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La FAF ne voudrait pas se précipiter dans le choix du successeur de Djamel Belmadi Bougherra pour l’intérim, R

Publié le 19/02/2024
La FAF ne voudrait pas se précipiter dans le choix du successeur de Djamel Belmadi Bougherra pour l’intérim, Renard dès août prochain ? Placeholder MOHAMED BOUCHAMA PUBLIÉ 18-02-2024, 11:00 Alors que deux nouvelles rumeurs évoquent la possibilité de voir Madjid Bougherra désigné à la barre technique des Verts, le temps que… Hervé Renard soit disponible, ce que le «Magic» ignorerait, un membre de la Commission ad hoc donne un «indice» sur le principal critère retenu par la FAF de Walid Sadi. Cela apparaît comme la dernière solution retenue par la Fédération algérienne de football. Un entraîneur intérimaire, mais qui intégrerait ensuite le staff du prochain sélectionneur, pour que l’actuel entraîneur de la sélection féminine de France, Hervé Renard, soit promu dès septembre prochain à la tête de l’EN algérienne. Une première fois envisagée, avec l’option de l’actuel coach du MC Alger, Patrice Beaumelle, un ancien lieutenant de Hervé Renard, à qui la FAF voulait confier l’intérim le temps que le «Sorcier blanc» se libère de ses charges avec la FFF, cette solution semble la plus indiquée. Pour plusieurs raisons dont la principale demeure ce facteur temps qui ne milite pas pour l’installation d’un nouveau sélectionneur qui aura, lui aussi, besoin de temps pour découvrir l’ambiance générale de la sélection ainsi que le groupe avec lequel il va travailler. La méconnaissance du contexte où le prochain entraîneur de la sélection va évoluer est invoquée d’autant plus que les potentielles cibles ayant postulé à la charge de sélectionneur algérien ne sont plus intéressées ou que la FAF n’est pas convaincue qu’elles peuvent réussir le pari de redonner une envergure à l’équipe. Sans Queiroz ou encore son compatriote Peseiro qui disposent d’un certain vécu en Afrique noire, le reste des candidats alterne des profils d’entraîneurs en quête d’aventures nouvelles ou, pour certains, une transition dans leur carrière en passant de statut de coach de club à celui de sélectionneur. L’autre obstacle qui impose cette nouvelle orientation a trait à la situation contractuelle de l’entraîneur Djamel Belmadi, démis de ses fonctions sans que le contrat ne soit résilié. Mettre en place un staff par intérim comprendra certains risques que la FAF doit prendre. Il s’agit surtout de la préparation du tournoi international prévu le mois prochain en Algérie qui sera la dernière étape avant de retrouver la compétition officielle en juin prochain avec la réception de la Guinée et le déplacement en Ouganda (ou dans un autre pays si les stades de l’Ouganda ne sont pas homologués) comptant pour les qualifications (3e et 4e journées) à la Coupe du monde -2026. Un intérim que pourrait assumer, selon les dernières «rumeurs», Madjid Bougherra qu’il faudrait, d’abord, «libérer» de ses fonctions avec la formation du Qatar, Al-Merkhiya. Pour le moment, selon des sources sûres, l’ancien capitaine des Verts n’a pas été contacté. Difficile, par ailleurs, de savoir s’il accepterait l’offre sachant sa loyauté envers Djamel Belmadi qui était derrière sa venue à la barre technique de la sélection en tant qu’adjoint avant de devenir sélectionneur de l’EN A’. Le «Magic» dans l’embarras Sans préjuger de la suite que donnerait Bougherra à une éventuelle proposition de la FAF, il faut bien admettre qu’à l’heure actuelle, ce choix serait le plus judicieux. L’ancien sélectionneur des locaux a une certaine expérience en Afrique. En tant que joueur, puisqu’il a connu les stades du continent depuis qu’il était en sélection olympique en sus de ses 70 capes en A, et un peu moins comme entraîneur dans la mesure où sa mission s’est concentrée en Algérie avec des matchs amicaux dans des pays africains joués en Algérie ou bien dans les pays arabes (Qatar et Emirats arabes unis). Ce n’est donc pas totalement à l’aventure que le «Magic» va partir même s’il lui faudrait une certaine dose de réussite et de la bonne parole pour redynamiser un Club Algérie plus que jamais dans le doute après ses échecs à répétition. Quand l’argent vient à manquer… La solution Bougherra présente, par ailleurs, la particularité d’être la moins contraignante et surtout la moins coûteuse. Avec une situation financière au rouge, la FAF voudrait bien économiser six mois de salaires à offrir à un entraîneur qui n’aura à proprement parler qu’à gérer les deux matchs de juin (il viendra certainement en mars en observateur). Les émoluments de Madjid Bougherra ne pourront jamais dépasser ceux à offrir à Queiroz (130 000 euros et plus), Peseiro (90 000 euros et plus) ou bien à Petkovic (il touchait un salaire de 3,5 millions de francs suisses/an à Bordeaux et 1.5 million de Francs suisses/an quand il était sélectionneur de la Suisse en 2022). Une telle folie, la FAF ne peut pas la «commettre» : le membre de la Commission ad hoc Mohamed Maouche l’a d’ailleurs souligné lors d’une nouvelle sortie médiatique, vendredi au mess des officiers de Béni-Messous où il faisait partie des invités du COA qui fêtait son 60e anniversaire. L’ancien joueur de la glorieuse équipe du FLN, interrogé sur la question du prochain sélectionneur et de son profil, a répondu que «c’est l’argent qui définit les choix (..). Nous sommes là pour conseiller le président, mais c’est lui qui doit décider». Mohamed Maouche est-il dans le secret des dieux ? Lui qui, quelques jours auparavant, affirmait que «le temps n’est pas encore venu pour que Bougherra soit promu sélectionneur national». En vieux briscard, l’ex-footballeur du Stade de Reims a peut-être fait le dribble de trop mais sa vision et ses propos sont dignes d’intérêt. Maouche a certainement mesuré les difficultés de la FAF puisque lui-même était membre du BF durant le règne des trois précédents présidents de la FAF (Zetchi, Amara et Zefizef). Et dire que la FAF n’a pas d’argent pour payer un sélectionneur et son staff ne saurait être un « secret d’Etat » que l’ancien sélectionneur adjoint sous Rajkov, Rogov et Saâdane, a ébruité. C’est pourquoi, ces économies faites durant les six prochains mois, la FAF devra mobiliser de nouvelles ressources et s’offrir un Hervé Renard, libre de tout engagement à partir du mois d’août prochain et dont le salaire ne devrait pas dépasser le 1.1 million de dollars qu’il percevait quand il était sélectionneur de l’Arabie Saoudite. C’est-à-dire un salaire de 100.000 dollars auquel il faut certainement ajouter des primes et autres royalties liées à la performance de l’équipe mais aussi les frais de séjour en Algérie et les billets d’avion pour ses déplacements en famille. Cela reviendrait, en tout cas, moins cher qu’un Queiroz, Peseiro ou Petkovic, avec cette certitude que Renard connaît le contexte où il va exercer en Algérie et à travers le continent et que son palmarès est éloquent comparativement aux autres postulants. M. B. Placeholder MOHAMED BOUCHAMA PUBLIÉ 18-02-2024, 11:00
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La FAF ne voudrait pas se précipiter dans le choix du successeur de Djamel Belmadi
Bougherra pour l’intérim, Renard dès août prochain ?
Placeholder
MOHAMED BOUCHAMA
PUBLIÉ 18-02-2024, 11:00

