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Annaba. ROND POINT DE LA PLACE AHCÈNE NOURI - Sens giratoire ou aire de stationnement ?

Publié le 13/08/2013
La place Ahcène Nouri (Ex- Maria Favre), est devenue une aire de stationnement, pour taxis légaux et clandestins. Cet important sens giratoire qui donne sur les principales artères commerciales du centre- ville, à savoir Souidani Boudjemaâ, Bouali Saïd, Boukhtouta Hocine, Larbi Tébessi, Zenine Larbi, Ibn Khaldoun et Okba Beni Nafaâ, est saturé du matin au soir, par un stationnement illégal et anarchique de véhicules. Cette situation prévaut depuis plusieurs mois, malgré la présence de policiers de faction ou motorisés. Les chauffeurs de taxis et les fraudeurs, semblant faire bon ménage, y garent souvent en quatrième position, génant considérablement la circulation dans les deux sens. Aussi bien à l’amorce de l’entrée des rues précitées ou à leur sortie. Pourtant, le stationnement autour de ce stratégique rondpoint, est strictement interdit. Le comble, c’est que les taxis légaux sont souvent remis à l’ordre, alors que les fraudeurs ne sont nullement inquiétés. Il y va de soi, que cette passivité et cette magnanimité dont font preuve nos policiers, à l’encontre des nombreux contrevenants, n’arrangent pas les choses en matière de régulation de la circulation. D’où l’encombrement et la pagaille que vivent les conducteurs à longueur de journée, et parfois même, jusqu’à une heure tardive de la soirée. Certes, si pendant le mois de Ramadhan et les deux jours de la fête de l’Aïd El Fitr, les hommes en bleu ont dû faire preuve de « clémence », il ne faudrait pas que cette situation anarchique perdure. D’autre part, le stationnement alternatif au niveau de la rue Ibn Khaldoun, n’est nullement respecté. Les véhicules légers et parfois des fourgons et des camions de livraison, occupent les deux côtés du macadam. A ce propos et jusqu’à preuve du contraire, un arrêté communal et de wilaya, interdit strictement, toute livraison de marchandises de quelque nature que ce soit et tout mouvement de camions au centre-ville, entre 7 heures et 19 heures. Or, les livraisons se font à toute heure de la journée et en tous lieux, y compris sur le Cours de la Révolution, lequel est devenu, lui également, un endroit de stationnement sur l’ensemble de son pourtour rectangulaire, au vu et au su des agents de l’ordre public en faction. Il y a lieu de signaler aussi, l’état lamentable de la rue en pente de 15% du quartier de l’Elysa. La chaussée est complètement déformée sur son côté droit dans le sens de la montée, par le déversement de béton des grosses cylindrées bétonnières. Cette rue stratégique, qui donne accès sur le CHU Ibn Rochd, Séraïdi et la Corniche par le boulevard Mohamed Seddik Benyahia, se doit d’être interdite aux poids lourds, particulièrement les camions à béton, qui la sillonnent à longueur de journée, pour approvisionner les nombreux chantiers de construction, situés en amont, soit au lieu dit Zaafrania supérieure. Alors qu’ils peuvent y accéder par le rond-point de Béni M’haffeur, donnant sur le lotissement de Djenen El-Bey.

L'EST - 13/08/2013 - Omar Touati
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