Un détenu de la maison d’arrêt de Bouzaâroura est décédé, jeudi soir dans sa cellule, à la suite d’une crise d’asthme qui n’avait pas été soignée, du fait que le concerné n’avait pas déclaré sa maladie lors de son admission. C’est la seconde fois, ces dernières années, que des malades chroniques succombent en prison à la suite d’une crise, ce qui met en avant le problème de l’intervention rapide des services d’urgence dans les prisons.
Ces interventions sont d’autant plus inefficaces que ces maladies ne sont pas signalées au départ, alors qu’elles auraient pu être détectées lors des visites médicales subies par les détenus, comme l’on déclaré les membres de la famille du défunt. Ces derniers ont ajouté que leur fils n’avait que de rares crises d’asthme, et visiblement, il ne suivait pas un traitement de fond comme cela devrait être le cas. La police a ouvert une enquête sur cette affaire, afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame.
Liberté > 13/10/09 > Hafiza M
Les Commentaires
On c sent 1 peu impuissants face a ttes sortes d'abus, dont 1 bonne partie o kotidien.
Je me demandais si il etait possible de faire 1 coalition, ns le miserable peuple, sr internet -pr ex- ne + payer ns impots jsk'a c ke sonne le telephone chez le 1er ministre ou chez Boutef lui-mm, ou alrs ne + payer ns pv, enfin faire qlq chose car attendre ls prochaines elections pr voir Said Bokassa2, ntre future Empereur, ca fait loin...
Mais 1 otre kestion doit suivre. "Renverser" certes,... mais avc kel objectif ? Ke veut-on o jste?