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Khaled Drareni interdit de quitter le territoire national Par Ania Boumaza 8 mai 2023 à 22:13 Le journaliste

Publié le 10/05/2023
Khaled Drareni interdit de quitter le territoire national Par Ania Boumaza 8 mai 2023 à 22:13 Le journaliste et ex-détenu d’opinion Khaled Drareni, a partagé via un tweet sur son compte Twitter, qu’il fait encore l’objet d’une interdiction de sortie du territoire nationale (ISTN), donc il ne peut pas quitter le territoire algérien. En effet, selon le tweet du journaliste de Reporters sans frontières (RSF), « une interdiction de sortie du territoire national (ISTN), l’a empêché d’aller à Madrid ce 8 mai pour recevoir le prix « Anoche tuve un seño » de la liberté de la presse qui m’a été décerné par l’organisation espagnole Committed optimists awards.» Dans ce même tweet, Khaled Drareni rappelle que la loi algérienne stipule qu’une ISTN a une durée de 3 mois, renouvelable une fois. Rappelant aussi qu’il avait fait objet de cette dernière en mars 2020, mais que cette ISTN continue d’être appliquée en mai 2023.
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Les Commentaires

La démocratie commence par la liberté de la presse!.

En attendant fabrique toi un habille de:
IRON MAN ! (rire) le plus sage il suffirait de demandait le retrait "ISTN" au président de la république un homme très compréhensible!.
Journée mondiale de la liberté de la presse : Tebboune disposé à accorder tous les moyens aux médias
06/05/2023 mis à jour: 08:40
A. Z.
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Photo : D. R.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné son entrevue périodique aux représentants des médias nationaux, et ce, en marge de la cérémonie qu'il a présidée mercredi à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif Rahal (Alger).

Lors de cette rencontre qui, selon l’APS, sera diffusée ultérieurement, le président Tebboune a affirmé sa disposition à «mettre tous les moyens à la disposition des titres de presse nationaux sans exception». A l’occasion, il a mis en exergue la nécessité pour les journalistes de s'organiser dans le cadre d'organisations syndicales. Le chef de l’Etat a également relevé l'importance de «faire preuve d'un haut sens de patriotisme dans la rédaction des articles et des critiques», qui doivent, a-t-il fait observer, servir l'intérêt national.

Dans le même cadre, le président de la République a fustigé l'acharnement de certaines organisations non gouvernementales (ONG) qui ne cessent de critiquer l'Algérie et de la classer parmi les pays ne respectant pas les libertés. Affirmant qu'il s'agit d’ «allégations non fondées», le chef de l'Etat a assuré que l'Algérie «croit en ses enfants». Certaines ONG, à l'instar de Reporters sans frontières (RSF), publient des «classements au gré de leurs dirigeants», a-t-il souligné, affirmant que le «seul classement à prendre en compte est celui de l'ONU et de ses institutions». La diversité des titres de presse disponibles en Algérie est comparable à celle qu'on retrouve dans les pays développés, a-t-il fait remarquer.

Durant la matinée de la même journée de mercredi, le président Tebboune avait présidé, au CIC Abdelatif Rahal (Alger), la cérémonie de célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse (3 Mai). Ont assisté à la cérémonie, le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali, le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, le président de la Cour constitutionnelle, Omar Belhadj, le chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), le général d'armée Saïd Chanegriha, des membres du gouvernement, de hauts cadres de l'Etat, des responsables d'établissements médiatiques, des journalistes, des membres du secteur de la Communication et les représentants de la presse étrangère accrédités en Algérie.

Parmi les invités figurait également le représentant de l’ONG Reporters sans frontières (RSF), Khaled Drareni, avec lequel le président Tebboune a eu un échange courtois. Dans une courte vidéo publiée sur son compte Twitter, Khaled Drareni a indiqué que le président de la République n’était pas opposé à la visite en Algérie du secrétaire général de RSF. Il a ajouté qu’il avait remis en main propre une lettre de son organisation au chef de l’Etat.

