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Ordre des lettres L'alphabet arabe ne suit plus l'ordre levantin des autres alphabets sémitiques, mais regro

Publié le 26/04/2023
Ordre des lettres L'alphabet arabe ne suit plus l'ordre levantin des autres alphabets sémitiques, mais regroupe les lettres en fonction de leur forme graphique, et pour une même forme de base, suivant le nombre ou la position des points. L'ordre levantin traditionnel ne se reflète plus que dans la valeur numérique des lettres, donnée ci-après. L'ordre à présent classique est l'ordre traditionnel oriental, celui donné dans le tableau ci-dessus : ء ('), ou ا (A), ب (b), ت (t), ث (F), puis ج (j), ح (H), خ (X), puis د (d), ذ (V), ر (r), ز (z), س (s), ش (C), ص (S), ض (D), ط (T), ظ (Z), ع (3), غ (R), puis ف (f), ق (q), ك (k), ل (l), م (m), ن (n), ه (h), و (w), ي (y). Il faut noter que bien qu'en tête de l'alphabet, le alif n'est pas à proprement parler une lettre à part entière, mais joue le rôle de signe de prolongation ou de support de hamza. Dans les dictionnaires, la première place est celle du hamza. Le Maghreb a longtemps suivi un ordre différent. En outre, dans l'alphabet arabe dit « occidental », la lettre fāʾ était écrite ڢ (au lieu de ف de l'alphabet oriental), tandis que qāf était représentée par ڧ (plutôt que ق) et le tracé des lettres était de plus sensiblement différent : ء ('), ou ا (A), ب (b), ت (t), ث (F), puis ج (j), ح (H), خ (X), puis د (d), ذ (V), ر (r), ز (z), ط (T), ظ (Z), ك (k), ل (l), م (m), ن (n), ص (S), ض (D), ع (3), غ (R), puis ڢ (f), ڧ (q), س (s), ش (C), ه (h), و (w), ي (y). De nos jours, les éditions maghrébines suivent les usages orientaux. Il faut noter pourtant qu'il existe toujours des publications du Coran en style andalou et maghrébin (occidental). L'ordre actuel de l'alphabet arabe ne concorde pas avec celui des autres écritures sémitiques. Celui-ci est cependant encore connu et désigné sous le nom d'abjad. On l'utilisait dans la numération au moyen de lettres au lieu de chiffres, notamment dans la pagination d'une préface. Dans sa séquence orientale, l'ordre coïncide avec celui de la valeur numérique de chaque lettre5. L'ordre Abjad n'est pas une simple continuation historique de l'ordre alphabétique sémitique du nord, car il a une position correspondant à la lettre araméenne samekh / semkat ס, dans la mesure où aucune lettre de l'alphabet arabe ne dérive historiquement de cette lettre. La perte de samekh a été compensée par la scission de shin ש en deux lettres arabes indépendantes, ش (shīn) et ﺱ (sīn), cette dernière ayant pris la place de samekh.
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Les Commentaires

pas de panique il faut commencer a dire
"bismilah" et tout vient doucement.
c'est a vous de choisir il n'y a pas d'age pour apprendre!.
Toujour commencer à dire "bismilahi rahmani rahimi" n'est pas peur il faut apprendre pas à pas.
MOI je ne suis pas enseignant mes j'ai mes deux certficats d'études arabe et français que j'ai eu à l'école Darmandy et à la medersa Boumarwan d'Annaba.
Alif et hamza
Dans cet alphabet arabe, trois lettres jouent un rôle particulier, l'alif, le waw et le ya. Ces trois lettres peuvent servir :

De signe de prolongation pour leur voyelle homologue (â pour le alif, û pour le waw, et î pour le ya), jouant alors de rôle de matres lectionis.
De support pour l'écriture d'une hamza diacritique.
Ces rôles viennent en plus du rôle de semi-voyelle tenu par le waw et le ya.

