La connexion à Internet chez Algérie Télécom est virtuelle, ce qui est inédit à travers le monde, considérant les pannes perdurant touchant à la téléphonie fixe mais pas seulement.
En effet, tant que votre téléphone fixe est suspendu vous ne pouvez accéder à la toile et quand personne ne veut vous répondre au 12 ni prendre en considération votre réclamation pour vous réparer la ligne, cela n’empêche pas que vous payez votre connexion à Internet. Et pour certains, cela dure depuis six mois, comme pour ces dames qui se sont rapprochées de la rédaction de L’Est Républicain, afin de crier leur ras –le- bol de cette situation. Elles en sont maintenant à vouloir se plaindre auprès de la direction générale de cette entreprise dite publique qui se fait payer un service qu’elle n’assure pas, ce qui apparente l’opération à une escroquerie passible de poursuites judiciaires, dans le cas d’un autre opérateur mais dans un autre pays. Pour un autre usager dans le même cas, on lui avait dit que le problème n’était pas celui de l’entreprise mais propre à l’usager ; un technicien en informatique appelé pour ce problème a, quant à lui, constaté que c’était un problème de connexion lié directement à l’opérateur. Pour un autre, on lui avait dit de régler sa facture et sa connexion marcherait dans les deux jours, il attend depuis 5 mois. Les agents d’Algérie Télécom, surtout les responsables, n’ont-il pas conscience que ces problèmes, simples à régler partout ailleurs dans le monde sauf ici, portent préjudice à l’entreprise qui les fait manger et gravement ? Et que cela finira par leur porter préjudice à eux, d’autant que maintenant les usagers en sont arrivés à dire que leur connexion profite à d’autres, grâce à ces pannes qui tombent à pic ? Avec les moyens dont dispose Algérie Télécom qu’un opérateur privé ne peut se permettre et les déclarations pompeuses sur les TIC et autres projets grandioses, personne ne peut comprendre ce qui se passe ici et personne ne peut comprendre qu’une entreprise se fasse payer des services qu’elle n’assure pas. Trouvez vous-même le qualificatif de cette situation.
L'EST - 20/02/2013- A.N
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