Diaspora algérienne : plus de 1.100 personnes attendues au congrès d’Alger Société Par: Ali Idir 29 Mars 2024

Bonjour Bônois à tous (rire)!.

Diaspora algérienne : plus de 1.100 personnes attendues au congrès d’Alger
Société Par: Ali Idir 29 Mars 2024 à 16:45
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Le Conseil mondial de la diaspora algérienne (CMDA) va organiser son congrès à Alger fin avril avec la participation de plus de 1.100 personnes venues de plusieurs pays.


La rencontre, prévue samedi 27 avril prochain dans la capitale algérienne, a été annoncée lors du lancement du CMDA vendredi 8 mars à Paris.

Ce soir-là, plus de 400 membres de la diaspora algérienne étaient présents dans la salle d’un grand parisien où les grandes lignes de l’action du CMDA ont été tracées par son président, le Franco-Algérien Karim Zéribi, ancien député européen.

« Les inscriptions au congrès d’Alger sont clôturées avec 800 inscrits de la diaspora algérienne. À cela, il faut 200 à 300 participants locaux pour un congrès à 1100 personnes ! C’est énorme », se félicite dans une déclaration à TSA Karim Zéribi, président du Conseil mondial de la diaspora algérienne.

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La rencontre de Paris le 8 mars a mis sur les rails le Conseil mondial de la diaspora algérienne qui a choisi la France où réside la plus importante communauté algérienne à l’étranger pour acter sa naissance.

Dans un contexte marqué par la montée de l’extrême-droite en Europe notamment en France, la diaspora algérienne montre son désir de s’organiser pour défendre ses intérêts.

Mais surtout elle répond positivement aux multiples appels lancés par le président Abdelmadjid Tebboune à la diaspora pour participer au développement du pays. À chaque visite dans un pays étranger, le président Tebboune n’a pas manqué de rencontrer les membres de la communauté algérienne pour « écouter leurs préoccupations » et connaître leurs « attentes ». Pour lui, ces rencontres traduisaient « l’impératif de les impliquer dans le processus économique et de développement du pays ».

Pour le Congrès mondial du CMDA à Alger, Karim Zéribi veut déjà passer au concret. « Il sera clairement tourné vers la dimension économique », explique-t-il, avec une participation des Algériens résidents du monde entier.

Diaspora algérienne : le Congrès d’Alger tourné vers la « dimension économique »

« Il y a plus de 800 congressistes inscrits auxquels vont s’ajouter environ 300 acteurs locaux », indique Karim Zéribi, en ajoutant que le congrès d’Alger va accueillir environ « 1.100 personnes venant de France, Espagne, Belgique, Irlande, Suède, Luxembourg, Suisse, Royaume-Uni, du Moyen-Orient, du Canada, des États-Unis, Jordanie et Corée du Sud ».


« C’est une représentation planétaire de la diaspora algérienne qui sera représentée le samedi 27 avril à Alger », note-t-il pour souligner le succès de l’opération et l’engouement des Algériens de l’étranger pour nouer ou renforcer les liens avec leur pays d’origine.

Pour le programme du Congrès de la diaspora algérienne à Alger, Karim Zéribi précise : « Il y aura au programme plusieurs tables rondes afin de comprendre l’écosystème économique algérien et d’intégrer les récentes évolutions législatives en matière d’investissement qui permettent à l’Algérie d’être beaucoup plus attractive aux yeux de celles et ceux qui veulent entreprendre et créer une activité économique. »



Il ajoute que le CMDA présentera également sa « démarche d’accompagnement des porteurs de projets de la diaspora avec l’officialisation d’un comptoir unique d’accueil, d’orientation et d’accompagnement. »


Lors de cette rencontre, une « table ronde sera également consacrée aux entreprises algériennes à l’export afin de mettre en relation la diaspora et les acteurs économiques algériens », détaille-t-il.

Les participants de la diaspora ne vont pas se déplacer à Alger les mains vides. En plus des idées et du savoir-faire qu’ils peuvent partager, « il y a plus de 100 porteurs de projets économiques identifiés à ce jour », affirme Karim Zéribi.

À Alger, une « séquence inédite de speed dating sera initiée afin que les porteurs de projets économiques de la diaspora puissent avoir une séance en face à face avec un expert économique, juridique ou financier algérien rattaché à la dynamique du CMDA », dévoile encore Karim Zéribi, en soulignant que cela « augure de belles perspectives de développement économique au service de l’Algérie nouvelle ! ».

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diaporama
nom masculin
1.
Spectacle de projection sonorisée de diapositives.
2.
Déroulement séquentiel d'images numérisées, géré par un logiciel.

Quel est le but d'un diaporama ?
Un diaporama est une succession de diapositives qui servira à accompagner votre exposé oral. Son but est d'intéresser un maximum votre auditoire et de rendre votre discours plus attractif et dynamique.

Comment s'appelle un diaporama ?
Un diaporama PowerPoint n'est autre que le nom donné à l'ensemble des slides qui composent votre présentation. Il s'agit concrètement de la projection de cette suite de diapositives, qui se succèdent automatiquement et laissent défiler les sons, vidéos et autres animations insérées.

Quel est la différence entre présentation et diaporama ?
de PréAO (présentation assistée par ordinateur) est généralement appelé un diaporama. Les “pages” qui se succèdent sur l'écran sont appelées diapositives. Le terme anglais de slides est très utilisé aujourd'hui.

