Les championnats arabes de tennis des 16-18 ans (filles et garçons) débuteront vendredi prochain à Annaba et se poursuivront jusqu'au 1er septembre au Centre fédéral de formation des jeunes talents sportifs, a-t-on appris auprès de la Direction de la jeunesse et des sports (DJS).
Les préparatifs pour ces joutes sportives arabes vont bon train, a précisé la même source, soulignant que la ville de Annaba dispose des infrastructures nécessaires pour abriter de tels événements ainsi qu'une riche expérience dans le domaine de l'accueil et de l'organisation de ce type de rendez-vous internationaux.
Une autre compétition de tennis, à savoir un tournoi international junior (ITF juniors grade 5), est prévue du 4 au 8 septembre prochain au centre des jeunes talents sportifs de Annaba, a-t-on également révélé à la DJS. Initié par la section tennis du club Hamra Annaba, en collaboration avec la Fédération algérienne de tennis et les Assemblées populaires et de wilaya (APC-APW) d'Annaba, ce tournoi va permettre aux athlètes algériens d'évaluer leur niveau de progression dans la discipline et de jauger leurs capacités par rapport aux tennismen et tenniswomen de leur catégorie, ont soutenu les organisateurs.
Le Centre fédéral de formation des jeunes talents de tennis (Cfft) d'Annaba, inauguré en mai 2010, comprend une douzaine de courts en terre battue, des blocs administratifs, un restaurant et plusieurs salles de cours.
Les Commentaires
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Thématique : Patrimoine militaire
La Consulaire
Adresse : Rue de la porte, Brest, France
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Cette pièce de canon était autrefois braquée vers l'entrée du port d'Alger. Elle doit son nom actuel au père Levacher, missionnaire et consul de France auprès du dey en 1682, qui, ayant échoué dans sa tentative pour faire cesser le bombardement de la ville par la flotte française commandée par Duquesne (1610-1688), fut attaché à la bouche de la pièce et son corps propulsé par le boulet en direction de l'escadre française mouillée au large. Pris en 1830 lors de la conquête d'Alger par l'amiral baron Duperré, le canon est expédié à Brest et dressé à son emplacement actuel le 27 juillet 1833.
Bonjour,
une suite à donner à cette affaire . l'Algerie reclame son bien à la france. une petition est mise sur le internet pour soutenir la revendication algerienne. je vous invite à prendre part à cette demande de notre pays pour la restitution de notre patrimoine.
« Jusqu’à preuve du contraire, Baba Merzoug reste à Brest ». C’est du moins ce que déclare Marc Gander, chargé de communication de la préfecture maritime au « Télégramme de Brest »: «Nous n’avons reçu aucune demande officielle concernant la Consulaire!» ajoute t-il.
Ce monument érigé sur la rive gauche de la Penfeld, à l’angle de la cale sèche située près de la porte Tourville, est un ancien canon d’Alger, baptisé du nom d’un grand personnage considéré comme le protecteur de la rade et de la ville d’Alger.
Cette pièce imposante, de 6,25m de long, a été réalisée par un fondeur vénitien en 1542. Sa portée de 4,8km, exceptionnelle pour l’époque, donne à Alger la réputation de citadelle imprenable. Alger la Blanche finit toutefois par tomber aux mains des Français et le redoutable Baba Merzoug est transporté à Brest, en 1830, par l’amiral Guy Duperré.
Même, si ce que tu relates est un fait historique en lien avec notre pays, il ne reste pas moins que le but et la mission d'Annabacity est d'abord et avant tout destiné à Annaba.
Alger bénéficie déjà de plusieurs sites, de plusieurs journaux, de beaucoup de gens qui la soutiennent et défendent sa cause en parlant de tout ce qui tient à cette ville de long en large à longeur de journée.
Il aurait été beaucoup plus pertinent, si tu racontais ou citer des faits historiques relatifs à notre ville, qui visent notre ville. Parcequ'ils ne sont pas très nombeux ceux qui mettent en relief ou en lumière notre chère ville Annaba. Même si en ce moment elle traverse des moments difficiles.
Bonjour,
La consulaire fait partie de notre patrimoine. Elle n’appartient pas à Alger uniquement. Il ne paraissait important que nos amis sachent que les forces de notre pays en 1980 à 1830 étaient puissantes.
Mais pour l’histoire , mon cher ami, je te signale que c’est à l’Edough (Annaba) que le denier lion algérien a été abattu . il est empaillé et exposé au musée des sciences naturelles de Lyon .