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2024 : l’espoir est permis, l’ambition n’est pas interdite Placeholder SLIMANE LAOUARI PUBLIÉ 02-01-2024, 11:0

Publié le 02/01/2024
2024 : l’espoir est permis, l’ambition n’est pas interdite Placeholder SLIMANE LAOUARI PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00 Comme il est dit dans la chanson, ça ne se voit pas mais on est en 2024. Plusieurs jours durant, nos têtes et nos corps resteront dans l’année d’avant mais on en guérira. On guérit rapidement quand le mal… est ailleurs. Il ne peut pas y avoir de changement dans les jours d’après. Notre vie restera sensiblement la même dans les jours à venir et ce n’est pas faire preuve de pessimisme que de le dire. Les gros problèmes ont leurs solutions, les maux profonds leurs thérapies et les retards abyssaux leurs chantiers. Mais ce sont des projets à faire aboutir, des chantiers à ouvrir et des convalescences à réinstaller dans l’effort. Beaucoup de choses tournent au ralenti. Il n’y a pas assez de signes de changement dans la vraie vie, il n’y a pas assez d’enthousiasme dans le geste. Il faut des… gestes forts et de l’audace dans l’entreprise. Il y a des choses à éclaircir parce qu’on ne l’a pas assez fait. On tente, on revient sur ses pas, on tergiverse, on repart sans détermination et parfois ça tourne court. Les voies du salut ne sont pas dégagées et les sentiers de demain encore encombrés. Les vieux démons ne sont jamais très loin et les démons tout court toujours dans les parages. Le changement, c’est quand, alors ? C’est peut-être déjà en cours, mais ça ne se voit pas beaucoup. Enfin, ça ne se voit pas toujours, ça ne se voit pas partout. Il faut que ça se voie là où ça devrait se voir le plus. Les malins vous diront qu’il faut frapper les esprits. Pas forcément mais il faut que ça bouge et ça ne bouge pas assez. Il faut que ça innove et on ne bouscule pas trop les vieilles certitudes. Les vieilles certitudes, il arrive même qu’on en fasse des panacées. Les mauvaises langues vous diront que le problème ne peut pas être la solution. C’est une autre… vieille certitude mais elle est toujours bonne, celle-là, puisqu’elle n’a pas encore été démentie. Partout où elle a été remise au goût du jour, ça n’a donné que ce que ça devait donner : le bide dans le cas le moins mauvais, la catastrophe dans le pire. Le moins mauvais n’est pas une fatalité, le pire beaucoup moins. Les grands destins ne se bâtissent pas à l’année. Les petits rendez-vous de calendriers sont utiles aux haltes de conjoncture et aux regards lointains. Nous sommes en 2024, on ne s’y est pas encore habitué mais ça va venir. L’espoir est permis, l’ambition n’est pas interdite. S. L. Placeholder SLIMANE LAOUARI PUBLIÉ 02-01-2024, 11:00
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