Karim Zéribi, né le 25 septembre 1966 à Avignon, est un militant syndical et associatif, un homme politique et un chroniqueur français.

Il a été élu conseiller municipal à Avignon puis à Marseille, conseiller à la Métropole d'Aix-Marseille-Provence et, de 2012 à 2014, député européen de la circonscription Sud-Est.

j'ai beaucoup d'admiration pour Karim Zéribi j'irai bien le 27 avril à Alger mais voilà voyage/hôtel ?.

IL représente "l'image de l'Algérie Nouvelle" il mérite d'être suivi et compris?.

Le progrès : libérer les mentalités...
par Kamal Guerroua


Le monde arabe, disait le penseur syrien Bourhane Ghalioune, a moins besoin du parfum du paradis que d'un grand vent de liberté. Rechercher la liberté, sa liberté pour Ghalioune est un idéal sacré. Il s'agit en effet de fabriquer un véritable citoyen, en décolonisant l'esprit de ce dernier des résidus de la tutelle et de la dépendance coloniale. Un citoyen qui accepterait volontiers de sortir de son statut d'indigène à vie, pour réintégrer le cercle de sa propre citoyenneté, n'aura rien à craindre pour son progrès.

C'est vrai que ce n'est pas du tout une sinécure, mais il ne faut pas, tout de même, baisser les bras, en se rangeant parmi la cohorte des fatalistes! Il convient de faire, à cet égard, une révolution culturelle, de dépoussiérer les mentalités pour les libérer du prêt-à-porter conceptuel ou idéel importé directement, soit de l'Occident ou de l'Orient, de cesser d'être le reflet de l'autre au lieu d'être le reflet de soi-même. Vaste programme! Tout se passe dans la tête et rien qu'en se laissant s'inférioriser pour être accepté parmi ceux qui décident ou croient qu'on est inférieurs à eux, on subit déjà un échec moral. C'est-à-dire, on perd confiance en soi et on sera convaincu qu'on n'est absolument rien sans les autres. Et que, sans ces autres-là, notre survie même sera remise en question! Ainsi entre-t-on dans le nihilisme ou la négation de soi. Et c'est le début de ce que l'Allemand André-Gunder Frank, parlant des pays de l'Amérique Latine, appelle, à juste titre « le développement du sous-développement ». Autrement dit, le « sujet », parce qu'il n'est plus « citoyen », développe ses manques, ses maladies, ses pénuries, ses négligences, ses archaïsmes, sa bureaucratie, pour rester éternellement à la traîne. C'est une question d'image chez l'ancien colonisé! Oui, se libérer, c'est d'abord une question d'image de soi dans le monde! Et il s'agit pour ce dernier de se mettre à jour, de s'accepter tel qu'il est et d'essayer de se performer, sans qu'il n'y ait dans son esprit aucun autre modèle de comparaison. En somme, il s'agit de valoriser sa culture sans idéaliser celle des autres ni l'ignorer. Le baptême du feu de la liberté, c'est l'acceptation de soi, avec ses propres qualités et défauts.

Malheureusement nous sommes encore loin très loin de la liberté d'expression...que l'on commence par par le journaliste Abdou Semmar (bos Algérie part) ....Personne qui vit en exil. Synonyme : banni, déraciné, expatrié, expulsé, proscrit, relégué?. Dommage quel gâchis pour quelqu'un qui aime son pays?.

Un premier pas
par El-Houari Dilmi


L'Assemblée nationale française a voté, jeudi dernier, une résolution «reconnaissant et condamnant la répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l'autorité du préfet de police Maurice Papon le 17 octobre 1961». La chambre basse du Parlement français a également voté en faveur de l'inscription d'une journée de commémoration de ce massacre à l'agenda des journées nationales et cérémonies officielles. Comme de bien entendu, 11 députés ont voté contre, tous du Rassemblement national (extrême droite).

La résolution de l'Assemblée nationale française a été saluée comme un «vote pour l'histoire», représentant une étape cruciale du travail mémoriel pour la reconnaissance de ce crime d'Etat.

Si la ministre française déléguée aux Collectivités territoriales a évoqué une manifestation «réprimée dans la violence par les services agissant sous l'autorité du préfet de police de l'époque, Maurice Papon», néanmoins, le gouvernement français exclut pour l'heure l'inscription d'une journée de commémoration (de ce) massacre à l'agenda des journées nationales et cérémonies officielles.

Cette page des plus noires de l'histoire de France de l'après-guerre fait partie du lourd contentieux mémoriel qui oppose Alger à Paris. Il faut dire que le rapport confié par le locataire de l'Elysée à l'historien Benjamin Stora avance à petits pas. Beaucoup a été dit sur les raisons de ce déficit de crédibilité, souligné et amplifié dès sa parution par le rejet de principe exprimé de toute possibilité d'excuse officielle de la France à l'Algérie. Des historiens algériens continuent à critiquer un certain «révisionnisme» du rapport Stora.

D'origine algérienne, Malika Sorel-Sutter rallie l'extrême droite en France
Elle est devenue une célébrité depuis quelques jours en France. Malika Sorel-Sutter, née Halima Mayouf, voit son nom revenir tel un...
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