Plusieurs liasses de faux billets ont été découvertes, hier matin, par un agent de la voirie dans un sac-poubelle, apprend-on de sources sécuritaires.
Le sac a été déposé dans un bac à ordures sur la voie publique non loin du siège de la sûreté urbaine du 9e arrondissement, à Annaba. Intrigué par le contenu du sachet, l’ouvrier n’a pas hésité à l’ouvrir pour découvrir, non sans surprise, plusieurs paquets de billets en coupures de 1000 DA, 500 DA et 200 DA.
Le sac a été déposé dans un bac-poubelle avec également une importante quantité de papier fiduciaire vierge prêt à l’impression. L’agent communal s’est vite déplacé à la sûreté urbaine pour remettre son étonnante découverte. Une enquête a été ouverte pour situer l’origine et retrouver les propriétaires de cette quantité de faux billets.
Cette affaire intervient quelques jours à peine après que les éléments de la brigade de recherches et d’investigation (BRI) ont arrêté une ressortissante tunisienne en possession d’une liasse de 20 000 DA en fausses coupures de 1000 DA et qui avait déjà eu affaire à la justice algérienne.
Les Commentaires
Imaginez-vous l'émotion que cela a causé à ce pauvre éboueur, qui certainement comme tous les pauvres sur cette terre, a eu à rêver un jour de tomber sur un trésor envoyer du ciel.
Imaginez-vous sa réation, en déouvrant ces liasses de billets. Devant cette vision exceptionnelle, les yeux grands ouverts, la bouche béante, l'air sidéré, il n'a même pas eu le temps de comprende ce qu'il lui arrive. Cet évènement plus qu'extraordinaire, le laissa assûrement, pendant un moment, abasourdi comme frappé par une paralysie qui le priva de toute possibilité d'agir ou de penser, avant de revenir à lui même.
Est-ce un miracle, attribué à la puissance divine, qui enfin pensa un pu à lui ? se demanda-t-il.
Ou bien est-ce le diable qui se joue de moi, en transformant ces sacs à ordure en sacs de banque ?
Ou bien encore, est-ce mon cerveau qui commence à flancher, en créant pour se gausser de moi, cette illusion de mirage trompeur ?
Toujours est-il que ce pauvre malheureux, resta certainement, pendant un instant,totalement hagard, ne sachant plus reconnaître la frontière entre le rêve et la réalité. De ce fait, il a au moins goûter, pour quelques secondes au bonheur que vivent sur un plateau de télévision, les heureux élus d'un énorme jack-pot.