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Un café sans sucre par Abdou BENABBOU Selon une récente vraisemblance, le sucre ne sert pas seulement à adou

Publié le 15/08/2023
Un café sans sucre par Abdou BENABBOU Selon une récente vraisemblance, le sucre ne sert pas seulement à adoucir le café. Ces derniers jours, il est aussi utilisé pour mettre le feu au marché. Un autre gag malsain a été lancé dans le circuit commercial par des spéculateurs voraces et dégénérés pour embarrasser les consommateurs pas du tout dupés par une autre manœuvre d'incendiaires identifiés. La race des prédateurs n'admet sans doute pas que le pays se soit engagé à se vêtir sérieusement des habits d'un pays développé. Entreprendre et animer une perturbation des circuits des commerces au moment où le pays se lance dans de grandes réalisations dépasse l'entendement. Qualifier la rétention actuelle par certains manipulateurs de déraison est superflu car elle est sauvagerie. Elle n'est pas non plus inconscience mais une arme aiguisée contre la modestie financière des ménages pris en otage par de dangereux flibustiers. Est-ce à dire qu'une certaine vermine voudrait signifier à la population qu'elle ne mérite pas le progrès ? Avec franchise, Abdelmadjid Tebboune s'est offusqué ces derniers jours contre des sectes maléfiques qui n'ont de dieu que le gain mal acquis. Les pouvoirs publics ont fait ce qu'ils ont pu pour contrecarrer un mal corrosif qui met à mal la population. Certains se sont offusqués contre les lourdes peines pénales infligées à des spéculateurs attitrés. Dans d'autres pays, les punitions attribuées à des mis en cause dans des traîtrises similaires sont autrement plus lourdes et plus tranchantes. Après la saga de l'huile et des produits de premières nécessités, voilà celle du sucre qui obligerait les ménages à une nouvelle danse d'évidence programmée à la veille de la grande rentrée. Les contrôles démultipliés et la sévérité de la justice avec leur épée de Damoclès ne suffiront pas à annihiler les roublardises malsaines des rapaces si le consommateur se laisse entraîner de bonne grâce dans une fausse pénurie élaborée. Si le sucre est absent dans les étalages, il devra faire preuve de circonspection et se passer d'en mettre dans son café. Au lieu de se lancer encore une fois dans la ruée.
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Un café sans sucre
par Abdou BENABBOU


Selon une récente vraisemblance, le sucre ne sert pas seulement à adoucir le café. Ces derniers jours, il est aussi utilisé pour mettre le feu au marché. Un autre gag malsain a été lancé dans le circuit commercial par des spéculateurs voraces et dégénérés pour embarrasser les consommateurs pas du tout dupés par une autre manœuvre d'incendiaires identifiés. La race des prédateurs n'admet sans doute pas que le pays se soit engagé à se vêtir sérieusement des habits d'un pays développé. Entreprendre et animer une perturbation des circuits des commerces au moment où le pays se lance dans de grandes réalisations dépasse l'entendement.

Qualifier la rétention actuelle par certains manipulateurs de déraison est superflu car elle est sauvagerie. Elle n'est pas non plus inconscience mais une arme aiguisée contre la modestie financière des ménages pris en otage par de dangereux flibustiers. Est-ce à dire qu'une certaine vermine voudrait signifier à la population qu'elle ne mérite pas le progrès ?

Avec franchise, Abdelmadjid Tebboune s'est offusqué ces derniers jours contre des sectes maléfiques qui n'ont de dieu que le gain mal acquis. Les pouvoirs publics ont fait ce qu'ils ont pu pour contrecarrer un mal corrosif qui met à mal la population. Certains se sont offusqués contre les lourdes peines pénales infligées à des spéculateurs attitrés. Dans d'autres pays, les punitions attribuées à des mis en cause dans des traîtrises similaires sont autrement plus lourdes et plus tranchantes.

Après la saga de l'huile et des produits de premières nécessités, voilà celle du sucre qui obligerait les ménages à une nouvelle danse d'évidence programmée à la veille de la grande rentrée.

Les contrôles démultipliés et la sévérité de la justice avec leur épée de Damoclès ne suffiront pas à annihiler les roublardises malsaines des rapaces si le consommateur se laisse entraîner de bonne grâce dans une fausse pénurie élaborée. Si le sucre est absent dans les étalages, il devra faire preuve de circonspection et se passer d'en mettre dans son café. Au lieu de se lancer encore une fois dans la ruée.

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