Les terres irriguées demeurent faibles à cause de l’absence de mobilisation des eaux superficielles et de l’utilisation des nappes souterraines.
Il faut souligner, dans ce cadre, que les besoins en irrigation exigent la réalisation d’autres projets analogues car les 85 retenues et 600 puits, en plus des captages illicites effectués sur les conduites d’eau, n’arrivent pas à répondre aux attentes des agriculteurs, dont la plupart optent pour les cultures en sec sans guère se soucier des rendements. Il s’agit d’un état d’esprit qui a fait que l’irrigation des terres agricoles est restée au même niveau, celui d’il y a quelque années.
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