Il est à signaler que c’est la première fois que les autorités célèbrent la Journée mondiale de la liberté de la presse en présence de journalistes issus de tous les horizons. Au terme de la cérémonie, le président de la République a félicité les journalistes à l'occasion de leur Journée mondiale. Il a également échangé avec eux sur les préoccupations concernant le secteur de l'Information en Algérie. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a salué les différentes réformes en cours dans le secteur de la Communication et les efforts consentis par l'Etat pour le promouvoir, réaffirmant le soutien de l'Algérie aux luttes de tous les journalistes libres et de tous ceux épris de liberté dans le monde.
Liberté de la presse en Algérie : les messages de Tebboune
Culture, Médias, Technologies Par: Makhlouf Mehenni 04 Mai 2023 à 15:43
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Àl’instar des autres pays de la planète, l’Algérie a célébré la journée mondiale de la liberté de la presse, coïncidant avec le 3 mai de chaque année, dans un contexte difficile pour les médias.


Alors que l’état de la liberté de la presse dans le pays est jugé en net recul, avec notamment des journalistes qui sont passés par la case prison ou qui y sont toujours, plusieurs faits ayant émaillé la célébration de cette journée permettent d’entrevoir une possible prochaine ouverture.


Cette journée internationale a été célébrée par les autorités officielles, le président de la République en tête. Une première en Algérie. Depuis dix ans, c’est la journée nationale de la presse, le 28 octobre, qui était fêtée avec faste par les officiels.

La journée a été instituée en 2013 par l’ancien président de la République Abdelaziz Bouteflika comme un pied-de-nez aux ONG trop regardantes sur l’état des libertés dans le pays.

Cette année, Abdelmadjid Tebboune a rencontré la corporation au Centre international des conférences (CIC), dans une ambiance détendue, en présence de professionnels qu’on ne peut pas dire « triés sur le volet ».

Le plus emblématique est le journaliste Khaled Drareni, incarcéré entre mars 2020 et février 2021. Le représentant de RSF en Algérie et dans d’autres pays de la région a été arrêté alors qu’il couvrait une marche du Hirak à Alger et poursuivi pour « incitation à attroupement non armé et atteinte à l’intégrité du territoire national ».


Il a été condamné à trois ans de prison ferme, puis à deux ans en appel, avant de voir sa peine réduite après cassation à six mois de prison avec sursis. Il est même arrivé au président de le fustiger publiquement dans une de ses sorties télévisées.

Suscitant un immense élan de soutien tant en Algérie qu’à l’étranger, Khaled Drareni est devenu ces trois dernières années l’un des symboles de la lutte des journalistes algériens pour une liberté de la presse véritable et pour lever les restrictions sur les médias.


Crédit : Présidence de la République

Sa présence à la cérémonie du 3 mai est doublement significative, puisqu’il y a été convié en sa qualité de représentant pour le Maghreb de Reporters sans frontières (RSF), une ONG, comme beaucoup d’autres, pas toujours vue d’un bon œil des autorités algériennes.



Le fait est inédit pour ne pas être signalé. « C’est la première fois que RSF est représentée à ce genre de rencontre alors que les autorités ont toujours critiqué violemment RSF. J’espère que la suite sera positive », a indiqué Khaled Drareni sur les réseaux sociaux.

Médias : Tebboune exprime sa volonté d’ouvrir une « nouvelle page »


Le président de la République a aussi usé d’un ton nouveau dans sa discussion à bâtons rompus avec des représentants des médias publics et privés, dont TSA, où toutes les questions ont été posées, sans briefing ou sélection préalable.



Il a estimé que la place de l’Algérie dans le classement RSF 2023 ne reflétait pas la réalité de la liberté de la presse dans le pays, en affirmant que seuls les classements faits par l’ONU étaient valables.

Abdelmadjid Tebboune a convié la corporation à se prendre en charge et à s’organiser pour se doter d’un syndicat « fort » et d’un conseil d’éthique et de déontologie. Il a réitéré la nécessité pour l’Algérie de disposer d’une « presse forte » et a exprimé sa volonté d’ouvrir une « nouvelle page ».

Khaled Drareni a décrit un président « à l’écoute » et qui n’a pas été « violent » quand il a évoqué avec lui le cas du journaliste emprisonné Ihsane El Kadi.

voilà voilà pour te dire que le président a toujours était pour la liberté de la presse!...c'est un homme de dialogue!.
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