidi Chahmi. Il s'agit d'un bidonville géant totalement rasé. Sur ce lieu, déplore-t-on, les «déchets inertes posent plus de problèmes que les ordures ménagères». La direction de l'environnement exhorte les promoteurs et les citoyens à déposer leurs gravats et déchets inertes au niveau du centre d'enfouissement technique de Sidi Chahmi, destiné exclusivement à cet effet, au lieu de «salir» le cadre de vie et l'environnement. «Ce centre est ouvert de jour comme de nuit et tout au long de la semaine», a-t-on indiqué, expliquant que «les tarifs appliqués sont symboliques».
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Hygiène

7000 tonnes de déchets enlevées
La campagne de nettoyage a ciblé cinq communes composant le groupement urbain d'Oran.

El Bahia redevient propre El Bahia redevient propre
«Vouloir, c'est pouvoir». Cette maxime a, contre toute attente, trouvé un terrain d'application dans cette cité où l'on se prépare, activement, à régner sur la région méditerranéenne, en abritant, lors de la prochaine saison estivale, les Jeux méditerranéens. Ayant été amochée, pendant plusieurs mois, par ces monticules de déchets de toutes sortes, la ville d'Oran commence à reprendre des couleurs, en se faisant, petit à petit, belle.
En plus du design qu'on lui applique à coups de plusieurs millions de dinars, la propreté constitue l'une des priorités à prendre en compte. La directrice locale de l'environnement, Samira Dahou, a indiqué que «les municipalités, les entreprises en charge du nettoiement, les personnes bénévoles du mouvement associatif sont à pied d'oeuvre». Les résultats ne se sont pas fait attendre. Elle fait état «de plus de 6 870 tonnes d'ordures ménagères et inertes ramassées en quatre jours», ajoutant que «pour bien mener cette grande campagne de nettoyage du tissu urbain d'Oran, d'importants moyens ont été mobilisés».
Cette vaste campagne a été lancée dans cinq communes. Il s'agit principalement des communes d'Oran, Bir El Djir, Es Sénia, Sidi Chahmi et El Kerma. Dans ce sillage, la même source a expliqué que «cette opération d'envergure a été sanctionnée par le ramassage de prés de 4000 tonnes de déchets inertes et la collecte de près de 3000 tonnes de détritus constitués des déchets ménagers». Cette campagne, qui a ciblé les points noirs du tissu urbain d'Oran, a, selon la même source, abouti à des résultats jugés satisfaisants. «Elle (l'opération du grand nettoyage, Ndlr), a atteint le seuil de 70%», a expliqué la même responsable, ajoutant que «les 30% restants seront assurés au fur et à mesure, avec les moyens de la wilaya d'Oran». Cette campagne a été décidée au plus haut niveau, très précisément par le ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire.
Dans sa note d'instruction, le département de Kamel Beldjoud a invité les wilayas limitrophes à être de la partie, en mobilisant tous les moyens, humains et matériels nécessaires. Il s'agit des cinq wilayas de l'Ouest, en l'occurrence Oran, Aïn Témouchent, Sidi Bel Abbès, Mostaganem, Relizane et Mascara. Dans ce contexte, pas moins de 250 engins et 450 agents ont été déployés sur le terrain. Plusieurs points noirs ont été totalement éradiqués, notamment dans les environs immédiats de la zone humide de Dayet Morsli, l'ancienne décharge et le site du quartier précaire du douar El Flalis, dans la commune de Bir El Djir, situé à l'est d'Oran. Ce dernier, explique la directrice de l'environnement, a été «vidé de ses occupants et rasé, suite au relogement de ses habitants».
La même opération a été lancée sur un site jouxtant la commune de Sidi Chahmi. Il s'agit d'un bidonville géant totalement rasé. Sur ce lieu, déplore-t-on, les «déchets inertes posent plus de problèmes que les ordures ménagères». La direction de l'environnement exhorte les promoteurs et les citoyens à déposer leurs gravats et déchets inertes au niveau du centre d'enfouissement technique de Sidi Chahmi, destiné exclusivement à cet effet, au lieu de «salir» le cadre de vie et l'environnement. «Ce centre est ouvert de jour comme de nuit et tout au long de la semaine», a-t-on indiqué, expliquant que «les tarifs appliqués sont symboliques».
Notre méthode reste "ARCHAÏQUE" on retire de la ville 7000 tonnes de déchets pour aller l'enterrer un peu plus loin " au centre d'enfouissement technique de Sidi Chahmi ".

