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Mafia des plages, «parkingeurs» et gangs de quartiers Impitoyables squateurs! Les autorités doivent intensifi

Publié le 14/08/2023
Mafia des plages, «parkingeurs» et gangs de quartiers Impitoyables squateurs! Les autorités doivent intensifier leurs efforts pour éradiquer ces groupes criminels qui mettent en péril la sécurité publique. L’État ne doit pas se suffire des demi-mesures. C’est l’heure de sonner la fin de la récréation… Le maître de la rueLe maître de la rue Une menace sourde et insidieuse plane sur la vie quotidienne des Algériens. La prolifération de la mafia des plages, des -«parkingeurs» agressifs et des gangs de quartiers impose un sentiment d'insécurité grandissant. Ces groupes devenus maîtres de l'espace public, déstabilisent la société et remettent en question les fondements même de la vie urbaine. L'aide de moyens coercitifs allant de barres de fer aux chiens d'attaque, en passant par des couteaux et des pistolets de détresse,refusant de s'intégrer à la société, ils opèrent en toute impunité, terrorisant la population et générant un climat de peur dans les rues. Leur mode opératoire consiste à racketter les citoyens, harceler les jeunes filles et agresser tous ceux osant se dresser contre eux. Cette montée en puissance a atteint des niveaux alarmants, comme le démontrent deux incidents récents qui ont secoué le pays. L'histoire poignante d'un jeune avocat et de sa famille, victimes de brutalités alors qu'ils tentaient de profiter d'une journée agréable dans un parc d'attractions, révèle l'étendue de la menace. Confrontés à l'hostilité d'un agent du parc et de son complice «parkingeur», ils ont été victimes de violences pour avoir osé résister à leurs exigences. Cet incident n'est pas isolé: des vies ont été tragiquement perdues lorsque des citoyens se sont dressés contre ces groupes malveillants. La menace ne se limite pas aux espaces de loisirs. Même les lieux de transport public ne sont pas à l'abri de leurs agressions. Récemment, un groupe de touristes profitant d'une balade nocturne dans un bus impérial dans la capitale a échappé de justesse à un drame, après qu'un groupe d'adolescents a lancé un pot de fleurs sur le véhicule. Bien que personne n'a été blessé, cet incident a démontré à quel point la situation est précaire et que le danger peut surgir à tout moment, n'épargnant personne. La situation actuelle est la conséquence d'une problématique qui perdure depuis trop longtemps. Les transports publics sont régulièrement pris pour cibles par ces individus, causant des traumatismes physiques et psychologiques à de nombreux citoyens. Cependant, les autorités semblent rester passives face à ces agressions, ce qui engendre un sentiment de désarroi parmi la population. L'insécurité urbaine est devenue la norme, et les citoyens subissent ces agressions au quotidien. Face à cette réalité alarmante, il est plus que jamais temps de mettre un terme à cette récréation macabre. Les autorités doivent intensifier leurs efforts pour éradiquer ces groupes criminels qui mettent en péril la sécurité publique. La coopération entre les forces de l'ordre et les citoyens est cruciale pour rétablir l'ordre et la tranquillité dans les rues. Les autorités doivent adopter des mesures résolues et tangibles. Le simple affichage de répression à des fins médiatiques ne suffira pas à restaurer la sécurité et la confiance des citoyens. À l'instar de ce qui se passe sur les plages, où les opérations musclées sont souvent suivies d'un retour en force des plagistes et leurs tables délabrées. Ils jouent à cache-cache avec les autorités. Cette nouvelle «guerre» exige bien plus que des opérations médiatiques temporaires. Chose que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune,a très bien compris. Quelque mois après son élection à la tête du pays, il a présidé un Conseil des ministres dédié à la lutte contre la violence urbaine. C'est ainsi qu'une réforme judiciaire pour lutter contre la montée des groupes criminels a été adoptée. Le chef de l'État a également ordonné une lutte sans relâche contre ce fléau. L'interdiction de l'importation, la vente, la possession, l'utilisation ou la fabrication d'armes blanches, sabres et poignards, destinés aux bandes de quartiers, ainsi que l'exclusion des personnes condamnées, membres de ces bandes, des procédures de grâce, sont des mesures strictes qui visent à briser le cycle de la violence et à décourager les activités criminelles de ces groupes. De plus, l'institution de mesures légales pour protéger les différents corps de sécurité chargés de lutter contre ces bandes est un signal fort de soutien envers les forces de l'ordre. Cette réforme judiciaire reflète la volonté du gouvernement de restaurer la confiance des citoyens en l'autorité de l'État et de rétablir un climat de sécurité et de paix dans les villes. Il est donc temps d'appliquer ces reformes sur le terrain avec une main ferme de l'État. C'est l'heure de la tolérance zéro... Walid AÏT SAÏDWalid AÏT SAÏD 00:00 | 14-08-2023 Share
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Mafia des plages, «parkingeurs» et gangs de quartiers

Impitoyables squateurs!
Les autorités doivent intensifier leurs efforts pour éradiquer ces groupes criminels qui mettent en péril la sécurité publique. L’État ne doit pas se suffire des demi-mesures. C’est l’heure de sonner la fin de la récréation…

