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Logements ruraux La longue attente des habitants de Ain Barbar

Publié le 20/12/2021
Logements ruraux La longue attente des habitants de Ain Barbar
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Logements ruraux
La longue attente des habitants de Ain Barbar
19 Déc 2021 Annaba
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La longue attente des habitants de Ain Barbar
Victimes expiatoires de la décennie noire, les habitants de la localité d’Ain Barbar, dans la commune de Seraïdi, attendent depuis 2003, d’accéder à leurs habitations rurales, à défaut d’être concerné par le programme du logement social, à cause d’une faille dans le système, faille dans laquelle ils sont piégés depuis 17 ans maintenant. L’histoire remonte à 1997, lorsque les habitants de la localité d’Ain Barbar, sous la menace terroriste ont été déplacés temporairement dans des logements sociaux du chef-lieu de commune de Seraïdi. Une fois le danger écarté, en 2003, ils ont été invités à regagner leur localité, censée avoir été restaurée et entretenues, entretemps. En regagnant leurs demeures respectives, les habitants ont découvert des habitations dégradés, éprouvées par le temps et les intempéries, avec un semblant de travaux de restaurations inachevées. « Un coup de ciment par-ci, un trottoir incomplet par-là, les toitures partiellement arrachées ou effondrées, depuis 2003, aucun projet de restauration digne de ce nom n’a été entrepris ici, à vrai dire. Nous ne disposons même pas d’éclairage public, c’est tout dire », nous explique un doyen d’Ain Barbar. Ce dernier rappelle qu’entre 1997 et 2003, les habitants ont été inscrits dans un projet de construction de logements ruraux, et ce faisant, ils ont sans le vouloir vraiment renoncé à toute revendication au programme de logement social. Ledit projet de logement n’a cessé d’être reporté d’année en année, et ce, pendant plus d’une décennie. Le dernier report en date a été annoncé en 2015 par l’APC de Seraïdi, en l’absence d’un terrain d’assiette, un problème, qui est toujours en discussion par la commune mère avec la direction de la conservation des forêts. En attendant les habitants d’Ain Barbar, vivent dans des maisons auprès desquelles les habitations illicites de la plaine Ouest passeraient pour des cités résidentielles.

Sadouki Soufiane

Victimes expiatoires de la décennie noire, les habitants de la localité d’Ain Barbar, dans la commune de Seraïdi, attendent depuis 2003, d’accéder à leurs habitations rurales, à défaut d’être concerné par le programme du logement social, à cause d’une faille dans le système, faille dans laquelle ils sont piégés depuis 17 ans maintenant.
L’histoire remonte à 1997, lorsque les habitants de la localité d’Ain Barbar, sous la menace terroriste ont été déplacés temporairement dans des logements sociaux du chef-lieu de commune de Seraïdi.
Une fois le danger écarté, en 2003, ils ont été invités à regagner leur localité, censée avoir été restaurée et entretenues, entretemps.
En regagnant leurs demeures respectives, les habitants ont découvert des habitations dégradés, éprouvées par le temps et les intempéries, avec un semblant de travaux de restaurations inachevées.
« Un coup de ciment par-ci, un trottoir incomplet par-là, les toitures partiellement arrachées ou effondrées, depuis 2003, aucun projet de restauration digne de ce nom n’a été entrepris ici, à vrai dire.
Nous ne disposons même pas d’éclairage public, c’est tout dire », nous explique un doyen d’Ain Barbar.
Ce dernier rappelle qu’entre 1997 et 2003, les habitants ont été inscrits dans un projet de construction de logements ruraux, et ce faisant, ils ont sans le vouloir vraiment renoncé à toute revendication au programme de logement social.
Ledit projet de logement n’a cessé d’être reporté d’année en année, et ce, pendant plus d’une décennie.
Le dernier report en date a été annoncé en 2015 par l’APC de Seraïdi, en l’absence d’un terrain d’assiette, un problème, qui est toujours en discussion par la commune mère avec la direction de la conservation des forêts.
En attendant les habitants d’Ain Barbar, vivent dans des maisons auprès desquelles les habitations illicites de la plaine Ouest passeraient pour des cités résidentielles.
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TOUTE EST COMME CA?. IL N'Y A PLUS DE PILOTE DANS L'AVION?. OU VA T-ON Allah soubhanou alaàm.
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