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Las... dégâts, oui ! Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 21-04-2024, 11:00 La ville de Dubaï, surnommée la nouvell

Publié le 22/04/2024
Las... dégâts, oui ! Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 21-04-2024, 11:00 La ville de Dubaï, surnommée la nouvelle Las Vegas d'Orient, attire chaque année des millions de visiteurs en quête de luxe et de démesure. Cependant, derrière le faste et l'opulence se cachent parfois des réalités moins reluisantes, comme l'absence de réseaux d'assainissement. C'est ce sujet qu'a abordé hier Hakim Laâlam, mon frère et collègue, suscitant un débat sur cette problématique pourtant peu connue mais dont j'avais été informé, il y a longtemps, par une parente qui séjournait là-bas. Les explications avancées, telles que la nature du sol ou l'absence de pluies, m'avaient semblé bien légères et dérisoires pour justifier l'absence d'égouts sous une ville aussi moderne et développée que Dubaï. C'est comme si, demain, on décidait de ne pas construire des réseaux d'assainissement sous des villes comme Ouargla ou Adrar sous prétexte qu'il y pleut très rarement. De plus, il est surprenant de constater que dans de nombreux immeubles à Dubaï, il n'y a pas de gaz de ville, une énergie pourtant présente même dans les hameaux les plus reculés d'Algérie. Les solutions alternatives mises en place là-bas, comme l'évacuation des eaux usées vers d'immenses fosses septiques vidées par des camions ou la livraison rapide de bonbonnes de gaz par des travailleurs indiens ou pakistanais présents dans les supermarchés en bas des gratte-ciels, signifient que lorsqu'on peut éviter des investissements coûteux, pour quelques raisons que ce soit, on le fait sans réfléchir. Ça peut marcher un siècle et craquer en un jour ! La rentabilité capitalistique explique ces choix en contradiction avec les règles élémentaires de développement des cités urbaines. Sauf que l'architecte ou le politique qui a imposé ces choix n'a pas pensé aux pluies diluviennes parce que, dans sa tête, cette éventualité relevait de l'impossible. Et le jour où il pleut des cordes, les camions chargées de l'évacuation des eaux usées, sont emportés par... les eaux... rusées ! M. F. Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 21-04-2024, 11:00
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