Ce qu'il faut c'est de le trier, de recycler, et d'incinérer.

L'incinération de déchets est l'ultime étape de traitement des déchets, lorsqu'ils ne sont pas recyclables.

Ce qu'il faut
c'est construire une usine d'incinération des déchets!.

Incinérateur de déchets
L’incinération des déchets est une technique de transformation par l’action du feu. Incinérer signifie « réduire en cendres » ou, dit autrement, qu’on brûle complètement les matières à incinérer. C’est une des techniques de gestion des déchets qui peut servir à produire de l'électricité et/ou de la chaleur (chauffage urbain par exemple), mais qui peut être source de pollution de l'air. L'incinération a deux sous-produits: les mâchefers (MIOM) et des résidus d’épuration de fumées (REFIOM; un déchet ultime constitué de poussières et de cendre volante, riche en substances toxiques, dont dioxines, furanes, HAP, métaux lourds et métalloïdes de granulométrie très fine).
Nos méthode d'enfouissement reste "ARQUAÏQUE" nous sommes dans le XXI siècle il faut moderniser.

archaïque
ADJECTIF
synonymes
primitive · féodal · préhistorique · antédiluvien · désuet · antédiluvienne
antonymes :
moderne
Fourni par Oxford Languages · Cortana
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archaïque définition espace sémantique 23 synonymes anachronique , ancien , antique , arriéré , caduc , démodé , dépassé , désuet , en retard , fossile , obsolète , passé de mode , périmé , poussiéreux , primitif , retardataire , rococo , suranné , vétuste , vieilli , vieillissant , vieillot , vieux
des centaines d'exemples!:

Incinération des déchets
HGH Infrared > Applications > Industries – Thermographie industrielle > Incinération des ordures ménagères – Contrôle de combustion
CONTRÔLE DE LA COMBUSTION DANS LES USINES D'INCINÉRATION DES ORDURES MÉNAGÈRES
Chaque année, 2,12 milliards de tonnes de déchets sont produits dans le monde. Alors que plus de 75 % sont recyclables, nous n’en recyclons que 30 %. La valorisation énergétique des déchets est une technologie de plus en plus utilisée pour produire de l’énergie (électricité et chaleur) à partir de la gestion durable des déchets solides municipaux, dont 50% sont considérés comme renouvelables. L’incinération des déchets implique la combustion de substances organiques contenues dans les déchets municipaux solides et industriels standard. Chaque tonne de déchets brûlés et convertis en énergie peut alimenter un foyer pendant un mois.

Face à ces enjeux, les exploitants d’usines d’incinération de déchets recherchent en permanence des moyens d’améliorer leur efficacité. Des solutions existent. Parmi elles, les caméras thermiques assurent un contrôle complet et fiable des équipements d’incinération et fournissent de nombreuses données qui peuvent être introduites en temps réel dans les systèmes de contrôle pour optimiser le fonctionnement des équipements.

Les risques principaux :
Une usine d’incinération moderne doit assurer la combustion intégrale de toutes les matières organiques contenues dans les déchets, tout en minimisant les émissions, en maximisant la récupération de la chaleur produite dans le four et en optimisant les coûts d’entretien et d’exploitation.

