A voir l’état de la chaussée depuis la place du 19 Juin en allant jusqu’à la Sonelgaz, on ne peut que croire qu’il y a encore une pénurie de bitume puisque depuis la fin des travaux sur le réseau d’assainissement et de l’eau potable, à ce niveau, cette grande tranchée n’a été que recouverte de terre et de gravats. Cela dure depuis des mois et semble partir pour perdurer alors que l’été finissant, c’est une promesse de boue et de risques pour les piétons ainsi que pour les conducteurs de véhicules, obligés d’éviter cette fondrière. Comment peut-on être aussi négligent dans la gestion d’une ville supposée être la 4ème du pays et d’un pays qui ne manque pas de moyens ? Et si on insiste, on va apprendre qu’il y a un programme de travaux, que la procédure est en cours, que tout sera remis en ordre au plus tôt et que personne n’est fautif. Ce qui est pourtant étonnant et que personne n’explique, ce sont justement ces travaux tronqués, toujours inachevés et qui, de ce fait justement, coûtent plus cher parce que par partie et parfois, par ce genre de négligence, à refaire carrément. En effet, du moment que la réfection de cette partie des réseaux avait eu lieu et les essais obligatoires concluants, qu’est-ce qui empêchait de terminer ces travaux en bitumant ? Et ce défaut a la vie dure, il n’y a pas, à la connaissance d’Annabi, une tranchée ouverte et sitôt les travaux terminés bitumée alors que c’est une obligation.
L'EST - 10/09/2013 - Ammar Nadir
Les Commentaires
merci boutef