Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/Home > À La Une63 Views3 Mins0 Comment Pénuries, Fraude À L’importa...
Zone Membre
Publicités

Home > À La Une63 Views3 Mins0 Comment Pénuries, Fraude À L’importation : Tebboune Accuse « Les Résidus De La

Publié le 27/12/2023
Home > À La Une63 Views3 Mins0 Comment Pénuries, Fraude À L’importation : Tebboune Accuse « Les Résidus De La Issaba » EDITEUR - 27 DÉCEMBRE 2023 Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Quatre ans après son arrivée à la tête de l’État, Abdelmadjid Tebboune est toujours en croisade contre « la issaba ». Dans son discours prononcé avant-hier lundi devant les membres des deux chambres du Parlement, le président a indiqué avoir récupéré l’équivalent de 30 milliards de dollars de biens, entre usines, bâtisses et comptes bancaires, qui appartenaient aux anciens hommes d’affaires véreux. En même temps, « le travail se poursuit pour récupérer les fonds détournés vers l’étranger », a assuré Tebboune, soulignant que « nombre de pays européens ont affiché leur disposition à restituer les fonds détournés au peuple ». Malgré leur détention, les « résidus de la issaba » continuent d’agir, à en croire le chef de l’État, qui a indiqué que c’était eux qui étaient derrière les pénuries des produits de grande consommation, notamment en 2020 et 2021. Selon lui, « ces agissements s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du plan tracé pour l’Algérie avant l’élection présidentielle, celui de ladite période transitoire pour rejoindre les pays arabes et étrangers déstabilisés à ce jour ». Le but était en effet de « déstabiliser » le pays en créant des pénuries en tous genres. En plus de la crise du Covid, l’Algérie avait connu des ruptures successives en produits alimentaires de base, comme la semoule, le lait, l’huile de table et même des liquidités dans les banques et bureaux de poste. Une situation qui n’a rien d’accidentel, selon le chef de l’État, qui a donné l’exemple de certaines wilayas où la semoule était dissimulée pour provoquer une pénurie, et par conséquent faire exploser la colère des citoyens. Mais une fois le marché réapprovisionné, d’énormes quantités de ce produit « avaient été jetées dans des poubelles », a-t-il attesté. Toujours dans le domaine de l’importation, Abdelmadjid Tebboune a révélé l’existence de « plus de 26.000 » sociétés fictives d’importation. « Les devises sortaient, mais aucun produit ne rentrait », a-t-il indiqué, tout en rassurant s’être « débarrassé » de ce « fléau ». D’autres formes de « détournements » ont également été citées par le président pour accabler « la issaba ». « Par le passé, les crédits bancaires ont atteint 5.000 milliards de dinars, dont seulement 10 % ont été remboursés, car tout était transféré vers l’étranger », a-t-il fait savoir. Pour montrer l’énormité du désastre il a précisé que s’il devait citer tous les exemples et cas de fraudes et de détournements, il pourrait « en parler durant des heures », avant d’ajouter : « Mais nous avons redressé la situation, même si le chemin est encore long ». Akli Ouali
« Actualité précédente
Salah Goudjil «Nous renouvelons notre soutien au Président» Le président du Conseil de la nation a réitéré so
Actualité suivante »
Un plan de sortie du bourbier à Ghaza, en gestation : Qui veut impliquer l’Algérie ? La Rédaction by La Rédact

Les Commentaires

Abdelmadjid Tebboune a révélé l’existence de « plus de 26.000 » sociétés fictives d’importation. « Les devises sortaient, mais aucun produit ne rentrait », a-t-il indiqué, tout en rassurant s’être « débarrassé » de ce « fléau ». D’autres formes de « détournements » ont également été citées par le président pour accabler « la issaba ». « Par le passé, les crédits bancaires ont atteint 5.000 milliards de dinars, dont seulement 10 % ont été remboursés, car tout était transféré vers l’étranger », a-t-il fait savoir. Pour montrer l’énormité du désastre il a précisé que s’il devait citer tous les exemples et cas de fraudes et de détournements, il pourrait « en parler durant des heures »
Abdelmadjid Tebboune a révélé l’existence de « plus de 26.000 » sociétés fictives d’importation. « Les devises sortaient, mais aucun produit ne rentrait », a-t-il indiqué, tout en rassurant s’être « débarrassé » de ce « fléau ». D’autres formes de « détournements » ont également été citées par le président pour accabler « la issaba ». « Par le passé, les crédits bancaires ont atteint 5.000 milliards de dinars, dont seulement 10 % ont été remboursés, car tout était transféré vers l’étranger », a-t-il fait savoir. Pour montrer l’énormité du désastre il a précisé que s’il devait citer tous les exemples et cas de fraudes et de détournements, il pourrait « en parler durant des heures »
ba ba ba ba ba ba rien n'arrête les daltons!

