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réunion décisive pour Halilhodzic, son départ réglé d'ici demain ?

Publié le 09/05/2022
réunion décisive pour Halilhodzic, son départ réglé d'ici demain ? Julien Pedebos L'avenir de Vahid Halilhodzic semble tout proche d'être scellé. Le sélectionneur du Maroc devrait être débarqué de son poste aujourd'hui ou demain au plus tard ! Vahid Halilhodzic L'avenir de Vahid Halilhodzic semble tout proche d'être scellé. Le sélectionneur du Maroc devrait être débarqué de son poste aujourd'hui ou demain au plus tard ! Dans les heures qui viennent, l'aventure de Vahid Halilhodzic au Maroc devrait bel et bien prendre fin. Le technicien a pourtant réussi à atteindre son objectif principal avec une qualification pour la Coupe du monde. Mais les désaccords sont trop nombreux entre Coach Vahid et ses dirigeants, ce qui devrait donner lieu à une séparation prématurée. Villas-Boas arrive pour le remplacer Selon le site Lions de l'Atlas, qui suit l'actualité marocaine au quotidien, c'est ce lundi que Vahid Halilhodzic va se réunir avec le président de sa Fédération Fouzi Lekjaa. Pour une discussion dont l'épilogue serait déjà connu. L'ancien entraîneur du PSG, de Nantes ou de l'Algérie va céder sa place, très probablement à André Villas-Boas, l'ancien coach de l'OM. Cette séparation pourrait être actée dès aujourd'hui après la réunion des deux hommes, ou demain au plus tard selon le media marocain.
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Malgré la qualification pour le Mondial-2022 au Qatar, le sélectionneur des Lions de l’Atlas a été critiqué au Maroc pour ses choix, comme sa décision de ne plus convoquer en équipe nationale la vedette de Chelsea Hakim Ziyech et le défenseur de l’Ajax Amsterdam Noussair Mazraoui, qui sont brouillés avec lui. Mais, de son côté, le patron de la FRMF, Fouzi Lekjaa, a récemment fait savoir que les portes de l’équipe nationale restaient « ouvertes à tous les joueurs marocains, quels que soient les différends ».

Le dirigeant a l’intention de discuter du sujet avec le sélectionneur dès son retour au Maroc. Interrogé fin avril à la télévision croate sur son avenir à la tête de la sélection marocaine, Halilhodzic avait dit être « serein ».
Football. Vahid Halilhodzic viré par le Maroc avant la Coupe du monde ?
Alors qu’il a réussi à qualifier le Maroc pour la Coupe du monde 2022 au Qatar, le sélectionneur Vahid Halilhodzic pourrait être limogé avant le début de la compétition. En cause, sa gestion des cas Ziyech et Mazraoui.

Le sélectionneur du Maroc Vahid Halilhodzic serait poussé vers la sortie.
Le sélectionneur du Maroc Vahid Halilhodzic serait poussé vers la sortie.
Ouest-France
Alexis CZAJA.
Publié le 11/04/2022 à 09h54
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Vahid Halilhodzic le sait mieux que quiconque. Qualifier son équipe pour la Coupe du monde n’offre pas la garantie de conserver son poste pour disputer la compétition. L’ancien coach de Nantes a déjà connu une telle mésaventure avec la Côte d’Ivoire en 2010 et le Japon en 2018. L’histoire pourrait se répéter avec le Maroc.

Les cas Ziyech et Mazraoui concernés
Selon les informations de Foot Mercato, Halilhodzic serait sérieusement menacé à quelques mois du Mondial 2022 au Qatar. Malgré un bilan globalement positif avec 18 victoires, 7 nuls, 2 défaites, le sélectionneur de 69 ans pour payer sa gestion conflictuelle des cas Hakim Ziyech et Noussair Mazraoui.

Les deux joueurs sont en froid avec le technicien après avoir été écartés pour raisons disciplinaires. Problème, la Fédération marocaine ferait pression pour apaiser les tensions et obtenir la réintégration des deux joueurs dans la perspective de la phase de poule de la Coupe du Monde où le Maroc sera opposé à la Belgique, le Canada et la Croatie.

LIRE AUSSI. Coupe du monde 2022. Vahid Halilhodzic devient le premier sélectionneur à qualifier quatre nations

Une réunion de la dernière chance serait même prévue entre les différentes parties. Mais une liste de successeurs potentiels à Halilhodzic aurait déjà été établie.

Football. Vahid Halilhodzic viré par le Maroc avant la Coupe du monde ?





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L’enfer du décor. Pourquoi M. Halilhodzic doit partir
Posté le 04/05/2022 à 11h51 par Abdelkader El-Aine (Mise à jour le 04/05/2022 à 12h23)

Vahid Halilhodzic.
© COPYRIGHT : DR
Se séparer manu militari de Vahid Halilhodzic serait contraire à la bienséance. L’idée serait de trouver un accord amiable avec lui -dans les plus brefs délais-, de manière à ce qu’il parte la tête haute, en organisant -pourquoi pas?- une cérémonie d’adieu en son honneur, digne de lui et digne de nous.

En début de soirée hier, mardi 3 mai, l’AFP balance une dépêche avec ce titre: «Mondial-2022: imbroglio au Maroc autour de l'avenir d'Halilhodzic». L’agence de presse française fait ici référence à un communiqué, diffusé la veille, par la Fédération royale marocaine de football (FRMF).

Cependant, il n’est plus question de se voiler la face, et il faut le dire sans ambages: entre Vahid Halilhodzic et le Maroc (les différentes composantes du football national: opinion publique, responsables, nombre de joueurs, etc.), le cordon ombilical est coupé. La saga «Je t’aime moi, non plus», avec son lot d’épisodes malencontreux -à coups de déclarations et de contre déclarations- n’est pas productive pour l’équipe nationale, encore moins pour l’image du Maroc.

Ces derniers temps, M. Halilhodzic a multiplié les sorties sur des médias étrangers, faisant montre d’une obstination quasi-maladive envers Hakim Ziyech et lançant des mots qui frisent l’indécence. Des mots qui, arrivés à l’oreille du joueur, l’ont sans doute affecté.

Le B.a.-ba du foot exige que l’on respecte les choix de l’entraîneur. Mais la raison veut aussi que les choix de ce dernier concordent avec les desiderata de ses employeurs, et que sa marge de manœuvre ne soit pas synonyme d’un blanc-seing lui permettant de faire ce que bon lui semble, suivant son humeur et ses états d’âme.

A ce que l’on sache, partout où Hakim Ziyech (puisque c’est vraisemblablement lui qui pose problème à M. Halilhodzic) est passé, nul entraîneur ne s’est plaint de son comportement. Le dire ne signifie forcément pas prendre parti pour lui.

Méditons, au passage, sur ces propos du grand Carlo Ancelotti après le 35e sacre du Real Madrid, qui a fait de lui le seul technicien à avoir remporté les cinq grands championnats européens: «quand j'étais à Parme, j'avais négocié pour recruter Roberto Baggio. Il me disait qu'il voulait jouer comme milieu offensif, mais pour ce faire, je devais changer mon système en 4-4-2, donc je lui avais dit que non. S'il me reposait la question aujourd'hui, je lui dirais: ‘mais viens, évidemment qu'on va changer le système’. Après Parme, je suis allé à la Juventus, et il y avait Zidane. A partir de là, je me suis toujours adapté aux caractéristiques des joueurs».

Dans quelques jours, le patron du football marocain, Fouzi Lekjaa, tiendra une réunion avec Vahid Halilhodzic. Officiellement, il est question de préparer les prochaines échéances de l’équipe nationale, dont le match contre les Etats-Unis ainsi que les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2023 et du Mondial 2022. Officieusement, il sera aussi question de l’avenir du sélectionneur national.

M Halilhodzic -force est de le reconnaître- n’est plus en odeur de sainteté auprès de quiconque, ici. A chacune de ses apparitions dans un stade au Royaume, il est hué. Et avec les responsables, le courant ne passe plus.

Se séparer de lui ces temps-ci, surtout à l’approche d’échéances importantes, serait préjudiciable à l’équipe nationale. C’est l’argument «solide» que tiennent ceux qui plaident, à contre-cœur, pour son maintien.

Dans un sens, c’est vrai. D’autant plus que la fédé a péché en n’ayant pas désigné un adjoint à la hauteur, pour prendre le relais -le cas échéant- comme cela se fait naturellement, aussi bien au sein des sélections nationales que dans les clubs. Par conséquent, il est peu évident d’engager un nouvel entraîneur, lequel aura nécessairement besoin d’un certain temps pour «s’acclimater».

Mais M. Halilhodzic doit partir. Parce qu’aujourd’hui pour lui, le cœur n’y est pas. Il sait pertinemment qu’il est devenu «persona non grata». Et, aussi, parce que pour les dirigeants marocains, le cœur n’y est pas: le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont hâte (et, apparemment, ils sont même prêts) à un divorce.

Quant à l’argument selon lequel l’on est «obligé de supporter M. Halilhodzic pour cause de manque de temps», il ne tient pas. L’histoire regorge d’exemples d'entraîneurs ayant été remerciés à la veille de tournois importants, dont celui de Julen Lopetegui, alors entraîneur de l’équipe espagnole, qui fut démis de ses fonctions à la veille de l’ouverture de la Coupe du monde 2018. La fédé espagnole ne s’est pas trop creusée les méninges pour lui trouver un successeur.

Au Maroc, il est vrai que, malheureusement, l’on est dans l’embarras parce qu’on n’a pas de choix. Mais un choix s’impose et peut s’avérer crucial: Houcine Ammouta. Il connaît fort bien les joueurs, et nombre de ceux-ci le connaissent bien. Et en plus, il est compétent et a déjà fait ses preuves. Why not?

Sinon, pourquoi donc les uns et les autres seraient-ils dans l’obligation de «se supporter» alors qu’ils savent déjà bien pertinemment que ça ne marche plus?

Par Abdelkader El-Aine
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