Alors que dans le principe toutes les lettres de l'alphabet arabe sont des consonnes et chaque consonne est représentée par une lettre, ce n'est pas le cas pour le alif et la hamza :

Le alif n'est pas une consonne mais un signe orthographique, dérivé de la lettre représentant la hamza dans les alphabets d'origine phénicienne.
Inversement, la hamza, bien que consonne à part entière, n'a pas de lettre propre et s'écrit (le cas échéant) avec un diacritique.
Article détaillé : Écriture de la hamza.
Quand elle est une lettre radicale, pour représenter une racine dans un dictionnaire, la hamza est toujours représentée par un support alif, et se trouve au début de l'ordre lexicographique ; c'est ce que l'on appelle un alif-hamza. C'est pour cette raison que la hamza est présentée en début d'alphabet dans le tableau ci-dessus, bien que ne faisant techniquement pas partie de la liste des lettres. Cependant, sa lettre de support peut varier suivant le schème appliqué à cette racine, ce qui peut conduire à la confondre avec un waw ou un ya.

Lorsque la hamza est en début de mot, sa lettre de support est toujours un alif, indépendamment de la voyelle effectivement portée. C'est pourquoi l’alif, pour les personnes qui n'ont pas étudié les principes, semble avoir toutes sortes de prononciations, alors qu'en réalité il n'est pas même une lettre, mais un simple support, ou bien le signe d'une contraction en A, ou de la prolongation d'un A bref6.

Autres lettres
tāʾ marbūṭa ة ــة h et t / Ø / h / ẗ [t], [h], Ø
ʾalif maqṣūra ى ــى ā / ỳ [(a)ː]
lām ʾalif لا ــلا lā [l(a)ː]
ʾalif maddah آ آ ā / â [aː]
Sources Unicode : Arabe 0600—06FF [archive] et formes B de présentation arabes [archive]
Tāʾ marbūṭa
Article détaillé : ة.
Historiquement, le ة tāʾ marbūṭa (« tāʾ bouclé ou lié») est un dérivé du ت tāʾ et non du ه hāʾ, d'où la présence des deux points suscrits. Il suffit de boucler un tāʾ pour obtenir un tāʾ marbūṭa. Il s'agit d'une consonne, à savoir un /t/ ; toutefois, elle ne se trouve qu'en fin de mot et elle est toujours précédée de la voyelle brève /a/ (qui n'est que rarement écrite). Le son /t/ n'est prononcé que si elle est précédée d'un alif (ا) ou si les voyelles casuelles finales qui suivent le ta le sont aussi, ou encore dans le cas d'une annexion (iḑāfa); or, ces voyelles sont souvent omises dans la prononciation courante. C'est pour cette raison qu'on indique, improprement, que cette lettre vaut [a(t)].

Le tāʾ marbūṭa a une valeur grammaticale en arabe : c'est souvent la désinence du féminin (pour les adjectifs, les substantifs, ainsi que pour la forme féminine des noms propres qui existent au masculin—par exemple: Samīr / Samīra). Cette lettre peut toutefois terminer des substantifs se référant à des entités clairement masculines, tels que calife (خليفة) ou commandant (dans ce cas, pour la forme plurielle : قائد ج قادة). Désinence finale de substantifs ou d'adjectifs, le tāʾ marbūṭa ne se retrouve donc jamais dans la conjugaison proprement dite des verbes arabes.

Un tāʾ marbūṭa se transforme en « tāʾ ṭāwila » (« long », donc « normal ») lorsque le nom est mis à la forme duelle ou lorsque le mot est suivi d'un morphème, tel que celui de la possession : طاولة - طاولتي (« ma table » ~ « table »)

Dans une prononciation soutenue, on fait entendre à la pause un [h] à la place du [t]. Le tāʾ marbūṭa est rarement transcrit quand il est muet ; seule la translittération en indique généralement la présence (voir plus bas à la section « Translittération »), mais les usages sont très fluctuants. Dans cette encyclopédie, le tāʾ marbūṭa sera noté par ʰ. Voir aussi plus bas à « Types de lecture » pour d'autres détails.

ʾAlif maqṣūra
Tout n'est pas encore au point mais je peux y arriver "Allah maàna".
A bientôt inch'Allah j'attend votre réponse?.
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