Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/Ki Alilou ! Ki zouarou ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 25-04-2023...
Zone Membre
Publicités

Ki Alilou ! Ki zouarou ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 25-04-2023, 11:00 Agriculture ! Pourquoi la filière d

Publié le 26/04/2023
Ki Alilou ! Ki zouarou ! Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 25-04-2023, 11:00 Agriculture ! Pourquoi la filière de la tomate-cerise peine à décoller ? Parce que les Algériens sont comme ça. Ils n’aiment pas les hésitations. Tu choisis, khouya. C’est la tomate ! Ou la cerise ! Bien sûr que la vermine verdâtre Belhadj doit être mise hors d’état de nuire. Lui appliquer, par exemple, l’interdiction wilayale faite aux motos bruyantes de circuler la nuit dans la capitale. Et ne pas limiter cette interdiction à la seule nuit, l’étendre au jour pour la «tartaga», la mobylette toussoteuse et phtisique Belhadj. Ça, c’est un fait, et les citoyennes et citoyens dans leur grande majorité ont décidé de ne plus se taire, de ne plus rééditer le silence complice ou obligé ou apeuré des années 90, de demander aujourd’hui et maintenant, urgemment, la «désactivation» de ce virus qui se rêve plus ambulant, plus contagieux. Sauf que — avec moi, vous vous en doutiez sûrement, il y a souvent des «sauf que»— sauf que donc, dans ce dossier «Belhadj», y’a un truc qui est passé sous silence. Un machin dont on ne parle pas. Un segment qui semble comme honteux et qui est entouré d’une véritable chape de plomb. Un fait qui s’est produit et reproduit, donc fortement récurrent, durant le Ramadhan : les visiteurs du soir ! Eh ouais ! Ces «figures» du Hirak qui venaient toquer à la porte du Gnome, une boîte de sucreries sous le bras, s’asseoir dans son salon et boire le thé et ses paroles incendiaires et criminelles. Je veux bien qu’il faille en finir une bonne fois pour toutes avec les aboiements enragés de Belhadj, mais… et les chiots ? Les «portées démocrates» qui se bousculaient chez lui, assises en tailleur, parce que c’est «makrouh» les chaises et les tables, parce qu’il faut bien se mettre en dispositif «halka» chez le «Cheikh». Des pointures de l’«alternative démocratique» que l’on a voulu nous fourguer deux ans durant comme la panacée au régime Boutef, à la Içaba, à la «junte militaire féroce et sanguinaire», une «élite du salut public et civil» porteuse de la solution suprême et vertueuse, la Constituante ! Hadouk, wach ? Les visiteurs du soir, walou ? Ça passe «mourour el kiram» ? Ah non ! Leurs virées chez le pyromane de Bab-el-Oued sont forcément documentées, répertoriées et classées au rang de dossier sous le coude. Je propose alors de le lever, ce coude. Parce que perso, il n’est pas question que je revive les années de braise, les yeux baissés devant l’avancée verte, grise ou brune — donnez-lui la couleur que vous voulez — et la peur au ventre de sortir le matin sans savoir s’il y aura un retour le soir. Lala ! Aujourd’hui, face à Belhadj, face aux visiteurs du soir, sur chaque centimètre, combat ! Combat ! Et encore combat ! Kassaman aâdhaman que rien ne sera laissé sous le tapis. Le moindre grain devra être balayé. Le contraire signifierait à mes yeux «complicité». Ki Alilou ! Ki zouarou. Ces visiteurs du soir qui se rendaient en procession béate recueillir ses oracles venimeux. Désolé les amis chargés de notre sécurité, mais en 2023, j’ai le droit citoyen d’exiger la désactivation du pack, tout le pack, surtout les «accessoires et gadgets démocrates» qu’on nous vendait comme fortement présidentiables pendant le «Hirak». Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L. Placeholder HAKIM LAÂLAM PUBLIÉ 25-04-2023, 11:00
« Actualité précédente
Le sacré et le sacrilège par El-Houari Dilmi «Ce qui a toujours été sacré pour moi, selon l'éducation que j
Actualité suivante »
Visite du ministre des Transports à Annaba : Les autorités locales mises à rude épreuve La Rédaction by La Ré

Les Commentaires

Ki Alilou ! Ki zouarou !
Placeholder
HAKIM LAÂLAM
PUBLIÉ 25-04-2023, 11:00
Agriculture ! Pourquoi la filière de la tomate-cerise peine à décoller ? Parce que les Algériens sont comme ça. Ils n’aiment pas les hésitations. Tu choisis, khouya.

