La wilaya d’Annaba, contrariée dans ses ambitions de grande métropole de l’Est, durant l’ère des vaches maigres, est en passe d’inverser la tendance. Les investissements injectés dans son développement depuis le plan de relance économique ne manqueront certainement pas de bouleverser entièrement le paysage et le quotidien du citoyen.
Les grands projets structurants en cours ou à lancer sont de nature à lui permettre de recouvrer ses attributs d’antan et de réunir toutes les conditions du redécollage économique et social. Les atouts multiples dont elle dispose sont mis à contribution dans l’impulsion d’une dynamique de développement qui lui permette de se placer au diapason des mutations économiques et sociales ciblées par les stratégies mises en œuvre. L’ex-poumon économique de la région conserve un potentiel industriel capable de générer des activités et partant de l’emploi et ce dans les créneaux de la sous- traitance et de la transformation. Aussi Annaba est-elle dotée de potentialités avérées à même de booster le développement agricole, fixer les populations et créer l’emploi.
La wilaya d’Annaba c’est aussi un réseau d’infrastructures relativement développé qui lui permet d’être ouverte sur la région et sur la Méditerranée, voire sur le monde. Pôle universitaire au rayonnement avéré, des opportunités réelles d’investissements, des ressources marines et des atouts touristiques considérables, ce sont là des vecteurs sûrs du développement local et autant de gisements d’emploi durables.
Toutes ces richesses que lui envient beaucoup d’autres wilayas ne l’ont pas pour autant propulsée dans la prospérité. Des contraintes objectives ont annihilé les efforts de l’Etat et réduit l’efficience de moyens. L’insuffisance de conditions de viabilité au niveau des zones hautement structurantes et productives à laquelle se greffent les contraintes liées à la forte concentration humaine (85%) dans quatre communes seulement ont quelque peu amoindri l’impact de l’action du développement.
Les différents programmes mis en œuvre ont permis une meilleure prise en charge des attentes sociales. Les indicateurs socioéconomiques illustrent à bien des égards les améliorations enregistrées. Les taux de raccordement dans les secteurs de l’AEP, l’assainissement et l’électricité et le gaz sont très significatifs des avancées réalisées. Des efforts ont été consentis dans l’exploitation de l’eau.
En zones urbaines comme en zones rurales , les habitants sentent un léger mieux. La wilaya a bien cerné les contraintes à l’origine de la pression qui s’exerce dans le tissu économique et social. Les entraves sont fondamentalement liées aux inondations cycliques, à la vétusté des réseaux d’assainissement et à la multiplication des goulots d’étranglement dues à des infrastructures routières saturées. Outre cela, Annaba est dotée d’un parc logements précaire et autres menaçant ruine. C e sont plus de 19 000 baraques près de 6500 logements vétustes hérités de l’époque coloniale qui constituent le talon d’Achille de la cité.
Annaba qui a grandement pâti de l’insuffisance des terrains d’assiette, s’est ingéniée à trouver une solution adéquate au problème du foncier, pour à l’évidence, prendre à bras le corps l’investissement. L’endiguement du phénomène récurent et compromettant que sont les inondations est incontestablement au cœur des priorités de la wilaya. Autant la ville que la périphérie sont ciblées par un programme d’envergure visant à corriger cette faiblesse à l’origine d’un gâchis incommensurable.
Le gain est d’autant plus substantiel que le programme permettra de mobiliser l’eau non conventionnelle pour prendre en charge les besoins domestiques et industriels. L’on table sur près 28 millions de m3 destinés à l’agriculture et à l’industrie.
L’infrastructure routière n’est pas occultée dans cette vision prospective privilégiant l’harmonie dans l’action de développement local et les impératifs du développement global..
Il est recherché une meilleure fluidité à travers la réalisation d e trémies et autres passages supérieurs.
