Les souscripteurs du projet de 20 logements socio-participatifs à la cité du 8 Mars, à l’arrêt depuis 8 ans, ne savent plus à quelle porte frapper. Leur attente perdure et se répercute négativement sur leur quotidien. Ils souffrent le martyre en raison de l’arrêt du projet transformé, selon eux, en un lieu de débauche par des délinquants et dépravés. Malgré les multiples actions engagées par les 20 attributaires, auprès des autorités locales et le maitre d’ouvrage, en l’occurrence Logis Annabi du groupe Grepco, rien n’a été fait en vue de résoudre le problème et relancer le projet de logements, s’indignent-ils. les plaignants subissent ainsi d’énormes préjudices et trouvent l’arrêt des travaux inexplicable d’autant plus que 2 permis de construire ont été délivrés par l’APC. Compte tenu de cette situation, les souscripteurs n’ont d’alternative pour régler leur problème que d’organiser des mouvements de protestation et de transmettre des requêtes aux pouvoirs publics. Mais en vain. Il y a lieu de noter que les attributaires du projet, lancé en 2006, ont procédé au versement du premier apport individuel dans l’espoir de réceptionner leurs logements dans un délai de 12 mois. Mais à leur grande surprise, les travaux ont été arrêtés sur décision de la DUC au motif de la présence d’une station service (PGL) juste à côté du chantier, ce qui représente un risque majeur pour tout un chacun. Les plaignants s’interrogent de ce fait sur la qualité des études faites par le bureau d’études désigné avant le lancement du projet et n’ayant pas indiqué d’entraves.
L'EST - 22/09/2013 - Toufik Ouazaa
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