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Salah Goudjil «Nous renouvelons notre soutien au Président» Le président du Conseil de la nation a réitéré so

Publié le 27/12/2023
Salah Goudjil «Nous renouvelons notre soutien au Président» Le président du Conseil de la nation a réitéré son soutien au chef de l’État. Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a réagi, hier, au discours prononcé, ce lundi, par le chef de l'État devant les deux chambres du Parlement. Le vieux Moudjahid a qualifié le discours du Président d' «homogène» et touchant divers secteurs. Relevant que c'est la première fois qu'un chef de l'État s'adresse au Parlement dans ses deux chambres, Goudjil a salué notamment «la préservation de la dimension sociale de l'État». Il a également mis en avant «les mesures prises pour le développement de l'action économique» du gouvernement. «Nous mesurons tous les pas franchis sous le président de la République pour mener l'Algérie à bon port et nous lui renouvelons tout notre soutien», a affirmé Salah Goudjil. Dans la matinée d'hier, Goudjil a présidé une réunion du bureau de la chambre haute élargie aux chefs de groupes parlementaires et aux présidents de commissions permanentes au lendemain de la session extraordinaire convoquée par le chef de l'État. Le bureau du Sénat a exprimé sa «satisfaction» quant au contenu du discours du premier magistrat du pays le qualifiant de «programme-document». Pour leur part, des partis politiques ont exprimé leur adhésion au discours du chef de l'État à l'occasion de la 4e année de son investiture. Le Rassemblement national démocratique (RND) s'est félicité de la «tradition politique» à travers le discours présidentiel à la nation prononcé devant les deux chambres du Parlement. Cette tradition politique «permet au peuple algérien de s'enquérir du bilan du Président depuis son accession au pouvoir», a indiqué le RND dans un communiqué. Ce dernier a mis en avant le renforcement des acquis sociaux par des mesures solides, à l'instar de la révision de la grille des salaires, l'exemption des personnes à faible revenu de l'impôt, l'institution d'une allocation chômage, la révision des statuts des différents secteurs de la fonction publique et la préservation du pouvoir d'achat des citoyens. De leur côté, les parlementaires du Mouvement El Bina ont salué, hier, la teneur du discours du président Tebboune, notamment «les messages importants véhiculés aux Algériens, définissant les priorités de l'Algérie dans cette nouvelle étape». Les représentants d'El Bina ont mis en avant «la symbolique de cette nouvelle tradition» qui consiste à s'adresser, en tant que premier responsable du pays, aux représentants du peuple. Amirouche YAZIDAmirouche YAZID 27-12-2023
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Les Commentaires

Algérie : Tebboune prépare le terrain de sa réélection, à un an de la présidentielle
Analyse Le président algérien vient de nommer un nouveau premier ministre, Ennadir Larbaoui, un diplomate chevronné chargé de valoriser le projet présidentiel en amont de l’élection de décembre 2024.

Treize mois pour convaincre. Appelé samedi 11 novembre par le président Abdelmadjid Tebboune pour devenir son nouveau premier ministre, Ennadir Larbaoui n’a pas perdu un instant pour plancher sur l’étape suivante : soumettre un « plan d’action » à l’Assemblée populaire nationale.

À 74 ans, cet homme de la garde rapprochée...

ça y est c'est reparti comme en 14/18 gamelles quatorze bidons...la présidence à vie! pour quoi ne pas faire directement une élection pour être élu toute la vie.
En démocratie tous les candidats doivent être dans un même pied d'égalité!.



















Consacré par la nouvelle Constitution

Un paysage institutionnel rénové
Des institutions ont vu le jour, pour une nouvelle Algérie, bien plus belle et plus attractive.


Dans son discours devant les représentants de la nation, le président de la République a rappelé cet arsenal législatif élaboré, en vue de «mettre le système juridique en conformité avec la nouvelle Constitution, installer les différentes instances nouvellement créées et oeuvrer pour l'émergence d'une nouvelle génération d'assemblées élue», a-t-il confié.
Il faut concéder au Président cette révolution qui a chamboulé le paysage institutionnel national, à travers le mise en place de nouvelles institutions à vocation diverse et multiple. Cette mise en conformité des institutions nationales avec les dispositions de la nouvelle Constitution de 2020, a fini par imposer un nouveau décor institutionnel. Le secteur de la justice a franchi un seuil remarquable dans la mise en oeuvre des réformes politiques engagées dans le pays. Tel aussi le cas pour le secteur de la jeunesse qui a vu les plus importants amendements et réformes, introduits et consacrés par la nouvelle Constitution de 2020.
La mise en place de la Cour constitutionnelle, qui vient remplacer le Conseil institutionnel, a permis d'élargir l'arsenal juridique de cette nouvelle instance et consacrer une meilleure prise en charge des problèmes poses, notammen,t les chevauchements de prérogatives, ainsi que les dénis de droits. En matière de lutte contre la corruption et de moralisation de la vie publique, le Président a ordonné la création de la Haute Autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, qui a eu un effet positif dans les milieux juridiques. Pour ce qui est de l'institution de nouvelles pratiques, en matière de démocratie participative et de bonne gouvernance, Tebboune a affiché sa volonté et sa disposition quant à impliquer de larges couches de la société dans les prises de décision, au plan local et national. C'est le cas de l'Observatoire de la société civile (Onsc) et du Conseil supérieur de la jeunesse, dont l'action commence à prendre forme sur le terrain et à donner ses premiers fruits.
La Constitution de 2020 a consacré «la mise en place d'institutions efficientes et crédibles, susceptibles de renforcer lÉEtat de droit, les droits de lHomme et la gouvernance participative pour un développement durable». Dans le domaine de l'économie, le Président peut se targuer d'avoir introduit de nouveaux instruments de gestion dans différents secteurs d'activités, à travers le renforcement de l'arsenal institutionnel. C'est le cas de l'Agence algérienne de promotion de l'investissement (Aapi), dont les attributions ont été renforcées et adaptées aux nouvelles normes internationales. Dans le secteur de la recherche et développement, la Constitution a également institué le Conseil national de la recherche scientifique et des technologies (Cnrst), placé sous l'autorité du président de la République. Une Académie algérienne des sciences et des technologies a également vu le jour avec de multiples vocations et prérogatives. Dans le secteur de l'agriculture, l'Office national de l'agriculture saharienne (Onas) a également contribué à valoriser l'agriculture saharienne et à encourager l'investissement dans ce domaine. D'autres institutions, non sans grande importance, ont également vu le jour consolidant le décor institutionnel vers une nouvelle Algérie, sacrément plus belle et plus attractive.

Mohamed OUANEZARMohamed OUANEZAR
00:00 | 27-12-2023
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Le premier ministre Ennadir Larbaoui grille toutes les étapes! tire plus vite que son ombre ?...ba ba ba ba ba
Surnom attribué à Lucky Luke!.
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