Le projet d’importance de réalisation d’un tramway aux côtés de la réalisation de la nouvelle aérogare qui avance en dépit des retards cumulés, confèrent, assurément à la wilaya, un statut à la mesure de ses ambitions. La réalisation d’un tramway clé en main pour un cout de quelque 30millions d’euros révolutionnera à coup sûr le transport qui prendra en charge près de 20 000 passagers par jour, ce qui représente quelque 40% de la population globale d’Annaba. Le projet génèrera 200 à 300 postes de travail.
La wilaya qui a à son actif la remise en marche du téléphérique, compte également des projets d’envergure à l’extérieur du tissu urbain à l’image du tronçon d’autoroute Est Ouest traversant la wilaya sur 39km en plus de la réalisation d’ouvrages d’art comportant deux brettelles et le dédoublement de l’axe routier s’étendant d’El Hadjar à la limite de la wilaya de Guelma la réalisation d’un nouveau port de pêche s’inscrit dans une démarche visant à mettre le secteur de la pêche au diapason des impératifs de son développement et permettre au port commercial de se concentrer sur son métier en rapport avec l’activité économique.
L’infrastructure aéroportuaire n’est pas en reste de cette dynamique. Outre la nouvelle aérogare, le parking avion permettra une meilleure fonctionnalité de l’aéroport.
Aussi l’apport de l’ouvrage d’art à double voie dans la prise en charge du goulot d’étranglement causé par la saturation du Pont Y ou encore le pont de la mort n’est pas à démontrer.
Pour rester dans le domaine des transports, l’autre projet d’envergure demeure la mise à double voie et la modernisation de la ligne ferroviaire Annaba Ramdane Djamel. Le doublement de la voie sur 96 km est intégré dans le programme national de modernisation de la rocade Annaba-Alger- Oran.
C’est pour dire le cap mis sur de meilleures performances dans la prise en charge du trafic ferroviaire mixte voyageurs et marchandises. En attendant que se concrétise l’objectif d’un nouveau CHU qui prendrait en charge les soins de haut niveau, l’enseignement de qualité et la recherche médicale, le secteur de la santé s’est renforcé d’un hôpital de 120lits à El Hadjar et réceptionnera bientôt un centre anticancéreux pouvant recevoir jusqu’à 3000 malades par an.
Les Commentaires
A lire à Annaba: Un notaire véreux condamné à 50 années de prison "BRAVO" notre justice se réveille (QUI SERA LE SUIVANT) pas de pétié pour les corrompus, les tordus et les grands voleurs du peuple "EXEMPLE A SUIVRE".
A lire (LE BUTEUR)9/07/12.
Benabdellah ayant décidé de rencontrer le président Boudiaf a propos de ses arrières qu'il n'a pas touché le moindre salaire l'an dernier, a refusé de s'entrainer avec le reste du groupe (R.M).(c'est mal parti, avant le début de saison)?.
Béchard nommé adjoint de "Zerma".
Le nouveau président n'inspire pas confiance?...Il n'est pas clair?...Il s'était engagé?...De régler tous les salaires des joueurs?... et de l'ensemble du staf?...Affaire à suivre?...Parole d'homme?...En question?...Ou pas?...
Le premier responsable du club a accepté de les accompagner à la banque pour retirer leur dû, les joueurs ont tenu à poursuivre l'intégralité de l'entrainement.
Départ de D.D et l'arrivée d'Elie Baup à sa place ont réactivé la filière Algérienne à Marseille on dira que le nombre pourrait atteindre 6. On + A. hachoud, I.Slimani et F.Kadir dans le viseur de l'O.M.
Parceque tout simplement, il n'y aura pas de place pour l'abandon, pour le laisser-aller, pour la négligence, pour le non respect des lois etc... Tout le monde sera obligé de se mettre dans le rang. Si non c'est la sanction qui tombe. Une sanction qui est appliquée, à condition qu'elle soit juste, elle fait souvent mal. Et quand ca fait mal cela insitera les gens à réfléchir, à respecter toutes sortes de réglements et autres lois qui d'ailleurs concernerons nous tous sans exception. C'est justement là la grande différence qui existe entre nous et les pays où tout fonctionne à merveille, d'où notre immemse retard dans tout les domaines.
