Insécurité à Annaba
Des armes en vente libre… dans la rue
05 Juil 2022 Annaba
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Des armes en vente libre… dans la rue
Salah-Eddine
A Annaba, le décalage avec le temps est si prononcé, qu’il vaut mieux songer à remettre les pendules à l’heure. Des citoyens choqués, se demandent, en effet, comment on peut fermer les yeux sur le commerce, au grand jour, de marchandises prohibées, en l’occurrence les armes blanches proposées à la vente, en quantité telle qu’elles pourraient servir à armer des légions entières. Pour les habitants, cette situation vient révéler au grand jour la passivité flagrante, dont fait preuve la force publique à Annaba, du fait de son absence totale de discernement et de son laxisme, pour ne pas prendre les mesures qui s’imposent en pareille circonstance, à toute société. Aujourd’hui, l’attention du citoyen est attiré par la quantité et variété d’armes blanches digne de samouraïs, exposées par les vendeurs à la sauvette, depuis un certain temps sur les étals de fortunes, qui inondent le centre-ville. Les places publiques, les rues et les ruelles sont envahies par des vendeurs de tout bord, exposantà même le sol, divers outillages et matériels de boucherie, notamment des couteaux à crans-d’arrêts, des épées, de lourdes haches et autres armes dangereuses, qui ne devraient jamais être mises en vente dans de telles conditions. L’on ne peut s’empêcher de se poser la question, légitime, sur les conditions d’importation de ces armes, fabriquées en Chine. Comment a-t-on pu les laisser entrer sur notre territoire des produits réglementés et dont le port est prohibé ? Ces armes, à peine le mouton de l’Aïd, égorgé et ingurgité, deviendront des outils de terreur et de mort. Elles alimenteront les feux de la criminalité et du narco-terrorisme qui ravagent nos rues et notre jeunesse. Nous n’avons pu joindre aucun responsable habilité à répondre à nos interrogations pour l’heure. Nous reviendrons sur ce sujet dans nos prochaines éditions.
Les Commentaires
Des citoyens choqués, se demandent, en effet, comment on peut fermer les yeux sur le commerce, au grand jour, de marchandises prohibées, en l’occurrence les armes blanches proposées à la vente, en quantité telle qu’elles pourraient servir à armer des légions entières. Pour les habitants, cette situation vient révéler au grand jour la passivité flagrante, dont fait preuve la force publique à Annaba, du fait de son absence totale de discernement et de son laxisme, pour ne pas prendre les mesures qui s’imposent en pareille circonstance, à toute société.
Le terme « samouraï », mentionné pour la première fois dans un texte du xe siècle, vient du verbe saburau qui signifie « servir ». L'appellation est largement utilisée dans son sens actuel depuis le début de la période Edo, vers 1600. Auparavant, on désignait les guerriers plutôt par les termes mono no fu (jusqu'au viiie siècle), puis tsuwamono (強者?)1 ou bushi (武士?), qui peuvent l'un ou l'autre se traduire par « homme d'armes ».
Les guerriers sont souvent décrits comme des « Ebisu », c’est-à-dire des barbares dans le Dit des Heike. À partir de la période Edo, les termes bushi et samouraï ne sont pas tout à fait synonymes, il existe une différence subtile (voir l'article Bushi).
On trouve aussi parfois le terme buke : il désigne la noblesse militaire attachée au bakufu (gouvernement militaire), par opposition aux kuge, la noblesse de cour attachée à l'empereur. Les buke sont apparus durant l'ère Kamakura (1185-1333).
la coquette devient une ville "coupe gorge"....la capitale des "S A M O U R A I S".
Ma pauvre ville tu mérites d'être la plus renommée de l'Afrique entière! mais voilà! cette bande de vauriens ne t'on pas mériter!....on espérant qu'il y aura des jours meilleurs pour retrouver ta splendeur d'autre fois!.