C’est la tomate ! Ou la cerise !

Bien sûr que la vermine verdâtre Belhadj doit être mise hors d’état de nuire. Lui appliquer, par exemple, l’interdiction wilayale faite aux motos bruyantes de circuler la nuit dans la capitale. Et ne pas limiter cette interdiction à la seule nuit, l’étendre au jour pour la «tartaga», la mobylette toussoteuse et phtisique Belhadj. Ça, c’est un fait, et les citoyennes et citoyens dans leur grande majorité ont décidé de ne plus se taire, de ne plus rééditer le silence complice ou obligé ou apeuré des années 90, de demander aujourd’hui et maintenant, urgemment, la «désactivation» de ce virus qui se rêve plus ambulant, plus contagieux. Sauf que — avec moi, vous vous en doutiez sûrement, il y a souvent des «sauf que»— sauf que donc, dans ce dossier «Belhadj», y’a un truc qui est passé sous silence. Un machin dont on ne parle pas. Un segment qui semble comme honteux et qui est entouré d’une véritable chape de plomb. Un fait qui s’est produit et reproduit, donc fortement récurrent, durant le Ramadhan : les visiteurs du soir ! Eh ouais ! Ces «figures» du Hirak qui venaient toquer à la porte du Gnome, une boîte de sucreries sous le bras, s’asseoir dans son salon et boire le thé et ses paroles incendiaires et criminelles. Je veux bien qu’il faille en finir une bonne fois pour toutes avec les aboiements enragés de Belhadj, mais… et les chiots ? Les «portées démocrates» qui se bousculaient chez lui, assises en tailleur, parce que c’est «makrouh» les chaises et les tables, parce qu’il faut bien se mettre en dispositif «halka» chez le «Cheikh». Des pointures de l’«alternative démocratique» que l’on a voulu nous fourguer deux ans durant comme la panacée au régime Boutef, à la Içaba, à la «junte militaire féroce et sanguinaire», une «élite du salut public et civil» porteuse de la solution suprême et vertueuse, la Constituante ! Hadouk, wach ? Les visiteurs du soir, walou ? Ça passe «mourour el kiram» ? Ah non ! Leurs virées chez le pyromane de Bab-el-Oued sont forcément documentées, répertoriées et classées au rang de dossier sous le coude. Je propose alors de le lever, ce coude. Parce que perso, il n’est pas question que je revive les années de braise, les yeux baissés devant l’avancée verte, grise ou brune — donnez-lui la couleur que vous voulez — et la peur au ventre de sortir le matin sans savoir s’il y aura un retour le soir. Lala ! Aujourd’hui, face à Belhadj, face aux visiteurs du soir, sur chaque centimètre, combat ! Combat ! Et encore combat ! Kassaman aâdhaman que rien ne sera laissé sous le tapis. Le moindre grain devra être balayé. Le contraire signifierait à mes yeux «complicité». Ki Alilou ! Ki zouarou. Ces visiteurs du soir qui se rendaient en procession béate recueillir ses oracles venimeux. Désolé les amis chargés de notre sécurité, mais en 2023, j’ai le droit citoyen d’exiger la désactivation du pack, tout le pack, surtout les «accessoires et gadgets démocrates» qu’on nous vendait comme fortement présidentiables pendant le «Hirak». Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.

Placeholder
HAKIM LAÂLAM
PUBLIÉ 25-04-2023, 11:00
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires