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La visite d’État a été fixée à la deuxième quinzaine de juin prochain Tebboune ira à Paris! La visite du prés

Publié le 24/04/2023
La visite d’État a été fixée à la deuxième quinzaine de juin prochain Tebboune ira à Paris! La visite du président de la République en France ne sera pas anodine. Elle peut véritablement annoncer une ère nouvelle. Faire de cette visite un succésFaire de cette visite un succés Le chef de l'État se rendra en France dans la seconde moitié du mois de juin prochain. Ce sera une visite d'État, ont convenu les deux présidents Tebboune et Macron, lors d'une communication téléphonique, a annoncé hier, la présidence de la République. Les deux chefs d'État ont «évoqué les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, y compris la visite d'État du président de la République, en France, qu'ils ont convenu d'organiser la deuxième moitié du mois de juin», a précisé El Mouradia dans un communiqué. De son côté, la présidence française a relevé que MM. Macron et Tebboune «ont convenu de poursuivre l'ambitieux travail de préparation pour faire de cette visite un succès». C'est dire que l'intention est on ne peut plus claire et la volonté de poursuivre dans la voie de la réconciliation et du partenariat est très forte et semble bien résister aux desseins malveillants de l'extrême droite française. La relation algéro-française dans sa nouvelle version a réussi à dépasser les «écarts de langage» du président Macron, les comportements de barbouzes de quelques diplomates associés aux services secrets, les campagnes médiatiques haineuses orchestrées par les nostalgiques de l'Algérie-française. Dans cette bataille que mène le tandem Tebboune-Macron dans l'adversité, force est de constater que la balance penche en faveur d'une nouvelle vision des rapports entre les deux pays. Et pour cause, les charges quasi permanentes des lobbies n'ont pas réussi à annuler la visite historique d'Emmanuel Macron en Algérie, ni la signature de la Déclaration d'Alger et encore moins la visite tout aussi historique de la Première ministre Elizabeth Borne à la tête d'une délégation de 16 ministres! Une première dans les annales de la République française. Cette bataille n'est certainement pas finie. Il reste encore des victoires à remporter et il faut aussi s'attendre à des coups bas de la part des descendants de l'OAS. La prochaine visite d'État n'en sera que l'une des séquences. Du côté de l'Algérie comme celui de la France, l'urgence, aujourd'hui, est d'avancer dans la réalisation de l'idéal commun, celui de donner aux deux sociétés, qui comptent des millions de binationaux, de sérieuses perspectives d'avenir. Les présidents Tebboune et Macron sont convaincus que le pont humain qui relie les deux pays est une chance inouïe, à même de porter les deux pays, la région de la Méditerranée occidentale, l'Afrique du Nord et par extension, toute l'Afrique. La géopolitique mouvante du moment autorise parfaitement le rêve de ce tandem qui consiste à créer un pôle de croissance extraordinairement performant en mutualisant les énergies des jeunesses algérienne et française, en assurant un réel transfert technologique nord-sud et surtout en réalisant le désir de paix dans une zone du monde qui a vu naître la civilisation humaine. En cela, la visite d'État du président Tebboune sera un acte fondateur d'une ère nouvelle. Elle vient confirmer le travail accompli à Alger, en août dernier, lors de la visite d'État d'Emmanuel Macron en Algérie. Mais aussi, refonder, pour de vrai, une relation qui a tant besoin de stabilité. Les deux hommes vont parler coopération, partenariat, codéveloppement. Il ne sera pas question de guerre, de colonisation. Non pas que le sujet soit mis sous le tapis, mais parce que l'essence même du combat des deux Présidents a consisté à dépolitiser la question de la mémoire en la confiant à un collège d'experts algériens et français. La commission mixte algéro-française Histoire et Mémoire qui a tenu, mercredi dernier, sa première réunion par visioconférence est l'une des plus éclatantes victoires du dialogue algéro-français. Celui-ci sera éminemment politique sur des dossiers de l'heure et totalement scientifique dans ses aspects mémoriels. Les politiques valideront le travail des historiens. Ils en assumeront le contenu. Les sociétés algérienne et française sauront ce qui s'est passé en Algérie tout au long de la nuit coloniale. Il ne se trouvera pas un seul Algérien qui accablera un citoyen français. Entre l'un et l'autre, il existe ces millions de Franco-Algériens qui seront le ciment de l'ère nouvelle que les deux Présidents appellent de leurs voeux. La visite de Tebboune en France ne sera pas anodine. Elle peut véritablement annoncer une ère nouvelle. Saïd BOUCETTASaïd BOUCETTA 00:00 | 24-04-2023 Share
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La visite d’État a été fixée à la deuxième quinzaine de juin prochain

Tebboune ira à Paris!
La visite du président de la République en France ne sera pas anodine. Elle peut véritablement annoncer une ère nouvelle.

