C’est au sein de l’école qui porte le nom de ce valeureux chahid Rizzi Amor, assassiné en plein tribunal de Annaba, par un pied noir, lui-même abattu le lendemain même par le regretté Tamerabet Abdelkrim, un jeune fiddai et un virtuose du football local qu’a été rendu un hommage à sa famille.
Bariza son épouse et Wided étaient présentes à la table d’honneur aux côtés du président de l’Association Ouafa, et du directeur de wilaya des anciens moudjahidine. Des élèves ainsi que leurs familles étaient présents dans la salle de classe aménagée pour la circonstance.
Après avoir écouté l’hymne national « Kassamen », l’assistance a eu droit à poème lu à la mémoire des martyrs de la révolution, suivi par une chorale qui avait entonné « Ya chahid » et « Ya Watani ».
Le président de Ouafa a ensuite donné une conférence magistrale sur les différentes étapes de la guerre d’Algérie qui ont abouti à l’indépendance, arrachée après 7 ans et demi de lutte et la perte de 1 million et demi de martyrs. Ensuite, ce sont de gracieuses fillettes qui entament un ballet chorégraphique qui enchante l’assistance.
La manifestation s’inscrit dans le sillage des efforts que consent l’association pour faire connaitre l’histoire de la révolution dans les établissements scolaires. Le musée qui se trouve au premier étage du Palais de la Culture est un vrai sanctuaire que beaucoup de citoyens gagneraient à le visiter.
Les Commentaires
Pourqui ne connaît pas Rizi Amor : Cette Homme est l’oncle de notre perle de la petite reine Hammoudi Hamid qui a fait les beaux jours de la piste du vélodrome du stade CHABOU dans les années 60/70 . Quand à notre ami abdelkrim Tamerabet, il n’est ni plus ni moins que le joueur qui a fait aussi les beaux jours de la JBAC aux cotes des Akacha et benchikh et Bey.. Des perles à cette époque, quand ils jouaient ensemble, ils font le bonheur de tous. L’histoire de l’assassinat de celui qui a tué Rizi aux pieds des marches du palais. Elle m’a été racontée par Tamerabet lui même à Seraidi. l’assassin de Rizi était sont dirigeant au club à la JBAC . il m’avait dit que s’était lui qui a vengé Rizi Amor et le dimanche il a fait une minute de silence pour ce dernier sur le stade. Il a été choisi pour cette mission car il avait l’estime des colonset que personne ne pouvait le soupçonner dans le milieu football de la ville de bône de commaitre un tel acte. Dommage qu’aucun lieu ne porte le nom de Notre frère TAMRABET dans cette ville. Les martyres de cette ville sont quasiment mis dans les oubliettes. Personne ne pense à leur rendre le mérite qui leur revient. Tous les endroit prestigieux de Annaba, hélas portent les nom d’illustres d’inconnus à cette ville. Comme si les gens de cette ville n’ont rien fait pour l’indépendance de ce pays. Je demande que les autorités locales de cette ville pensent à donner à nos rues , à nos aux places et enfin à nos salles de sport et de spectacles les noms de tous les martyres enterrés au cimetière des chouhadas de Annaba (voir le cimetière de Seraidi). Car c’est là ou sont enterrés les martyres de cette ville (quelques uns comme Zizi et Calombo de la rue murat à sidi bouhdide et zaghoune comme abdelkrim Souici qui a fait les beaux temps de la fédération de France et d’autres). C’est un honneur pour la ville de reconnaître ses enfants.
J’espère que notre maire lira notre rubrique ou qu’une autre personne lui transmettra l’information. réagira-il à notre suggestion peut être et rendre justice à nos concitoyens qui nous ont offert la liberté par leur sacrifice
Oui CHICHA ça me dit quelque chose. il etait plus vieux que moi mais je le connais phisiquement et je me rappel de lui , un enfant de la place d'arme mais à l'epoque chacun restait à sa place par respect.