Partant du principe que la congestion urbaine et la circulation de plus en plus difficile à Annaba, ne font que l’objet de discussions informelles et sans réelles solutions, la commission de la circulation de l’APW, selon son président, a décidé de formaliser le sujet par une journée d’étude avec la participation de l’ensemble des concernés, aussi bien les simples citoyens que les représentants des transporteurs et des auto-écoles ainsi qu’élus, directeurs de l’exécutif de wilaya, la sûreté, etc. Aussi chacun était appelé à donner son avis sur la situation actuelle et plusieurs ateliers avaient été prévus afin de sortir avec des recommandations qui pourraient réduire, un tant soit peu, la tension en matière d’encombrement pour le court terme, si l’on considère qu’il ne reste plus longtemps pour le démarrage de la saison estivale, avec une circulation encore plus importante mais aussi à long terme. Pour autant, les problèmes à l’origine de la situation actuelle de congestion urbaine sont connus, un parc automobile de plus de 168 000 véhicule immatriculés à Annaba en 2013, selon les services de la sûreté auquel il faut rajouter quotidiennement des milliers d’autres véhicules venant d’ailleurs, des voies de circulation inadaptées à ce volume, les travaux sur la voirie, l’absence de parkings, etc. Pour l’exemple on peut citer le rond point de Pont Blanc, énorme et par cela même participe à bloquer la circulation à ce niveau ; sa réduction va permettre de fluidifier grandement la circulation pour le court terme et un projet en cours, d’une voie aérienne à ce même niveau, permettra de régler ce problème de circulation définitivement à long terme. C’est le cas aussi avec la trémie du boulevard Bouali Saïd fermée à la circulation actuellement et de ce fait motif de la congestion à ce niveau, de Sidi Brahim jusqu’au rond point d’El Hattab. Autre motif de congestion, les commerces de gros et de matériaux de construction dont les fournisseurs ou les clients sont obligés d’encombrer la chaussée à toute heure de la journée. Les commerces de fournitures et les petits ateliers ne peuvent continuer à être maintenus dans le tissu urbain, d’ailleurs une loi existe qui préconise leur installation dans les zones commerciales ou industrielles, selon le cas. Bref, le sujet est d’actualité et l’APW innove, en ce sens que c’est la première journée d’étude que cette institution organise sur un sujet sensible, où chaque concerné va apporter ses suggestions, à charge seulement de les appliquer au plus vite, si elles apportent des solutions à une situation de plus en plus compliquée chaque jour.
lestrepublicain.com - 27 février 2014 - Ammar Nadir
Les Commentaires
Voir cette photo, on est obligé de rire, c'est bien chez nous, le sens giratoire "Rabi jib", pourquoi tourner tous dans le même sens! il faut faire au plus court! tu vas comme tu veux et ou tu veux, a droite ou à gauche c'est pareil! du moment que ça passe et ça roule c'est le principal, le reste on s'en fout! je suis plié de rire.
"Les comiques de la politiques"
Lire "El Watan" du 27/02/14 de (Djamel Alilat). Il promettent de faire refleurir le désert...
Le candidat au pantacourt.
Pourquoi ne pas faire concurrencer l'Allemagne?.
La providence m'appelle.
Le candidat-rappeur.
Le visionneur incompris
Tu cliques sur la rubrique "presse", et de nouveau "El Watan" et en bas de la page à gauche tu clique sur "Magazine" (les comiques de la politique) des candidats plus au moins givrés...tu trouveras leurs noms...(un vendeur de légumes), (un magasinier),(un au physique de catcheur), (un rêveur),(un rapeur)+(un maitre du one man show) ne te fâche pas ghozlene c'est juste pour rire, c'est bon pour le moral.