Afin de brûler des matériaux parfois très solides, les incinérateurs doivent atteindre une température qui se situe généralement entre 850°C et plus de 1100°C. Cette température et sa distribution doivent être contrôlées afin d’éviter la création de points chauds, où la chaleur concentrée pourrait endommager la grille ou les parois du four. Le contrôle de la répartition de chaleur permet également de s’assurer que la chaleur est libérée au bon endroit pour être récupérée et transférée efficacement à la chaudière. Comme elles mesurent la température sur tous les pixels de l’image, les caméras thermiques HGH permettent de cartographier les températures dans la zone de combustion et de localiser les endroits plus ou moins chauds.


Les zones d’intérêt définies peuvent être surveillées spécifiquement et associées à des seuils d’alarme de température pour avertir les opérateurs lorsqu’il y a un risque d’endommager le four ou que les émissions dépassent les valeurs critiques, ou encore de brûler les déchets trop vite ou trop lentement..

Schéma sur l'incinération des déchets et l'utilisation de Pyroscan et Pyroscan U pour le contrôle de la combustion thermique des déchets
Les résidus et les cendres à la sortie de la grille ne doivent pas contenir de matières organiques résiduelles une fois l’incinération terminée. Un moyen efficace d’assurer cette conformité est que la combustion s’arrête suffisamment tôt avant la fin de la grille, mais suffisamment loin de l’entrée du four pour que les températures soient réparties uniformément sur la grille et que la chaleur soit libérée progressivement et au bon endroit pour assurer un transfert efficace. Le contrôle précis de l’endroit où la combustion s’arrête, ou du front de flamme, est d’une importance capitale pour le fonctionnement efficace de l’équipement. Dans ce but, HGH a développé un algorithme dédié, en partenariat avec les leaders mondiaux de l’incinération des déchets, pour fournir une détection précise et en temps réel du front de flamme dans les fours des équipements de valorisation énergétique des déchets.

L’emplacement du front de flamme est transféré en temps réel au système de contrôle du four qui ajustera la vitesse de la grille et le débit d’air dans diverses zones, et qui allumera les brûleurs si nécessaire.

Les nombreuses mesures effectuées à grande vitesse par les caméras HGH sont prétraitées et mises à disposition en temps réel via des interfaces de données standard pour être utilisées directement par les systèmes de contrôle. De tels ajustements continus et progressifs permettent de réduire la consommation d’énergie et les contraintes mécaniques, ce qui réduit les coûts d’exploitation et d’entretien. Sans parler de la possibilité d’implémenter des algorithmes de haut niveau et des systèmes évolués qui amélioreront toujours plus les performances de l’installation.

Usine d’incinération des déchets: les caméras thermographiques Pyroscan et Pyroscan-U sont utilisées respectivement à l’intérieur et à l’extérieur de la chambre de combustion pour contrôler le processus de combustion.

Nos Solutions pour le contrôle de la combustion
Deux modèles de caméras ultra-résistantes PYROSCAN sont disponibles


PYROSCAN
Le PYROSCAN est une caméra thermorésistante qui peut être équipée d’un mécanisme d’insertion / rétraction automatisé, permettant d’insérer son endoscope refroidi par eau à l’intérieur des fours pour capturer des images proches de la zone d’intérêt, sans masquage ou atténuation du signal.

Pyroscan U caméra pyrométrqiue externe pour le contrôle de la combustion thermique
PYROSCAN-U
Le PYROSCAN-U est une caméra robuste installée à l’extérieur de la zone de combustion à haute température des fours. La caméra fixe la zone de calcination à travers une fenêtre standard. Elle fonctionne à température ambiante, sans aucun système de refroidissement, et ses dimensions compactes lui permettent d’être installée dans des espaces restreints.

Les deux versions du système capturent des images qui sont traitées par un logiciel puissant logiciel, fournissant une interface avec le DCS (Distributed Control System) en temps réel. L’IHM intuitive du système affiche des images visibles et thermiques de qualité et fournit à l’utilisateur une boîte à outils complète pour analyser l’historique et les tendances des données, les distributions et profils de température, enregistrer et rejouer les données de température pour une analyse plus approfondie….