Alors que deux nouvelles rumeurs évoquent la possibilité de voir Madjid Bougherra désigné à la barre technique des Verts, le temps que… Hervé Renard soit disponible, ce que le «Magic» ignorerait, un membre de la Commission ad hoc donne un «indice» sur le principal critère retenu par la FAF de Walid Sadi.
Cela apparaît comme la dernière solution retenue par la Fédération algérienne de football. Un entraîneur intérimaire, mais qui intégrerait ensuite le staff du prochain sélectionneur, pour que l’actuel entraîneur de la sélection féminine de France, Hervé Renard, soit promu dès septembre prochain à la tête de l’EN algérienne.
Une première fois envisagée, avec l’option de l’actuel coach du MC Alger, Patrice Beaumelle, un ancien lieutenant de Hervé Renard, à qui la FAF voulait confier l’intérim le temps que le «Sorcier blanc» se libère de ses charges avec la FFF, cette solution semble la plus indiquée.
Pour plusieurs raisons dont la principale demeure ce facteur temps qui ne milite pas pour l’installation d’un nouveau sélectionneur qui aura, lui aussi, besoin de temps pour découvrir l’ambiance générale de la sélection ainsi que le groupe avec lequel il va travailler. La méconnaissance du contexte où le prochain entraîneur de la sélection va évoluer est invoquée d’autant plus que les potentielles cibles ayant postulé à la charge de sélectionneur algérien ne sont plus intéressées ou que la FAF n’est pas convaincue qu’elles peuvent réussir le pari de redonner une envergure à l’équipe.
Sans Queiroz ou encore son compatriote Peseiro qui disposent d’un certain vécu en Afrique noire, le reste des candidats alterne des profils d’entraîneurs en quête d’aventures nouvelles ou, pour certains, une transition dans leur carrière en passant de statut de coach de club à celui de sélectionneur.
L’autre obstacle qui impose cette nouvelle orientation a trait à la situation contractuelle de l’entraîneur Djamel Belmadi, démis de ses fonctions sans que le contrat ne soit résilié.
Mettre en place un staff par intérim comprendra certains risques que la FAF doit prendre. Il s’agit surtout de la préparation du tournoi international prévu le mois prochain en Algérie qui sera la dernière étape avant de retrouver la compétition officielle en juin prochain avec la réception de la Guinée et le déplacement en Ouganda (ou dans un autre pays si les stades de l’Ouganda ne sont pas homologués) comptant pour les qualifications (3e et 4e journées) à la Coupe du monde -2026. Un intérim que pourrait assumer, selon les dernières «rumeurs», Madjid Bougherra qu’il faudrait, d’abord, «libérer» de ses fonctions avec la formation du Qatar, Al-Merkhiya. Pour le moment, selon des sources sûres, l’ancien capitaine des Verts n’a pas été contacté. Difficile, par ailleurs, de savoir s’il accepterait l’offre sachant sa loyauté envers Djamel Belmadi qui était derrière sa venue à la barre technique de la sélection en tant qu’adjoint avant de devenir sélectionneur de l’EN A’.

