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Né en 1938 en Sologne (Loiret) - Ingénieur Retraité
Appelé, pendant la Guerre d’Algérie
Affecté de juin 1961 à mars 1962 à la Villa Susini à Alger
Témoin de la Torture - Auteur de 2 livres témoignages sur cette période.
Auteur d’un livre fiction "Hamed, Sale fils de Français", parti d’un fait concret, dramatique.
Militant des droits de l’homme, antiraciste et anticolonialiste.
Mes témoignages / mon combat / mes actions / mes espoirs
- Un témoignage sur la torture pendant la Guerre d’Algérie
- Apporter ma contribution au travail de mémoire nécessaire sur une triste période de notre histoire et ses conséquences encore aujourd’hui.
- Participer au débat d’idées permettant le développement des actions nécessaires pour condamner la pratique de la torture, le colonialisme, les crimes contre l’humanité...
- Dénoncer le révisionnisme colonial aujourd’hui autour de la Guerre d’Algérie, la résurgence des idées selon lesquelles le colonialisme aurait pu être positif et de l’activisme de l’OAS soutenu par la connivence d’une partie de la droite à ces thèses extrémistes et xénophobes. en particulier la mise en cause des valeurs républicaines de la France à l’occasion des "honneurs" rendus aux activistes de l’OAS.
- Fédérer les actions pouvant aller dans ce sens.
La Villa SUSINI, un lieu Symbolique, d’un lourd passé
C’est dans cette Villa, à Alger, que je me suis retrouvé à effectuer la fin de mon service militaire, pendant la Guerre d’Algérie, de juin 1961 à mars 1962.
Ce lieu fut utilisé, pendant les 8 années de cette guerre, sans interruption, comme centre de torture.
La Villa Susini à Alger
Ces photos ont été prises au même endroit... dans le parc de la Villa Susini d’Alger, la première en 1961, la seconde en décembre 2001. Entre ces 40 années d’écart, l’homme a changé, les arbres ont poussé, mais la vue sur le port d’Alger est toujours aussi belle.
Des Espoirs
- Un traité d’amitié entre les peuples Algérien et Français sur des bases claires et réciproques du respect des droits de l’homme comme fil rouge.
- Une place retrouvée pour que la France puisse de nouveau revendiquer de porter le drapeau du pays des droits de l’homme.
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