Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/Annaba : Apres avoir subi le diktat des marchands informels Les ru...
Zone Membre
Publicités

Annaba : Apres avoir subi le diktat des marchands informels Les rues nettoyées de fond en comble

Publié le 27/09/2020
E R 23 Sep 2020 Annaba Apres avoir subi le diktat des marchands informels Les rues nettoyées de fond en comble/ « Depuis quelques semaines la rue a retrouvé son calme habituel, la circulation routière est devenue fluide et les piétons se mettent à emprunter le plus normalement du monde le trottoir grâce à la présence permanente des policiers avec leur panier à salade. Dans un passé récent, les vendeurs squattaient la chaussée et imposaient leur diktat au su et au vu tout le monde », a raconté un commerçant devant ses clients à propos de la situation du quartier où il exerce ses activités commerciales. Certes, les marchands ambulants de fruits et légumes qui ont occupé des mois durant, particulièrement le mois de Ramadhan, la voie publique dans différents quartiers de la ville des jujubes ont été délogés manu militari par les forces de l’ordre à la grande surprise des commerçants qui ont poussé un grand ouf de soulagement. Certaines artères situées en plein-centre-ville et réputées pour être célèbres en raison de leurs beaux magasins et boutiques ainsi que leurs belles bâtisses ne doivent pas faire office de marché à ciel ouvert. C’est une aberration ! Selon les dires de ce propriétaire de commerce, il aura fallu qu’une pétition soit adressée aux services compétents pour voir ces marchands quitter sans conditions la voie publique. Du matin au soir, les policiers en faction ne quittent pas les lieux, a-t-on constaté. Cependant, les rues, à l’exemple de Mouloud Bougandoura, Emir Abdelkader, Larbi Tébessi, Abdelhamid Ben Badis, Benamiour Abdelkader ont été défigurées comme une verrue sur la joue par la pratique de ce commerce de fortune par des marchands ambulants qui ont fait usage de leurs charrettes à bras stationnées d’une façon anarchique sur la voie publique. Aujourd’hui, ces rues qui retrouvent enfin leurs propriétaires habituels sont nettoyées de fond en comble grâce la présence des policiers interdisant toute vente sur la voie publique. Nejmedine Zéroug
« Actualité précédente
Faire le pied de grue devant un distributeur fâché
Actualité suivante »
Annaba Le directeur de la laiterie Edough et des cadres écroués

Les Commentaires

« Depuis quelques semaines la rue a retrouvé son calme habituel, la circulation routière est devenue fluide et les piétons se mettent à emprunter le plus normalement du monde le trottoir grâce à la présence permanente des policiers avec leur panier à salade. Dans un passé récent, les vendeurs squattaient la chaussée et imposaient leur diktat au su et au vu tout le monde », a raconté un commerçant devant ses clients à propos de la situation du quartier où il exerce ses activités commerciales. Certes, les marchands ambulants de fruits et légumes qui ont occupé des mois durant, particulièrement le mois de Ramadhan, la voie publique dans différents quartiers de la ville des jujubes ont été délogés manu militari par les forces de l’ordre à la grande surprise des commerçants qui ont poussé un grand ouf de soulagement. Certaines artères situées en plein-centre-ville et réputées pour être célèbres en raison de leurs beaux magasins et boutiques ainsi que leurs belles bâtisses ne doivent pas faire office de marché à ciel ouvert. C’est une aberration ! Selon les dires de ce propriétaire de commerce, il aura fallu qu’une pétition soit adressée aux services compétents pour voir ces marchands quitter sans conditions la voie publique. Du matin au soir, les policiers en faction ne quittent pas les lieux, a-t-on constaté. Cependant, les rues, à l’exemple de Mouloud Bougandoura, Emir Abdelkader, Larbi Tébessi, Abdelhamid Ben Badis, Benamiour Abdelkader ont été défigurées comme une verrue sur la joue par la pratique de ce commerce de fortune par des marchands ambulants qui ont fait usage de leurs charrettes à bras stationnées d’une façon anarchique sur la voie publique. Aujourd’hui, ces rues qui retrouvent enfin leurs propriétaires habituels sont nettoyées de fond en comble grâce la présence des policiers interdisant toute vente sur la voie publique.

Nejmedine Zéroug

"pour combien de temps"

Une des solution pour diminuer des marchands informels! il faut leurs trouver des emplois.

Ce n'est par leurs fautes! pour vivre ils débrouillent comme ils peuvent pour faire vivre leurs familles!. JE CONCLUS qu'heureusement il y a les marchés informels si non il n'y a plus que "EL HARGAS" si non quelle solutions qu'il faut trouver pour vivre?.

JE COMPREND pourquoi il y a toujours des harragas d'une part nos citoyens sont dégoutés à cause en premier de l'ancien gouvernement de voyous qui avait dévalisé la richesse du pays! ..............encore là qui peut répondre?.
Nos chômeurs sont près à mourir noyade pour aller à la recherche d'une vie meilleur!!!...c'est triste !.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires