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Prolifération du moustique tigre : L’Institut Pasteur insiste sur le signalement La Rédaction by La Rédaction

Publié le 11/08/2023
Prolifération du moustique tigre : L’Institut Pasteur insiste sur le signalement La Rédaction by La Rédaction 9 août 2023in Santé A A 0 0 SHARES 8 VIEWS Share on Facebook Share on Twitter Pouvant transmettre à l’être humain des virus comme celui de la dengue, du chikungunya ou du Zika, le moustique tigre fait l’objet d’une surveillance par l’Institut Pasteur qui appelle les citoyens à le signaler. L’Institut Pasteur d’Algérie a émis un communiqué important à l’attention des citoyens concernant la présence du redoutable moustique tigre dans leurs quartiers. Cette annonce vise à encourager la collaboration de tous pour contrôler la propagation de ce nuisible. Elle insiste sur la nécessité de suivre des mesures préventives afin de réduire sa densité et d’éliminer ses larves. Afin de lutter contre les zones favorables à la reproduction du moustique tigre, il est primordial que les citoyens agissent de manière responsable. Les mesures à prendre sont simples et efficaces. Il faut avant toute chose éliminer les lieux où l’eau peut stagner, tels que les petits débris et les vieux pneus et même les soucoupes sous les pots de fleurs. Par ailleurs, il est primordial d’assurer un bon écoulement des eaux pluviales et des eaux usées en nettoyant régulièrement les gouttières et les canaux d’écoulement. Les réservoirs d’eau (citernes, bassins, etc.) doivent être couverts avec des moustiquaires ou un tissu léger. Pour prévenir la prolifération des moustiques adultes, quelques gestes simples peuvent faire la différence : élaguer les herbes hautes et les buissons, émonder les arbres, ramasser les fruits tombés et les déchets végétaux, entretenir soigneusement les jardins et enfin signaler la présence du moustique tigre. Comment signaler la présence de moustique tigre à l’Institut Pasteur ? Les citoyens peuvent également contribuer à la surveillance du moustique tigre en signalant sa présence sur les réseaux sociaux, Facebook ou Instagram. L’Institut Pasteur encourage les citoyens à envoyer des photos de piqûres notamment et préciser la localisation: commune, quartier… Le moustique tigre peut être vecteur de nombreux virus comme ceux de la dengue, du Zika ou du chikungunya. À ce jour, ces virus ne circulent pas activement en Algérie. Néanmoins, la survenue de cas secondaires dits « autochtones » (contractés sans voyage) peuvent se déclarer suite au retour de cas « importés ». Des personnes porteuses du virus en provenance de l’étranger peuvent en effet transmettre le virus à une autre personne à l’occasion d’une piqûre de moustique tigre. Comment savoir si j’ai été piqué par un moustique tigre ? La sensation de démangeaison se fait sentir rapidement et s’intensifie pendant plusieurs minutes après la piqûre. Elle provoque généralement un bouton ressemblant à une cloque un peu plate, comme une ampoule, de 5 millimètres à 2 centimètres de diamètre, un peu plus claire que la couleur de la peau, circulaire, avec un halo rouge pouvant s’élargir selon la réaction de la peau de certaines personnes. Le bouton est généralement dur, chaud et douloureux. La piqûre du moustique tigre gratte quasiment instantanément, puis les démangeaisons disparaissent. Elles peuvent néanmoins réapparaître pendant plusieurs jours en cas de variation de température (après une douche par exemple). Par : R.C
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Prolifération du moustique tigre : L’Institut Pasteur insiste sur le signalement
La Rédaction by La Rédaction 9 août 2023in Santé
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Pouvant transmettre à l’être humain des virus comme celui de la dengue, du chikungunya ou du Zika, le moustique tigre fait l’objet d’une surveillance par l’Institut Pasteur qui appelle les citoyens à le signaler.


L’Institut Pasteur d’Algérie a émis un communiqué important à l’attention des citoyens concernant la présence du redoutable moustique tigre dans leurs quartiers. Cette annonce vise à encourager la collaboration de tous pour contrôler la propagation de ce nuisible. Elle insiste sur la nécessité de suivre des mesures préventives afin de réduire sa densité et d’éliminer ses larves. Afin de lutter contre les zones favorables à la reproduction du moustique tigre, il est primordial que les citoyens agissent de manière responsable. Les mesures à prendre sont simples et efficaces. Il faut avant toute chose éliminer les lieux où l’eau peut stagner, tels que les petits débris et les vieux pneus et même les soucoupes sous les pots de fleurs. Par ailleurs, il est primordial d’assurer un bon écoulement des eaux pluviales et des eaux usées en nettoyant régulièrement les gouttières et les canaux d’écoulement. Les réservoirs d’eau (citernes, bassins, etc.) doivent être couverts avec des moustiquaires ou un tissu léger. Pour prévenir la prolifération des moustiques adultes, quelques gestes simples peuvent faire la différence : élaguer les herbes hautes et les buissons, émonder les arbres, ramasser les fruits tombés et les déchets végétaux, entretenir soigneusement les jardins et enfin signaler la présence du moustique tigre.

Comment signaler la présence de moustique tigre à l’Institut Pasteur ?

Les citoyens peuvent également contribuer à la surveillance du moustique tigre en signalant sa présence sur les réseaux sociaux, Facebook ou Instagram. L’Institut Pasteur encourage les citoyens à envoyer des photos de piqûres notamment et préciser la localisation: commune, quartier… Le moustique tigre peut être vecteur de nombreux virus comme ceux de la dengue, du Zika ou du chikungunya. À ce jour, ces virus ne circulent pas activement en Algérie. Néanmoins, la survenue de cas secondaires dits « autochtones » (contractés sans voyage) peuvent se déclarer suite au retour de cas « importés ». Des personnes porteuses du virus en provenance de l’étranger peuvent en effet transmettre le virus à une autre personne à l’occasion d’une piqûre de moustique tigre.

Comment savoir si j’ai été piqué par un moustique tigre ?
La sensation de démangeaison se fait sentir rapidement et s’intensifie pendant plusieurs minutes après la piqûre. Elle provoque généralement un bouton ressemblant à une cloque un peu plate, comme une ampoule, de 5 millimètres à 2 centimètres de diamètre, un peu plus claire que la couleur de la peau, circulaire, avec un halo rouge pouvant s’élargir selon la réaction de la peau de certaines personnes. Le bouton est généralement dur, chaud et douloureux. La piqûre du moustique tigre gratte quasiment instantanément, puis les démangeaisons disparaissent. Elles peuvent néanmoins réapparaître pendant plusieurs jours en cas de variation de température (après une douche par exemple).

Par : R.C



Prolifération du moustique tigre : L’Institut Pasteur insiste sur le signalement
La Rédaction by La Rédaction 9 août 2023in Santé
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L’Institut Pasteur d’Algérie a émis un communiqué important à l’attention des citoyens concernant la présence du redoutable moustique tigre dans leurs quartiers. Cette annonce vise à encourager la collaboration de tous pour contrôler la propagation de ce nuisible. Elle insiste sur la nécessité de suivre des mesures préventives afin de réduire sa densité et d’éliminer ses larves. Afin de lutter contre les zones favorables à la reproduction du moustique tigre, il est primordial que les citoyens agissent de manière responsable. Les mesures à prendre sont simples et efficaces. Il faut avant toute chose éliminer les lieux où l’eau peut stagner, tels que les petits débris et les vieux pneus et même les soucoupes sous les pots de fleurs. Par ailleurs, il est primordial d’assurer un bon écoulement des eaux pluviales et des eaux usées en nettoyant régulièrement les gouttières et les canaux d’écoulement. Les réservoirs d’eau (citernes, bassins, etc.) doivent être couverts avec des moustiquaires ou un tissu léger. Pour prévenir la prolifération des moustiques adultes, quelques gestes simples peuvent faire la différence : élaguer les herbes hautes et les buissons, émonder les arbres, ramasser les fruits tombés et les déchets végétaux, entretenir soigneusement les jardins et enfin signaler la présence du moustique tigre.

Comment signaler la présence de moustique tigre à l’Institut Pasteur ?

Les citoyens peuvent également contribuer à la surveillance du moustique tigre en signalant sa présence sur les réseaux sociaux, Facebook ou Instagram. L’Institut Pasteur encourage les citoyens à envoyer des photos de piqûres notamment et préciser la localisation: commune, quartier… Le moustique tigre peut être vecteur de nombreux virus comme ceux de la dengue, du Zika ou du chikungunya. À ce jour, ces virus ne circulent pas activement en Algérie. Néanmoins, la survenue de cas secondaires dits « autochtones » (contractés sans voyage) peuvent se déclarer suite au retour de cas « importés ». Des personnes porteuses du virus en provenance de l’étranger peuvent en effet transmettre le virus à une autre personne à l’occasion d’une piqûre de moustique tigre.

Comment savoir si j’ai été piqué par un moustique tigre ?
La sensation de démangeaison se fait sentir rapidement et s’intensifie pendant plusieurs minutes après la piqûre. Elle provoque généralement un bouton ressemblant à une cloque un peu plate, comme une ampoule, de 5 millimètres à 2 centimètres de diamètre, un peu plus claire que la couleur de la peau, circulaire, avec un halo rouge pouvant s’élargir selon la réaction de la peau de certaines personnes. Le bouton est généralement dur, chaud et douloureux. La piqûre du moustique tigre gratte quasiment instantanément, puis les démangeaisons disparaissent. Elles peuvent néanmoins réapparaître pendant plusieurs jours en cas de variation de température (après une douche par exemple).

Par : R.C







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