Faire de cette visite un succésFaire de cette visite un succés
Le chef de l'État se rendra en France dans la seconde moitié du mois de juin prochain. Ce sera une visite d'État, ont convenu les deux présidents Tebboune et Macron, lors d'une communication téléphonique, a annoncé hier, la présidence de la République. Les deux chefs d'État ont «évoqué les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, y compris la visite d'État du président de la République, en France, qu'ils ont convenu d'organiser la deuxième moitié du mois de juin», a précisé El Mouradia dans un communiqué. De son côté, la présidence française a relevé que MM. Macron et Tebboune «ont convenu de poursuivre l'ambitieux travail de préparation pour faire de cette visite un succès». C'est dire que l'intention est on ne peut plus claire et la volonté de poursuivre dans la voie de la réconciliation et du partenariat est très forte et semble bien résister aux desseins malveillants de l'extrême droite française.
La relation algéro-française dans sa nouvelle version a réussi à dépasser les «écarts de langage» du président Macron, les comportements de barbouzes de quelques diplomates associés aux services secrets, les campagnes médiatiques haineuses orchestrées par les nostalgiques de l'Algérie-française. Dans cette bataille que mène le tandem Tebboune-Macron dans l'adversité, force est de constater que la balance penche en faveur d'une nouvelle vision des rapports entre les deux pays. Et pour cause, les charges quasi permanentes des lobbies n'ont pas réussi à annuler la visite historique d'Emmanuel Macron en Algérie, ni la signature de la Déclaration d'Alger et encore moins la visite tout aussi historique de la Première ministre Elizabeth Borne à la tête d'une délégation de 16 ministres! Une première dans les annales de la République française. Cette bataille n'est certainement pas finie. Il reste encore des victoires à remporter et il faut aussi s'attendre à des coups bas de la part des descendants de l'OAS. La prochaine visite d'État n'en sera que l'une des séquences.
Du côté de l'Algérie comme celui de la France, l'urgence, aujourd'hui, est d'avancer dans la réalisation de l'idéal commun, celui de donner aux deux sociétés, qui comptent des millions de binationaux, de sérieuses perspectives d'avenir. Les présidents Tebboune et Macron sont convaincus que le pont humain qui relie les deux pays est une chance inouïe, à même de porter les deux pays, la région de la Méditerranée occidentale, l'Afrique du Nord et par extension, toute l'Afrique. La géopolitique mouvante du moment autorise parfaitement le rêve de ce tandem qui consiste à créer un pôle de croissance extraordinairement performant en mutualisant les énergies des jeunesses algérienne et française, en assurant un réel transfert technologique nord-sud et surtout en réalisant le désir de paix dans une zone du monde qui a vu naître la civilisation humaine. En cela, la visite d'État du président Tebboune sera un acte fondateur d'une ère nouvelle. Elle vient confirmer le travail accompli à Alger, en août dernier, lors de la visite d'État d'Emmanuel Macron en Algérie. Mais aussi, refonder, pour de vrai, une relation qui a tant besoin de stabilité.
Les deux hommes vont parler coopération, partenariat, codéveloppement. Il ne sera pas question de guerre, de colonisation. Non pas que le sujet soit mis sous le tapis, mais parce que l'essence même du combat des deux Présidents a consisté à dépolitiser la question de la mémoire en la confiant à un collège d'experts algériens et français. La commission mixte algéro-française Histoire et Mémoire qui a tenu, mercredi dernier, sa première réunion par visioconférence est l'une des plus éclatantes victoires du dialogue algéro-français.
Celui-ci sera éminemment politique sur des dossiers de l'heure et totalement scientifique dans ses aspects mémoriels. Les politiques valideront le travail des historiens. Ils en assumeront le contenu. Les sociétés algérienne et française sauront ce qui s'est passé en Algérie tout au long de la nuit coloniale. Il ne se trouvera pas un seul Algérien qui accablera un citoyen français. Entre l'un et l'autre, il existe ces millions de Franco-Algériens qui seront le ciment de l'ère nouvelle que les deux Présidents appellent de leurs voeux. La visite de Tebboune en France ne sera pas anodine. Elle peut véritablement annoncer une ère nouvelle.

Saïd BOUCETTASaïd BOUCETTA
00:00 | 24-04-2023
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Message à notre président

De demander au président Emmanuel Macron de nous rendre "le canon de baba Merzough" qui se trouve actuellement à Brest!.
Ce canon doit retrouver sa place à Alger


A côté du monument des Martyrs de la révolution!.
La Consulaire dans l'arsenal de Brest. La Consulaire, aussi appelé Baba Merzoug (en arabe « Père chanceux » ), est le surnom d'un canon érigé en colonne et installé depuis 1833 dans le port militaire de Brest, en France. Ce canon de 12 tonnes et 7 mètres de long protégeait la rade d'Alger depuis le XVI e siècle.
La Consulaire

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48° 23′ 10″ N, 4° 29′ 43″ O
La Consulaire
La Consulaire (Baba Merzoug).jpg
La Consulaire dans l'arsenal de Brest.
Présentation
Type
Colonne commémorative
Destination initiale
Commémoration de la Prise d'Alger
Matériau
granite et bronze
Construction
1833
Patrimonialité
Recensé à l'inventaire général
Localisation
Pays
Drapeau de la France France
Région
Bretagne
Département
Finistère
Commune
Brest
Coordonnées
48° 23′ 10″ N, 4° 29′ 43″ O
Localisation sur la carte du Finistère
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La Consulaire, aussi appelé Baba Merzoug (en arabe « Père chanceux » ), est le surnom d'un canon érigé en colonne et installé depuis 1833 dans le port militaire de Brest, en France. Ce canon de 12 tonnes et 7 mètres de long protégeait la rade d'Alger depuis le xvie siècle. En 1830, après l'expédition d'Alger, il est rapporté en France comme trophée de guerre1.

Histoire
Fabrication
Selon certaines sources, ce canon aurait été pris lors de la bataille de Pavie à François Ier par Charles Quint. Lors de l'expédition d'Alger de 1541, Charles Quint, surpris par une tempête, aurait abandonné son artillerie. Cela expliquerait ses inscriptions et sa similarité avec d'autres canons contemporains2. Dans un livre édité en 1840 relatant la prise d'Alger par le père Dorigez aumônier de l'armée d'Afrique, il est écrit effectivement que : « Ce canon proviendrait de la prise de guerre de Charles Quint lors de la victoire sur François Ier à Pavie, en 1525. Charles Quint qui était allé bombarder Alger quelques années après, en 1541, avait dû fuir devant une épouvantable tempête, et abandonner toute son artillerie ; près de trois siècles après, la victoire devait restituer cette pièce à l'armée française. »

Cependant il est plus vraisemblable vu son poids que ce canon ait été conçu dans les fonderies de Dar Ennahas, prés de la porte Bab El Oued en 1542, par un maître d'œuvre vénitien à la solde du dey d'Alger, Hassan Agha. Le canon était placé lors de l'achèvement de la jetée Kheir Eddine à l'extrémité, sur le Bordj Amar3.

Dans les galeries extérieures de l'Hôtel des Invalides, on peut observer plusieurs canons en bronze récupérés à Alger en 1830 et d'autres genre de mortiers avec des inscriptions en arabe4.

À Alger

Gravure hollandaise de 1698, représentant l'exécution du consul de France, Jean Le Vacher qui est projeté sur le navire-amiral de Duquesne le 26 juillet 1683.
Il fut surnommé « La Consulaire » par les Français après avoir supposément servi à exécuter le consul français Jean Le Vacher5 en 1683, en représailles à l'attaque perpétrée par l'amiral Duquesne. Il aurait dû jouer le même rôle pour le consul André Piolle le 29 juin 1688, mais celui-ci fut battu à mort auparavant, et fut remplacé par 42 chrétiens. D'autres prisonniers subirent le même sort6,7 en représailles à l'attaque perpétrée par le maréchal Jean d'Estrées en 16888.

À Brest
Le canon est capturé par l'armée française, alors commandée par le général de Bourmont et l'amiral Duperré, lors de la prise d'Alger en 1830. Il a alors été déplacé dans l'arsenal de Brest par Duperré où il est transformé en une colonne reposant sur un socle de granit. Il est surmontée d’un coq, symbole de la France, qui pose une patte sur un globe terrestre.

Depuis la fin des années 1990, plusieurs associations algériennes réclament la restitution du canon9. Mais en droit français les biens culturels publics sont inaliénables et imprescriptibles. La restitution demanderait une loi10. Le rapport Stora (2021) prévoit la création d'une commission franco-algérienne d’historiens chargée « d’établir l’historique du canon et de formuler des propositions partagées quant à son avenir, respectueuses de la charge mémorielle qu’il porte des deux côtés de la Méditerranée »11.

Description
Le canon est long de 7 mètres, pesant 12 tonnes, de calibre 10 pouces. Il a une portée de 4 872 mètres,

La plaque de la face et du socle porte une inscription dont la transcription est la suivante :

« La Consulaire,
prise à Alger le 5 juillet 1830,
jour de la conquête de cette ville par les Armées Françaises,
l'A. B.on Duperré commandant l'escadre.
Érigée le 27 juillet 1833,
S. M. Louis Philippe régnant,
le V. A. C.te de Rigny ministre de la Marine,
le V. A. Bergeret préfet maritime. »
La Consulaire, aussi appelé Baba Merzoug (en arabe « Père chanceux » ), est le surnom d'un canon érigé en colonne et installé depuis 1833 dans le port militaire de Brest, en France. Ce canon de 12 tonnes et 7 mètres de long protégeait la rade d'Alger depuis le xvie siècle. En 1830, après l'expédition d'Alger, il est rapporté en France comme trophée de guerre.
Que dirait les français! si l'Algérie prendrait leur Tour Eiffel?.
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