Exclusif. Une fortune 300 millions de dollars US de l’ancien régime Bouteflika au coeur de la discorde entre Alger et Abu Dhabi
Ilyas aribi-13:54 - décembre 18, 2023


L’argent est l’une des causes qui expliquent les relations actuellement glaciales et très tendues entre Alger et Abu Dhabi. Et ce n’est pas n’importe quel argent car il s’agit d’une fortune colossale évaluée par les autorités algériennes à plus de 300 millions de dollars US qui auraient été dissimulée et cachée dans des banques et établissements financiers émiratis par des membres de la famille Bouteflika et d’anciens oligarques déchus ainsi que des acteurs importants du régime Bouteflika. La restitution de cet argent est l’un des revendications majeures formulées par le régime Tebboune qui veut à tout prix mettre la main sur cette fortune qui aurait été accumulée durant 15 ans par l’ancien Président algérien en personne, à savoir Abdelaziz Bouteflika, son frère cadet, le fameux Saïd Bouteflika ainsi que plusieurs anciens oligarques actuellement en prison en Algérie et un certain nombre de lobbyistes ou d’intermédiaires auxquels recouraient régulièrement le régime Bouteflika par le passé pour faire des affaires florissantes à Dubai.
Selon nos sources, le régime Tebboune disposerait de dossiers sécuritaires et judiciaires démontrant que ces 300 millions de dollars US proviennent essentiellement des pots-de-vin versés par des investisseurs émiratis pendant une période de 15 ans en contrepartie d’avantages économiques ou politiques qui leur ont été concédés par l’ancien régime Bouteflika. Nos sources certifient que le régime Tebboune a adressé à maintes reprises des correspondances et demandes d’entraide judiciaire pour tenter d’identifier les comptes bancaires ou les coffres-forts cachant cette fortune secrète. Mais les autorités émiraties n’ont jamais voulu ou daigné répondre favorablement aux demandes des autorités algériennes. Ce qui n’a pas manqué d’aggraver les tensions politiques opposant les deux Etats. D’après nos sources, le régime Tebboune soupçonne même les dirigeants des Emirats Arabes Unis d’avoir proposé discrètement à des membres de la famille Bouteflika et à plusieurs de leurs proches civils comme militaires ou collaborateurs un exil doré sur leur territoire en 2019. Notons enfin que ces informations n’ont jamais été commentées, confirmées ou infirmées par des officiels émiratis laissant ainsi planer l’ombre de la discorde dans le ciel des relations algéro-émiraties.
Saadani aurait dissimulé 300 millions d’euro dans un compte à Paris

e journal électronique Mondafrique.com a mis en ligne un article au titre explicite : «L’Algérie, les appartements parisiens suspects du secrétaire général du FLN». A travers ce papier du journal que dirige le célèbre journaliste d’investigation Nicolas Beau, on apprend donc, qu’Amar Saadani est soupçonné de détenir des biens mal acquis.

Selon Mondafrique.com, l’ancien président de l’APN (2004-2007) serait propriétaire de deux grands appartements situés dans la capitale française. De plus, M. Saadani posséderait un compte bancaire très bien crédité (en euros).


Dans l’article du journal électronique, la fortune cachée de Amar Saadani est bien détaillée : «Juste après sa désignation à la tête du FLN, en septembre dernier, Saadani est venu à Paris pour dissimuler sa fortune : deux grands appartements parisiens, dont un sur l’avenue de la Grande Armée, dans le très chic 16e arrondissement. Ce dignitaire algérien possède surtout un compte en banque confortable dans une des premières banques françaises. Soit, d’après nos informations, 300 millions d’euros».

Nicolas Beau explique également que les «deux enfants de Amar Saadani vivent à l’étranger (Paris et Londres)» et «Ils (les deux enfants) sont chargés de rendre intraçable cette colossale fortune. En vain», selon lui.

Ce que le journaliste ne comprend pas, c’est l’attitude des organismes français de lutte contre le blanchiment d’argent. Nicolas Beau s’interroge : «Soit dit en passant, que fait donc l’organisme français de lutte antiblanchiment, Tracfin, face aux avoirs des dignitaires algériens dans les banques françaises ?» avant d’apporter lui même une réponse :«Pas grand-chose apparemment !».

Enfin, le reconnu journaliste d’investigation rajoute : Ce même Saadani est aujourd’hui présumé coupable de corruption. Son nom est intimement lié au scandale de détournement des fonds alloués à la Générale des concessions agricoles, des fonds estimés à 550 millions de dollars».

Du côté d’Amar Saadani, il n’y a pas encore eu de réaction à cet article. Rappelons que c’est ce même Saadani qui défendait il y a quelques mois, l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, alors que la justice algérienne venait de lancer un mandat d’arrêt international contre lui.

SAADANI le magicien Algérie : Amar Saadani, ancien président de l'Assemblée ...

Jeune Afrique
— L'ancien secrétaire général du FLN, Amar Saadani, 71 ans, en fuite pour échapper à la justice de son pays, a trouvé refuge au Maroc. Selon des ...mène une vie de prince!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Lucky Luke aura ta peau!.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires