A Annaba, les dangers sont partout sur toutes les plages du littoral. Particulièrement celles à proximité du centre urbain (Fellah Rachid, Rizzi Amor, la Caroube) où celles dites privées comme celle du Belvédère. Aux risques d’accidents que font courir de jeunes écervelés au volant de la voiture à papa, s’ajoutent les agressions des délinquants autoproclamés propriétaires des plages et des bordures de trottoirs pour le stationnement des voitures. Voilà qu’il faut en ajouter une autre avec ces cerbères en faction au niveau des plages privées. Que vous soyez riche ou pauvre et que vous payez votre droit d’accès à la plage, il vous est interdit d’aller ailleurs que là où votre « petit coin » vous a été désigné. Pire, une partie de la plage est réservée par le concessionnaire à une catégorie de clientes à la moralité très douteuse. « C’est un coin réservé aux cadres de la wilaya », vous répondront ces cerbères pour mettre un terme à toute opposition.
El Watan > 08/07/07 > R. A. I.
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