Le «Magic» dans l’embarras
Sans préjuger de la suite que donnerait Bougherra à une éventuelle proposition de la FAF, il faut bien admettre qu’à l’heure actuelle, ce choix serait le plus judicieux. L’ancien sélectionneur des locaux a une certaine expérience en Afrique. En tant que joueur, puisqu’il a connu les stades du continent depuis qu’il était en sélection olympique en sus de ses 70 capes en A, et un peu moins comme entraîneur dans la mesure où sa mission s’est concentrée en Algérie avec des matchs amicaux dans des pays africains joués en Algérie ou bien dans les pays arabes (Qatar et Emirats arabes unis). Ce n’est donc pas totalement à l’aventure que le «Magic» va partir même s’il lui faudrait une certaine dose de réussite et de la bonne parole pour redynamiser un Club Algérie plus que jamais dans le doute après ses échecs à répétition.
Quand l’argent vient à manquer…
La solution Bougherra présente, par ailleurs, la particularité d’être la moins contraignante et surtout la moins coûteuse. Avec une situation financière au rouge, la FAF voudrait bien économiser six mois de salaires à offrir à un entraîneur qui n’aura à proprement parler qu’à gérer les deux matchs de juin (il viendra certainement en mars en observateur).
Les émoluments de Madjid Bougherra ne pourront jamais dépasser ceux à offrir à Queiroz (130 000 euros et plus), Peseiro (90 000 euros et plus) ou bien à Petkovic (il touchait un salaire de 3,5 millions de francs suisses/an à Bordeaux et 1.5 million de Francs suisses/an quand il était sélectionneur de la Suisse en 2022).
Une telle folie, la FAF ne peut pas la «commettre» : le membre de la Commission ad hoc Mohamed Maouche l’a d’ailleurs souligné lors d’une nouvelle sortie médiatique, vendredi au mess des officiers de Béni-Messous où il faisait partie des invités du COA qui fêtait son 60e anniversaire. L’ancien joueur de la glorieuse équipe du FLN, interrogé sur la question du prochain sélectionneur et de son profil, a répondu que «c’est l’argent qui définit les choix (..). Nous sommes là pour conseiller le président, mais c’est lui qui doit décider».
Mohamed Maouche est-il dans le secret des dieux ? Lui qui, quelques jours auparavant, affirmait que «le temps n’est pas encore venu pour que Bougherra soit promu sélectionneur national». En vieux briscard, l’ex-footballeur du Stade de Reims a peut-être fait le dribble de trop mais sa vision et ses propos sont dignes d’intérêt.
Maouche a certainement mesuré les difficultés de la FAF puisque lui-même était membre du BF durant le règne des trois précédents présidents de la FAF (Zetchi, Amara et Zefizef). Et dire que la FAF n’a pas d’argent pour payer un sélectionneur et son staff ne saurait être un « secret d’Etat » que l’ancien sélectionneur adjoint sous Rajkov, Rogov et Saâdane, a ébruité.
C’est pourquoi, ces économies faites durant les six prochains mois, la FAF devra mobiliser de nouvelles ressources et s’offrir un Hervé Renard, libre de tout engagement à partir du mois d’août prochain et dont le salaire ne devrait pas dépasser le 1.1 million de dollars qu’il percevait quand il était sélectionneur de l’Arabie Saoudite. C’est-à-dire un salaire de 100.000 dollars auquel il faut certainement ajouter des primes et autres royalties liées à la performance de l’équipe mais aussi les frais de séjour en Algérie et les billets d’avion pour ses déplacements en famille. Cela reviendrait, en tout cas, moins cher qu’un Queiroz, Peseiro ou Petkovic, avec cette certitude que Renard connaît le contexte où il va exercer en Algérie et à travers le continent et que son palmarès est éloquent comparativement aux autres postulants.
M. B.

Placeholder
MOHAMED BOUCHAMA
PUBLIÉ 18-02-2024, 11:00
Nous ne voulons pas de Renard!

Nous voulons un coach A L G E R I E N et personne d'autre? Sadi c'est le peuple qui choisi ! SI NON ON TE MAUDIT A VIE!.
Laisser Djamel Belmadi finir son contrat!.

Magic à la tête des verts.

3e version remettre RABAH Madjer.
On préfère la place de 40e avec un Algérien ...grave ça dans ton crane ?.
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