Le maître de la rueLe maître de la rue
Une menace sourde et insidieuse plane sur la vie quotidienne des Algériens. La prolifération de la mafia des plages, des -«parkingeurs» agressifs et des gangs de quartiers impose un sentiment d'insécurité grandissant. Ces groupes devenus maîtres de l'espace public, déstabilisent la société et remettent en question les fondements même de la vie urbaine.
L'aide de moyens coercitifs allant de barres de fer aux chiens d'attaque, en passant par des couteaux et des pistolets de détresse,refusant de s'intégrer à la société, ils opèrent en toute impunité, terrorisant la population et générant un climat de peur dans les rues. Leur mode opératoire consiste à racketter les citoyens, harceler les jeunes filles et agresser tous ceux osant se dresser contre eux. Cette montée en puissance a atteint des niveaux alarmants, comme le démontrent deux incidents récents qui ont secoué le pays. L'histoire poignante d'un jeune avocat et de sa famille, victimes de brutalités alors qu'ils tentaient de profiter d'une journée agréable dans un parc d'attractions, révèle l'étendue de la menace. Confrontés à l'hostilité d'un agent du parc et de son complice «parkingeur», ils ont été victimes de violences pour avoir osé résister à leurs exigences. Cet incident n'est pas isolé: des vies ont été tragiquement perdues lorsque des citoyens se sont dressés contre ces groupes malveillants. La menace ne se limite pas aux espaces de loisirs. Même les lieux de transport public ne sont pas à l'abri de leurs agressions. Récemment, un groupe de touristes profitant d'une balade nocturne dans un bus impérial dans la capitale a échappé de justesse à un drame, après qu'un groupe d'adolescents a lancé un pot de fleurs sur le véhicule. Bien que personne n'a été blessé, cet incident a démontré à quel point la situation est précaire et que le danger peut surgir à tout moment, n'épargnant personne. La situation actuelle est la conséquence d'une problématique qui perdure depuis trop longtemps. Les transports publics sont régulièrement pris pour cibles par ces individus, causant des traumatismes physiques et psychologiques à de nombreux citoyens. Cependant, les autorités semblent rester passives face à ces agressions, ce qui engendre un sentiment de désarroi parmi la population. L'insécurité urbaine est devenue la norme, et les citoyens subissent ces agressions au quotidien. Face à cette réalité alarmante, il est plus que jamais temps de mettre un terme à cette récréation macabre. Les autorités doivent intensifier leurs efforts pour éradiquer ces groupes criminels qui mettent en péril la sécurité publique.
La coopération entre les forces de l'ordre et les citoyens est cruciale pour rétablir l'ordre et la tranquillité dans les rues. Les autorités doivent adopter des mesures résolues et tangibles. Le simple affichage de répression à des fins médiatiques ne suffira pas à restaurer la sécurité et la confiance des citoyens. À l'instar de ce qui se passe sur les plages, où les opérations musclées sont souvent suivies d'un retour en force des plagistes et leurs tables délabrées. Ils jouent à cache-cache avec les autorités. Cette nouvelle «guerre» exige bien plus que des opérations médiatiques temporaires. Chose que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune,a très bien compris. Quelque mois après son élection à la tête du pays, il a présidé un Conseil des ministres dédié à la lutte contre la violence urbaine. C'est ainsi qu'une réforme judiciaire pour lutter contre la montée des groupes criminels a été adoptée.
Le chef de l'État a également ordonné une lutte sans relâche contre ce fléau. L'interdiction de l'importation, la vente, la possession, l'utilisation ou la fabrication d'armes blanches, sabres et poignards, destinés aux bandes de quartiers, ainsi que l'exclusion des personnes condamnées, membres de ces bandes, des procédures de grâce, sont des mesures strictes qui visent à briser le cycle de la violence et à décourager les activités criminelles de ces groupes. De plus, l'institution de mesures légales pour protéger les différents corps de sécurité chargés de lutter contre ces bandes est un signal fort de soutien envers les forces de l'ordre. Cette réforme judiciaire reflète la volonté du gouvernement de restaurer la confiance des citoyens en l'autorité de l'État et de rétablir un climat de sécurité et de paix dans les villes. Il est donc temps d'appliquer ces reformes sur le terrain avec une main ferme de l'État. C'est l'heure de la tolérance zéro...

Walid AÏT SAÏDWalid AÏT SAÏD
00:00 | 14-08-2023
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Citoyens, Tous Responsables, Tous Coupables ?
Le blason de la ville, après des échecs consécutifs et de nombreux conflits avec les administrés, ne s’en trouva pas redoré. La situation actuelle de la ville : chantiers non terminés, crise sanitaire jamais vécue par les citoyens, avec des ordures jonchant les rues et les avenues de l’ancienne « coquette». Il semblerait que ni l’édile, ni les 17 membres de l’exécutif ne s’intéressent aux problèmes de la municipalité, encore moins aux préoccupations des citoyens qui assistent à une décadence et une série de crises jamais dénouées faisant d’Annaba, une ville sale, répugnante dans laquelle il ne fait pas bonvivre.

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