De nombreux avantages pour l'utilisateur :
Un système performant, adapté aussi bien à l’utilisation directe par l’opérateur qu’à un couplage au DCS pour le contrôle automatisé des fours;
Une boîte à outils complète comprenant des algorithmes spécialement développés pour les fours d’incinération;
Un faible coût d’exploitation (maintenance simple, coûts d’infrastructure et de matériel réduits au minimum);
Une IHM simple et intuitive, pour une prise en main rapide;
Disponible en différentes versions pour s’adapter à toutes les configurations et contraintes de votre équipement;
Le système repose principalement sur des connexions Ethernet ou fibre optique : très rapide et facile à mettre en place.
c'est notre gouvernement qui doit bouger avec en premier notre président et son premier ministre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
il suffit de copier et de prendre exemple sur les pays modernes notre système se trouve à des années lumières du modernisme!!!!!!!!!!!!!!!
Après les Jeux méditerranéens! TOUT REDEVIENDRA COMME AVANT CAR CE QUE VOUS FAITES "RESTE QUE DU TAPE A L'OEIL"

"TOUT JUSTE POUR CACHER LA MISERE" du 25 juin au 6 juillet!.
EXEMPLE

La première usine de transformation des déchets en énergie en Afrique fournira 30% des besoins en électricité des ménages d’Addis-Abeba

Pour lire plus

La capitale de l’Éthiopie, Addis-Abeba, possède une décharge depuis environ 50 ans: le site de décharge de Koshe. Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le site à la taille d’environ 36 terrains de football. Une usine de transformation des déchets en énergie, une première en Afrique, fournira de l’énergie à partir de 1 400 tonnes de déchets chaque jour. Cela représente environ 80% de la production de déchets de la ville. L’usine fournira également aux populations 30 pour cent de leurs besoins en électricité.





L’incinération des déchets est une source d’énergie populaire en Europe; il y a 126 usines en France, 121 en Allemagne et 40 en Italie, selon le PNUE. Mais aucune usine n’a été construite en Afrique – jusqu’à présent. Le projet Reppie Waste-to-Energy (Déchets en Energie) est conçu pour fournir à la capitale de l’Éthiopie environ 30% des besoins énergétiques des ménages. Pour répondre aux normes européennes, le PNUE a déclaré que Reppie « adopte une technologie de traitement des gaz de combustion moderne pour réduire considérablement la libération de métaux lourds et de dioxines produites par le brûlage ».

Une vidéo de la BBC publiée ce mois-ci indique que l’usine de valorisation énergétique produira trois millions de briques à partir de cendres résiduelles et que 30 millions de litres d’eau seront récupérés des déchets. L’usine permettrait d’éviter la libération de 1,2 million de tonnes de dioxyde de carbone. Des centaines d’emplois seront également générés, y compris pour les personnes qui dépendaient de la récupération à la décharge.

L’usine d’incinération brûlera les déchets dans une chambre de combustion. La chaleur produite sera utilisée pour faire bouillir l’eau jusqu’à ce qu’elle se transforme en vapeur, ce qui crée une turbine qui produit de l’électricité.


Construction de l’usine- Cambridge Industries
Le PNUE a décrit l’incinération des déchets en énergie comme une quadruple victoire : «elle économise de l’espace précieux, génère de l’électricité, empêche la libération de produits chimiques toxiques dans les eaux souterraines et réduit le rejet de méthane – un puissant gaz généré dans les décharges – dans l’atmosphère. »



Le gouvernement éthiopien s’est associé à la société de gestion des déchets et des énergies renouvelables Cambridge Industries (Singapour) , à la société d’ingénierie nationale China National Electric Engineering et à la société d’ingénierie danoise Ramboll pour construire l’usine. Le PNUE a déclaré en novembre dernier qu’elle devait commencer à fonctionner en janvier, bien qu’il semble que ce ne soit pas encore le cas. Cela dit, la vidéo de la BBC a rapporté que l’usine est connectée au réseau électrique national. Le consortium espère que le projet sera l’inspiration pour une série de projets similaires dans les grandes villes d’Afrique.

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