Des lecteurs sont alarmés et craignent d’être mordus par les chiens errants dans pratiquement toutes les périphéries de la ville et même au centre de la ville tel que signalés auparavant au quartier des Santons. Ainsi, par exemple, les habitants de Boussedra sont dans l’obligation de s’armer de pierres ou de cannes pour se défendre devant des chiens devenus agressifs et vivant en bandes sauvages, s’attaquant à tout ce qui bouge. On a beau les pousser à s’éloigner, mais ils vous suivent de près dans l’intention visible de vous attaquer. Les fidèles qui veulent se rendre aux mosquées pour accomplir la première du « Fajr » ne peuvent plus le faire, obligés de prier à la maison avec tous les regrets de ne pas pouvoir le faire dans leur lieu de culte. Des campagnes d’éradication de cette race canine ont bien lieu de temps à autres du côté de la cité des hongrois et des confins de la plaine Ouest. Mais cela semble ne pas arriver à des résultats radicaux.A cela, il faut ajouter les troupeaux de vaches qui traînent dans certains quartiers renversant les bacs à ordures pour s’alimenter. Les cités Seybouse et de Sidi Salem offrent ce spectacle quotidien. Et quand elles ont fini de se restaurer, elles s’installent sur le sable de la plage pour certainement ruminer tout en « bronzant au soleil ».
lestrepublicain - 06 août 2014 - Ounissi Manel
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