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La cité Kouba envahie par les chiens errants : Les habitants très inquiets La Rédaction by La Rédaction 13 aoû

Publié le 14/08/2023
La cité Kouba envahie par les chiens errants : Les habitants très inquiets La Rédaction by La Rédaction 13 août 2023in Annaba A A 0 0 SHARES 17 VIEWS Share on Facebook Share on Twitter Les chiens errants, ces derniers temps, posent un sérieux problème aux habitants de la cité, notamment ceux qui sortent tôt le matin, soit pour aller travailler ou pour aller à la mosquée pour accomplir la prière du » Fajr » parmi lesquels des personnes âgées. Depuis quelques jours, des chiens errants circulent en meute et en toute liberté au cœur même de la cité. Il faut reconnaitre que la prolifération de ces chiens, tient beaucoup des poubelles débordantes, malgré plusieurs ramassages quotidiens, qui attirent les chiens en quête de nourriture. Ecumant la cité à la recherche de nourriture et d’un refuge, après avoir été abandonnés par leurs maîtres, et à défaut d’être capturés et transférés dans un lieu adéquat où ils seraient pris en charge par les services de la commune, ces canidés se déplacent, en bandes, d’un quartier à un autre, constituant aussi bien une cible qu’un vecteur potentiel de maladies en l’absence de vaccination et de contrôle par les autorités compétentes. Cette situation fait peur aux parents notamment, qui s’inquiètent pour leurs enfants. En vacances, les petits jouent dehors parfois jusqu’à des heures tardives, la cité étant très passante en été. Il est évident que ces bêtes représentent un réel danger. En effet, la situation d’errance de l’animal va moins le familiariser avec l’humain. Ces chiens n’ont pas l’habitude d’être manipulés et approchés par l’humain, ce qui peut entraîner des réactions agressives par peur de l’homme. Ces animaux condamnés à vivre dans la rue après avoir été abandonnés par leur propriétaire se reproduisent, et leur population augmente de manière considérable. Les responsables locaux doivent impérativement assumer leurs responsabilités pour mettre en place des moyens de prévention plus efficaces. Par : R.C
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La cité Kouba envahie par les chiens errants : Les habitants très inquiets
La Rédaction by La Rédaction 13 août 2023in Annaba
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Les chiens errants, ces derniers temps, posent un sérieux problème aux habitants de la cité, notamment ceux qui sortent tôt le matin, soit pour aller travailler ou pour aller à la mosquée pour accomplir la prière du » Fajr » parmi lesquels des personnes âgées.



Depuis quelques jours, des chiens errants circulent en meute et en toute liberté au cœur même de la cité. Il faut reconnaitre que la prolifération de ces chiens, tient beaucoup des poubelles débordantes, malgré plusieurs ramassages quotidiens, qui attirent les chiens en quête de nourriture.

Ecumant la cité à la recherche de nourriture et d’un refuge, après avoir été abandonnés par leurs maîtres, et à défaut d’être capturés et transférés dans un lieu adéquat où ils seraient pris en charge par les services de la commune, ces canidés se déplacent, en bandes, d’un quartier à un autre, constituant aussi bien une cible qu’un vecteur potentiel de maladies en l’absence de vaccination et de contrôle par les autorités compétentes. Cette situation fait peur aux parents notamment, qui s’inquiètent pour leurs enfants. En vacances, les petits jouent dehors parfois jusqu’à des heures tardives, la cité étant très passante en été. Il est évident que ces bêtes représentent un réel danger. En effet, la situation d’errance de l’animal va moins le familiariser avec l’humain. Ces chiens n’ont pas l’habitude d’être manipulés et approchés par l’humain, ce qui peut entraîner des réactions agressives par peur de l’homme. Ces animaux condamnés à vivre dans la rue après avoir été abandonnés par leur propriétaire se reproduisent, et leur population augmente de manière considérable. Les responsables locaux doivent impérativement assumer leurs responsabilités pour mettre en place des moyens de prévention plus efficaces.

Par : R.C
Mais qu'a t on fait au bon Dieu pour mériter tous ça!

moustique, cafard, parkingeurs, chiens errants, prolifération des bidonvilles, insalubrité rampante, APC en vacances...une galère sans fin;;;MAIS OU VA TON dans ce merdier organisé!!!!!!!!!!!!!!!
pauvre de nous !pauvre coquette jadis tu étais une perle !un joyaux! un trésor...j'ai tout fait pour te protégée hélas pardonne moi tes habitants ne sont plus éduquer tu es trop belle pour eux...que Dieu nous vient en aide !!!!!!!!!
himaroun sarihoun fi jabaloun! c'est comme un âne on lui a donner une rose pour la sentir il l'a manger! tes vrais habitants sont partis pour d'autres horizons certains dans l'haut de là d'autres vers des pays lointains §§§§§§§§§§§
Victor HUGO
1802 - 1885
Oceano nox
Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne horizon se sont évanouis !
Combien ont disparu, dure et triste fortune !
Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,
Sous l'aveugle océan à jamais enfouis !

Combien de patrons morts avec leurs équipages !
L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages
Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots !
Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée.
Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ;
L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !

Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !
Vous roulez à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus.
Oh ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve,
Sont morts en attendant tous les jours sur la grève
Ceux qui ne sont pas revenus !

On s'entretient de vous parfois dans les veillées.
Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées,
Mêle encor quelque temps vos noms d'ombre couverts
Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures,
Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures,
Tandis que vous dormez dans les goémons verts !

On demande : - Où sont-ils ? sont-ils rois dans quelque île ?
Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? -
Puis votre souvenir même est enseveli.
Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire.
Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire,
Sur le sombre océan jette le sombre oubli.

Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue.
L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ?
Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur,
Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre,
Parlent encor de vous en remuant la cendre
De leur foyer et de leur coeur !

Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière,
Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre
Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond,
Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne,
Pas même la chanson naïve et monotone
Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !

Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ?
O flots, que vous savez de lugubres histoires !
Flots profonds redoutés des mères à genoux !
Vous vous les racontez en montant les marées,
Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées
Que vous avez le soir quand vous venez vers nous!
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