Icroyable mais vrai,de se laisse aller!!!
Et pourtant c'est assez simple de maintenir des locaux propre, mais voilà chez nous c'est comme ça, le manque de volonté cela est imprégné dans notre "ADN", rien n'a vraiment était entretenu depuis cinquante années comme tout le reste de la ville, le pourquoi? Je ne sait pas l'expliquer? C'est a croire que l'on se plait dans le bourbier, le mot "clean" est bani de notre esprit.
.Tant que les murs de notre mairie tiennent debout!!! hé bien il n'y a pas lieu d'urgence.
.On préfère être tranquille, après tout la mairie ne m'appartient pas?.
.Comme on le dit si bien chez nous "ce n'est pas mon affaire" et pourquoi je le ferais?.
.C'est la faute de nous tous, cela fait partie de notre mentalité.
.C'est le problème éternel, on préfère le dire entre voisins, alors que l'on pourrait simplement le signaler au membre de l'APC.
.De participer à leurs réunions.
.On pourrait faire signer une pétition pour réclamer plusieurs choses.
.Bien souvent il suffit d'un petit groupe pour demander a voir le président de l'APC.
.Et de lui demander à cet abruti que les mur vont s'écrouler sur lui.
.Mais non! voilà on préfère aller au café et de taper une partie de dominos.
Ou bien de rentrer chez soit pour prendre un verre de thé à la menthe en écoutant du malouf.
.Il y a tellement de choses a dire sur notre comportement.
Et pourtant nos élus avant les élections nous ont promis monts et merveilles...Mais voilà les merveilles se sont envolées jusqu'aux prochaines élections.
"QUI POURRA DONNER LA BONNE SOLUTION RADICALE" IL Y A T-IL VRAIMENT UNE????????????????????????????.
Nos élus briguent les postes , promette monde et merveille pour ne rien faire pour finir. Sans formation et sans couder franches les élus ne pourront rien faire . Un constat qui vaut pour toute l’Algérie ! ! ! !
Chez nous il y a bien plus grave de "de simple nids depoules".
"LES VICTIMES DE LA POLLUTION INDUSTRIELLE DE l'OUED SEYBOUSE".
Ali Halimi le président de l'ANPEP (Association Nationale pour la Protection de l'Environnement et la lutte contre la Polution)une équipe et un homme qui se bat au quotidien pour entamer des actions contre les principaux acteurs de la pollution des eaux du bassin de la Seybouse qui atteint la côte d'alerte, à la destruction avancée par les agents chimiques (l'huiles usagées et autres métaux lourds), ces déchets industriels solides et liquides ont massacrés la faunes et la flores, de nombreux fellahs crient aujourd'hui au secours pour sauver leurs bétails et produits agricoles, notamment en hiver avec les innondations, il y a péril en demeure car les eaux charrient des métaux lourds et huiles industrielles usagées potreurs de graves dangers...(K.L)...Alors les nids de poules ce n'est rien à côté!!!.
Nos élus briguent les postes , promette monde et merveille pour ne rien faire pour finir. Sans formation et sans couder franches les élus ne pourront rien faire . Un constat qui vaut pour toute l’Algérie ! ! !
cher ami,
je partage tout ce que tu viens de dire. Si on parle de nids de poules ce n’est pas pour rien. C’est un départ pour amener les citoyens à réfléchir sur les avenir et le bien être des générations futur.
Envoyer une entreprise devant un tribunal pour les agissements illégaux , n’est pas un problème pour moi.
Pour l’environnement, j’ai signé la pétition contre la traversé du parc naturel de la Cale par l’autoroute..
Je suis militant pour la défonce de l’environnement aussi. Le débat reste pour moi très important.